Gwen creation

BERNICE

Le soulagement est à portée de main(fessée et lavement)

Ma colocataire avait été d'une humeur infecte toute la semaine, et j'étais fatiguée d'elle. La dernière nuit avait été la plus pénible - Bernice avait claqué la porte si violemment que les fenêtres avaient tremblées et, sans un mot, était allée dans sa chambre. L'expression sur son visage aurait, selon ma grand-mère, caillé du lait frais. Les tentatives répétées pour communiquer avec elle n'amenaient aucune réponse autre qu'un grognement et un assourdi, " dégage !" Je me demandais si je pourrais savoir dans les deux prochaines heures ce qui n'allait pas chez elle.

Vous devez comprendre qu'elle et moi sommes amies depuis longtemps - depuis le collège. Nous avons été souvent ensemble, et il y a peu de choses que nous ne connaissons pas sur l'autre. En fait, des fois nous sommes si proches mentalement que nous finissons chacune les phrases de l'autre ! C'est pourquoi sa mauvaise humeur m'intriguait autant. Bernice a toujours eu une humeur chaude, et elle aimait plaisanter en disant que cela allait avec sa chevelure rouge ardente. Mais jamais comme cela.

Deux heures plus tard je n'avais pas de réponses, et je décidais de dormir. Il était tard, mais c'était la nuit de vendredi, et je ne devais rien faire le lendemain. Je pris un bon bain chaud. Le son de l'eau remplissant la baignoire calmait mes nerfs, et sur l'impulsion du moment, je pris mon sac de toilette et en sortis une petite seringue à lavement de voyage. Je la remplis avec l'eau savonneuse tiède, puis me remplis moi-même, en ayant soin de lubrifier mon cul avant de glisser le tube. Un bain chaud et un lavement tiède - la façon parfaite de se détendre avant le lit ! L'idée me vint alors que je m'asseyais sur les toilettes, que peut-être Bernice pourrait bénéficier d'un petit assouplissement liquide. Je commençais à rire à cette idée. De tous les secrets nous avions partagé, mon plaisir pour les lavements et la discipline légère n'était pas un sujet que h'avais osé abordé en discutant avec elle. Je tournais l'idée dans mon esprit en me préparant pour le lit.

Le prochain matin, Bernice me réveilla avec sa " marque de fabrique " un claquement de porte en partant, et j'étais furieuse. Assez, c'était assez, et je fis mes préparations attentivement en attendant son retour. Elle ne voudra jamais me parler cette nuit c'est sur, pensai je, mais ce sera mieux que d'endurer sa mauvaise humeur. Je déballais le " Grand Rouge, " un sac à lavement rétro en caoutchouc rouge, et le posais dans la salle de bain, avec plusieurs serviettes et serpillières. Sur mon lit il y avait une courte chemise de nuit, une brosse à cheveux en bois, et une boîte d'écharpes de soie, " juste au cas. "

Bernice revint tard dans l'après-midi, dans une humeur pire que jamais. Comme elle allait vers sa chambre à coucher, elle me vit et jeta un oeil étonné sur mon équipement et ronchonna quelque chose. Je laissais son commentaire sans réponse et commençais la phase finale de mes préparatifs. Je remplis la seringue à lavement, mélangeant attentivement le savon. Cette tâche faite, je frappais à la porte de Bernice. Elle ne répondit pas. Je refrappais encore sans réponse. La troisième fois je que je frappais, Bernice cria quelque chose d'incohérent, et j'entendis quelque chose claquer la porte, comme si elle avais jeté un objet.

Redressant mes épaules, j'ouvris la porte. La pièce était sombre, et quand j'allumais la lumière, je vis Bernice assise blottie sur son lit. Elle semblait malheureuse - comme si elle avait pleuré. Elle cligna des yeux durant une seconde ou deux, et me cria d'éteindre cette damnée lumière, MAINTENANT.

J'essayais - je le faisais réellement - d'être patiente, mais quand Bernice se leva et me jeta des objets, essayant de me repousser, c'en était trop ! Je l'attrapais fermement par les deux poignets. Je tirais Bernice hors de la sécurité de sa chambre et la guidai vers ma chambre à coucher. L'expression de son visage était passée de la colère à l'étonnement. En atteignant mon lit, je m'assis et tirais Bernice en travers de mes genoux, la tenant fermement par un poignet. Avec ma main libre, j'ouvris et descendis ses blue-jeans, exposant une culotte de dentelle sur un cul bien formé et bien ferme.

Je dis à Bernice que j'étais fatiguée de son mauvais comportement et lui rappelais une des maximes favorites de son père : " Les filles qui n'agissent pas comme un ange d'un côté, sont fessées par le diable de l'autre. " Quand elle vivait chez ses parents, Bernice n'était pas à l'abri d'une solide fessée si son père l'estimait nécessaire. Je tirais sa culotte et elle haleta. Je pris la brosse à cheveux. Elle n'était pas trop lourde, mais elle pourrait causer une douleur pénétrante - surtout à un derrière dénudé ! Je l'appliquais habilement sur le cul exposé de Bernice et elle jappa. Un second et un troisième coup suivirent en succession rapide, chacun accompagné par un gémissement de Bernice.

Elle ruait un petit, mais je la tenais serrée. Je fessais cette fille jusqu'à ce que son petit derrière soit enflammé. Je me sentais mal pour elle, je pense que j'aurai plus pleuré, mais je me forçais à lui donner dix fois plus de fessée avec ma brosse à cheveux alors qu'elle était posée, sanglotante, en travers de mes genoux.

Puis je m'arrêtais et pris Bernice dans mes bras et la tint serrée jusqu'à ce que ses sanglots s'arrêtent. Puis je la soulevais face à moi, et l'embrassais sur la bouche. Pas pour le sexe, mais pour lui dire que j'étais toujours son amie et que je l'aimais. Elle éclata de nouveau en sanglots et s'effondra dans mes bras.

Après l'avoir tenu un petit plus longtemps, je l'aidais à se relever et commençais à la dévêtir. Bernice a un corps superbe, et je commençais à être excitée. Je fus surprise quand je senti ses petites mains déboutonnant ma chemise et caressant mes seins par dessus mon soutien-gorge, mais elle souriait timidement et je la laissais fourrager sous ma jupe qui fut bientôt dans un petit amas autour mes chevilles. Alors elle glissa les doigts dans ma culotte avec un petit sourire espiègle.

J'enlevais la chemise et le soutien-gorge de Bernice et lorsque nous fumes toutes les deux nues, je me penchais sur elle et lui donnais un autre baiser, long et lent cette fois, la pénétrant doucement avec ma langue. Elle gémissait très doucement et commençait à caresser mon dos, me rendant le baiser avec une intensité qui me surprenait.

Je m'arrêtais, la pris par la main et la conduisit dans la salle de bain. Lavement pour Bernice ! Elle faisait un petit bruit de gorge et roula des hanches quand mon doigt entra dans son cul. Je l'enfonçais dedans et dehors, remarquant comment ses hanches bougeaient à chaque fois que j'allais plus profond. Je lubrifiais le tube, vérifiais la température de l'eau, glissais la canule dans son anus et commençais à laisser couler l'eau.

Je la remplis lentement, surveillant le sac qui rétrécissait et le ventre de Bernice qui gonflait. Elle frétillait délicieusement sur mes genoux, et je ne pus résister au plaisir de lui pincer un peu les cuisses et le derrière encore rouges. J'étais très excitée.

Enfin, le sac était vide, et je sortis le tube du derrière de Bernice. Je jouais avec sa chatte jusqu'à ce qu'elle ne puisse plus tenir. Je lui permis d'expulser le lavement, avant de lui donner un bon bain chaud moussant, en ayant soin de la laver de façon très intime très attentivement.

Bientôt, nous gloussions comme des écolières en jouant dans les bulles. Avant que je puisse l'arrêter, Bernice glissa hors de la baignoire et saisit la seringue à lavement. Elle me demanda, avec un sourire si j'aimerais en avoir un, et si je pouvais lui montrer comment le préparer. Je me penchais sur le côté de la baignoire, offerte....

Ensuite nous sommes allées nous coucher, et nous nous sommes beaucoup dépensées....en multiples explorations intimes....

Comme je l'avais pensé, Bernice avait eu un problème avec son petit ami. Elle l'avais soupconné, à juste titre, de la tromper. Je suis reconnaissante à ce garcon, car ainsi es arrivé ce qui est arrivé. Je fesse encore Bernice quand elle est trop garce, et mon cul connait la sensation de la brosse à cheveux quand je reste dehors trop tard ou oublie de laver la vaisselle. En fait j'espère être fessée ou donner un lavement à Bernice (et vice versa) pour très longtemps encore.

<

Auteur: Inconnu

logo