L'infirmière
une femme autoritaire
A quarante ans je viens enfin de trouver une femme autoritaire qui me prenne en mains! Cette femme je l’ai connue il y a six mois à l’hôpital depuis je suis fourré tous les week ends chez elle pour des séances bien particulières. Les quarante cinq printemps de Martine, son corps de bonne vivante , un statut d’infirmière me rendaient déjà amoureux son caractère de femme autoritaire suffit à me conquérir définitivement.
Mais revenons à notre histoire, j’étais donc venu dans cette hôpital pur un lavement baryté nécessaire à des examens plus “approfondis”. J’avais un très mauvais souvenirs de ces lavements que maman m’administrait étant petit , quand Martine déboula dans ma chambre ce matin là toute de blanc vêtue précédée du chariot roulant où trônaient bock à lavement tuyaux caoutchoutés et canules aux formes inconnus je peux vous dire que je n’en menais pas large! Martine commença à étaler une grande alèse en plastique sur le lit et c’est le pantalon de pyjama baissé fesses à l’air couché sur le côté que je dus me présenter à cette infirmière. Autant vous dire que j’étais mort de honte mais Martine n’en avait que faire , c’était un acte qu’elle maîtrisait parfaitement son plaisir était vous allez voir de me dominer en tant qu’homme. Ses gants enfilés elle m’écarta les fesses sans douceur d’un regard d’experte elle choisit sur le plateau une canule à la forme bizarroïde , plongeant son doigt dans le pot de lubrifiant elle en étala la substance translucide tout le long. Les doigts bien gras je la sentis farfouiller entre mes fesses , mon petit “ouille “ de surprise quand elle enfonça son doigt plus profondément la fit alors sourire.Elle me déclara fin prêt mais j’étais en fait si contracté que le renflement de la canule ne put même pas se frayer un chemin , Martine était maintenant en colère elle me disait que je faisais vraiment l’enfant...Cette femme déclara à ce moment là son véritable tempérament de femme dominatrice elle m’empoigna si fort les testicules d’une main qu’il m’était devenu impossible de bouger et de ne ne penser à autre chose : sauver les attributs qui faisaient de moi un homme.
Martine me contrôlait maintenant entièrement et c’est à peine si je sentis le long tuyau s’enfoncer, le liquide s’écoula progressivement dans mes intestins et toujours fermement maintenu mon ventre s’arrondit. Martine m’ayant intimé l’ordre de tout garder j’étais maintenant remplit comme une outre , le cul à l’air à supporter des contactions intestinales de plus en plus vives . Dix minutes passèrent avant que Martine se décide à me lâcher j’avais l’autorisation d’aller me vider , les fesses serrées je me rendis à la salle d’eau pour pouvoir enfin me soulager.
Je voulais me venger de cette femme qui m’avait tellement humiliée , reprenant son service pour la nuit j’avais bien l’intention de lui faire un “ cadeau “ pour son retour. Comme un sale gamin j’avais décidé de pisser au lit rirait bien qui rirait le dernier! A vingt heures je vis Martine débarquer dans ma chambre , j’étais tout sourire...D’avoir ainsi mouillé tous mes draps ne la déconcerta pas le moins du monde , à mon grand regret d’ailleurs. Des hommes indélicats elle en avait eu bien avant moi , ma foi je n’étais plus pour elle qu’un garçon qui avait fait une bêtise de plus et que l’on devrait traiter comme tel. Je restais ainsi tout penaud et mouillé dans mon lit , Martine se fit attendre quand elle revint se fut un soulagement . Plus docile je m’abstins de tous commentaires lorsqu’elle déballa sur le lit défait une alèse intégrale, je lui jurais alors mes grands dieux que je ne renouvellerais plus ce type de comportement. , mais Martine se fiait à son expérience de femme de caractère qui reconnaissait chez un homme la propension naturel à la désobéissance. Son plaisir passait par ma soumission et le fait de déballer devant mes yeux éberlués une couche complète et une culotte plastique la rendait encore plus sure du pouvoir qu’elle acquerrait sur moi. Quelle honte pour un homme de se faire langer comme aux tous premiers âges de son existence! Je fus emmailloté comme un nouveau né et de plus complètement disponible au bon vouloir de Martine . Me restant un brin de volonté je me retins toute la nuit pour ne pas faire dans mon change, la sensation d’être ainsi traité me rendait bien sur ridicule mais Martine me révélait aussi à moi même. Cette femme me voulait comme je voulais maintenant lui appartenir ,si vous le souhaitez je vous dirais de ce qu’il en est advenu.
Auteur: Inconnu
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