LÉCHÉE PAR SES CONCUBINES
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Je suis une femme homosexuelle
de 30 ans qui vis en heureux ménage à trois avec deux autres lesbiennes. Mes
adorables concubines se nomment Dominique, une belle blonde de 28 ans, et
Emmanuelle, une charmante petite brunette de 22 ans. Toutes les deux sont
physiquement choyées par la nature. La première a une taille mince et une
poitrine de rêve bien agréable à caresser; la deuxième a des mensurations que je
trouve idéales. Quant à moi, je me situe quelque part entre les deux: j'ai les
cheveux châtains et juste ce qu'il faut de seins et de fesses.
Je vivais depuis plus de
quatre ans avec Dominique quand, lors d'une sortie dans un bar pour femmes, nous
avons fait la connaissance d'Emmanuelle. Celle-ci nous a séduites immédiatement
toutes les deux avec sa voix chaude, son sourire enjôleur, ses yeux marrons
envoûtants et sa longue chevelure sensuelle. Nous avions très envie d'elle et
l'avons invitée chez nous. Auparavant, nous n'avions jamais convié une autre à
partager nos ébats amoureux. Nous protégions jalousement notre relation de
couple. Mais Emmanuelle a été l'exception qui confirme la règle.
Une fois rendue dans notre
appartement, celle-ci s'est abandonnée totalement à nos chaudes caresses. Nous
avons couvert son splendide corps nu de baisers brûlants. La jeune femme s'est
immolée sans retenue dans notre lit, devenu un autel dédié à la poétesse Lesbos.
Ce fut une merveilleuse première nuit d'amour où tous les plaisirs lesbiens
étaient multipliés par trois. Il y avait trois bouches gourmandes à embrasser,
six seins pointus à caresser et trois bons vagins juteux à lécher. Celui
d'Emmanuelle s'était ouvert pour nous comme une fleur gorgée de nectar, que nos
langues avides s'étaient empressées de cueillir avec délice.
Ce qui ne devait être qu'un
"one night stand" avec elle est devenu chose permanente. Après nous avoir donné
son superbe corps, la jeune femme nous a offert son amitié sincère, puis son
amour inconditionnel. Depuis, elle s'est parfaitement intégrée dans notre vie de
couple. Maintenant, Emmanuelle, Dominique et moi ne faisons plus qu'une et
partageons tout ensemble, surtout notre lit.
Dominique et moi travaillons comme
infirmières dans un hôpital. Pour sa part, Emmanuelle veut devenir
informaticienne. Ses études, qu'elle n'a pas encore terminées, l'ont obligée
récemment à se rendre en Californie, pour un stage de formation. Si vous saviez
combien notre petite amante nous a manqué pendant ses trois mois d'absence. Nous
pensions à elle jour et nuit et attendions son retour avec impatience. Le soir,
lorsque Dominique et moi étions couchées, nous rêvions à notre petite chérie qui
dort régulièrement au milieu du lit, bien lovée entre nous deux. Souvent, quand
elle est ainsi allongée, nous lui suçons chacune un sein, tout en promenant nos
mains sur tout son magnifique corps nu. Ou bien, nous léchons goulûment son sexe
si suave et son anus si attirant. Emmanuelle nous le rend tellement bien avec
ses doigts toujours actifs et sa tendre langue agile. Elle prend souvent
l'initiative au lit et sait se rendre irrésistible. Elle imagine les positions
les plus érotiques et prodigue les caresses les plus voluptueuses.
Notre petite concubine nous a
ainsi initiées à des jeux sadomasochistes. Elle aime particulièrement se faire
attacher sur le lit, étendue bras et jambes écartés, sur le dos, et se faire
couvrir ensuite de mille caresses et de baisers, par nos quatre mains et nos
deux langues. Comme elle peut gémir alors de jouissance!
Quand Emmanuelle est revenue de la
Californie, Dominique et moi sommes allées la chercher à l'aéroport. Elle a crié
de joie quand elles nous a aperçues et s'est jetée dans nos bras. Nous lui
avions manqué beaucoup aussi.
"Je vous ai été fidèle", nous a-t-elle confié dans la
voiture.
Avec
Dominique, j'avais planifié toute une réception pour elle à l'appartement.
Aussitôt rentrées, nous l'avons embrassée comme seule une femme est capable
d'étreindre une autre femme. Nous avons ensuite dévêtu lentement notre amour,
caressant chaque centimètre de sa douce peau qui se dénudait. À genou devant
elle, j'ai relevé sa jupe et j'ai déposé un tendre baiser sur sa motte, par
dessus sa petite culotte moite. Quand ses superbes seins sont apparus, je les ai
embrassés et léchés. J'ai sucé leur bout érigé. Emmanuelle, la tête renversée
vers l'arrière, savourait en haletant le plaisir éprouvé. Dominique a fait
glisser sa jupe et son slip. Tout en lui caressant les fesses, elle a déposé à
son tour un doux baiser sur son sexe maintenant dénudé. Quand Emmanuelle a été
entièrement nue, nous l'avons emmenée dans la chambre et entravée sur le lit,
bras et jambes écartés comme elle aime tant.
Emmanuelle n'avait pu se laver depuis la veille. Sa
ravissante vulve dégageait des effluves exquis, irrésistibles, plus féminins que
jamais. Quand nous l'avions déshabillée, j'avais senti sa petite culotte humide,
toute imbibée de sécrétions vaginales. J'avais perçu ses invitantes odeurs
personnelles. C'était très prometteur. Je me suis installée entre ses cuisses
ouvertes et, le nez entre ses grandes lèvres, j'ai tout de suite humé le parfum
âpre et épicé qui émanait de son sexe humide. Quel arôme inégalable! Selon moi,
il n'y a pas de meilleur parfum au monde que l'odeur unique du vagin trempée
d'une jeune femme excitée.
Après avoir profondément respiré l'arôme de sa vulve, j'ai
enfin enfoui ma langue affamée dans sa fente mouillée, pour ensuite lui lécher
tout le minou à grandes lapées. Comme il goûtait bon! Je me suis concentrée
après sur son clitoris enflé et durci.
"Ah! Oui! Ça me fait du bien!
Mange-moi! Mange-moi! Ça fait si longtemps que j'en ai envie!" s'est exclamé
Emmanuelle.
Dominique s'est penchée sur elle et a entrepris de lui lécher tout le reste du
corps, en commençant par ses beaux seins aux bouts érigés. On aurait dit qu'elle
voulait lui faire ainsi sa toilette. Emmanuelle ondulait tout doucement du
bassin et geignait de plaisir sous nos caresses linguales. Au bout de plusieurs
minutes de léchage ininterrompu, elle a fini par pousser un cri et par sursauter
en jouissant abondamment dans ma bouche. J'ai avalé tout le jus d'amour qu'elle
a produit. J'ai eu l'impression qu'il était meilleur que d'habitude. J'ai
ensuite détaché ses pieds divins et j'ai replié ses jambes sur elle-même. Ma
langue avait alors un accès idéal à son petit anus en forme d'étoile. Je l'ai
léché tendrement, comme s'il avait été une délicieuse friandise. Je l'ai taquiné
du bout de la langue que j'ai inséré à l'intérieur. Je goûtais ainsi à l'essence
même de notre petite amante. Pendant ce temps, Dominique léchait la plante des
pieds d'Emmanuelle et lui suçait les orteils. Elle aussi se régalait comme si
elle savourait des bonbons.
Depuis que nous vivions toutes les trois ensemble, nous
avions pris l'habitude de nous raser tous les poils du pubis. L'amour oral n'en
était que meilleur. Pendant son séjour de trois mois en Californie, Emmanuelle
avait omis de s'épiler le bas du ventre et le sexe. Ses poils avaient quelque
peu repoussé. Je suis donc allée quérir l'équipement nécessaire et je l'ai rasée
complètement entre les cuisses, y compris les quelques poils décorant l'entrée
de son rectum. Son mont de Vénus bombé, sa vulve rosâtre et son anus nous sont
réapparus dans toute leur beauté intégrale. Je contemplais ses magnifiques
grosses lèvres vaginales, gonflées par le plaisir. Je n'ai pu me retenir
davantage et j'ai léché encore une fois toutes ces
merveilles. Dominique s'est accroupie sur le
visage d'Emmanuelle. Celle-ci a tiré la langue et l'a activée tendrement sur le
beau minou trempé et sur le trou du cul qu'on lui offrait. Avec ses mains,
Dominique a écarté l'entrée de son anus pour ainsi mieux s'empaler sur la langue
d'Emmanuelle. Toutes les deux haletaient et gémissaient. Emmanuelle a eu un
nouvel orgasme en tressaillant. Dominique, qui adore se faire lécher le trou du
cul, a poussé un cri étouffé: elle venait de jouir aussi.
Nous avons délié les mains
d'Emmanuelle qui avait grande envie de nous caresser. Elle s'est mise à nous
peloter simultanément le vagin toutes les deux, tout en nous pénétrant chacune
avec un doigt. Elle nous a masturbée ainsi jusqu'à ce que nous ayons un orgasme,
pendant que nous lui sucions chacune un sein.
Dans les minutes qui ont suivi,
Dominique et moi avons entrepris de lécher de concert le vagin et l'anus de
notre petit ange. Nos langues se promenaient entre ses cuisses mouillées, se
rencontraient sur sa vulve dégoulinante, s'accolaient en un baiser, en pénétrant
toutes les deux en même temps dans son trou gluant, puis reprenaient leur chaude
promenade sur ses trésors. Emmanuelle gémissait de plus belle. Pendant ce temps,
elle continuait à lécher également le sexe de Dominique.
J'avais moi aussi envie de me faire lécher la
vulve.
"Mange-moi la chatte!", ai-je dit à Dominique.
Celle-ci est venue mettre sa tête entre
mes deux jambes et a commencé à me déguster le minou en feu, tandis que j'ai
continué à lécher celui d'Emmanuelle. Nous nous bouffions maintenant la chatte
réciproquement toutes les trois. On n'entendait plus alors que des gémissements
de plaisir dans la pièce. Le drap qui protégeait notre matelas est devenu trempé
de jus de chatte.
Nous étions toutes les trois complètement en sueur et
sommes allées prendre une douche ensemble. En plus, nos corps étaient couverts
de salive mêlée à des sécrétions vaginales. Nous avions grand besoin de nous
laver, surtout Emmanuelle. Dominique et moi avons usé une pleine savonnette à
force de la promener sur sa peau douce. J'aimais beaucoup lui masser
voluptueusement les seins glissants de savon. Je me souviens qu'un jour, je
l'avais même fait jouir ainsi jusqu'au paroxysme. Emmanuelle me prodiguait les
mêmes caresses sensuelles. Elle me câlinait la poitrine et me suçait les
mamelons durcis et dressés. Dominique a préféré cajoler les fesses savonnées de
notre petite maîtresse. Sous la douche, notre séance de lavage s'est vite
transformée en un autre marathon de léchage. C'est Dominique qui l'a relancé,
quand elle a écarté la raie des fesses d'Emmanuelle pour se mettre à lui lécher
le trou du cul. De mon côté, je me suis penchée également et j'ai entrepris de
lécher encore le sexe de notre chérie. Le bruit de l'eau qui tombait n'arrivait
pas à couvrir ses geignements.
"Que c'est bon!" a-t-elle laissé échapper en se
convulsionnant, sous l'emprise totale d'un plaisir toujours
grandissant.
Notre jeune amante est venue en criant. Mais Dominique et moi n'étions pas
encore rassasiées. Emmanuelle nous avait tant manqué. Nous l'avons fait tourner
d'un demi-tour pour inverser les rôles. À mon tour, je lui ai léché l'anus
pendant que Dominique lui a mangé la vulve enflammée. Emmanuelle a fini par
avoir un nouveau soubresaut en hurlant de jouissance.
Depuis qu'elle était revenue chez nous,
cela faisait moins de deux heures, elle devait avoir eu au moins une douzaine
d'orgasmes. Et c'était loin d'être terminé. Après avoir pris une douche, nous
avons rattaché Emmanuelle sur le lit et avons continué de la lécher pendant des
heures. Elle est venue encore je ne sais plus combien de fois. En dernier, elle
nous a suppliées d'arrêter de la lécher. Elle n'en pouvait plus de jouir,
orgasme après orgasme. Nous l'avons donc détachée et l'avons laissée tranquille
pendant un moment.
Tandis qu'elle "récupérait", recroquevillée dans un coin du
lit, Dominique et moi avons continué à nous manger mutuellement la chatte en
position tête-bêche. Allumées comme nous l'étions, nous nous sommes ainsi
léchées jusqu'à épuisement complet. Pendant que nous nous dégustions
réciproquement le minou encore en feu, Emmanuelle est revenue nous donner un
coup de main. Je devrais plutôt dire un coup de langue, car elle nous a léché
l'anus l'une après l'autre.
Comblées et satisfaites, nous avons fini toutes les trois
par trouver le sommeil. Emmanuelle, bien calée au milieu du lit entre Dominique
et moi, s'est endormie avec un doigt bien inséré dans notre vagin. C'est vrai
que nous lui avions beaucoup manqué aussi.
Auteur:Michèle