Lea et Ludovic (2)
Le compromis
Nous étions horriblement en retard. Notre train était à 20H12 et nous arrivâmes mon amie et moi à précisément 20h06 à la gare. Nous n'eûmes pas le temps de prendre les tickets. Nous courûmes jusqu'au train qui devait nous emmener à Nice. Il nous aurait était impossible d'en prendre un autre car il fallait attendre jusqu'au lendemain matin. La course fut périlleuse car mon amie était sérieusement handicapée par sa mini-jupe et ses talons mais nous arrivâmes à temps; nous eûmes même le temps de prévenir le chef de gare que nous n'avions pas de tickets et il nous certifiât qu'il préviendrait le contrôleur afin que nous n'ayons pas de problèmes. Nous n'eûmes pas de mal à trouver un compartiment vide car le train semblait ne pas être très fréquenté à cette heure. Nous nous mîmes à notre aise et le train quitta la gare pour un voyage d'au moins huit heures. Nous passâmes les trois premières heures à somnoler plus ou moins, bercés par le roulis du train. Nous nous réveillâmes presque en même temps. Nous décidâmes d'aller prendre un verre au bar pour nous dégourdir les jambes et sortir du brouillard dans lequel nous étions plongés. Le train était bien plus rempli dans les voitures placées plus en avant. Toutefois il n'y avait toujours pas de traces de contrôleur. Nous passâmes un petit moment au bar à discuter puis retournâmes dans notre cabine. Elle s'assit prêt de moi et non en face comme la première fois.
Nous nous embrassâmes et quand mon regard croisa le sien, je compris immédiatement ce qu'elle voulait. Il est vrai qu'aussi bien l'un que l'autre, nous rêvions depuis longtemps de faire l'amour dans un train. Ce compartiment pour nous, le wagon plutôt vide semblait être les conditions idéales. Alors que nos langues se mêlaient à nouveau, une de mes mains se posa sur ses cuisses. Je la caressais doucement puis je remontais, impatient sur son chemisier de soie blanc. Ma main se perdait dans des gestes de plus en plus fougueux et je caressais à présent sa poitrine ronde sous le doux tissu. Elle comme à l'accoutumé bien plus rapide avait posé sa main sur ma braguette pour s'y faufiler et s'emparer de mon sexe. Devant cette attaque, je ne pus résister et moi aussi entreprenais de lui donner du plaisir. Ma main que j'avais reposé sur ses cuisses remonta le long de ses bas puis de ses jarretelles et enfin fini son Ascension vertigineuse entre ses jambes. De mes doigts habiles, j'écartai sa petite culotte pour enfin atteindre sa douceur. Le lieu nous excitait si bien que quelques gestes précis suffirent pour qu'elle commence à jouir doucement. Soudain, on frappa à la porte. Après s'être réajusté, nous signalâmes que la porte était ouverte. C'était le contrôleur que nous avions attendu pendant 3 heures et qui choisissait ce moment pour arriver.
Il avait l'air plutôt jeune et semblait aimable. Nous commençâmes à lui expliquer que nous étions les gens que le chef de gare lui avait signalé. Il ré-fléchi un instant mais ne se rappela pas avoir vu le chef de gare. Il nous expliqua que pour un voyage tel que le nôtre, l'amande, proportionnelle au prix du billet, pouvait atteindre des sommes faramineuses. Nous Tentâmes de lui répliqué notre problème mais il ne semblait pas très coopératif. Ne sachant que faire, il nous dit qu'il reviendrait dans un instant, après avoir fini le train Nous ne savions plus quoi faire devant cette méprise. Cependant, nous pensâmes que la séduction pourrait peut-être nous aider car après tout, c'était un jeune-homme qui devait sûrement être sensible aux jolies femmes. Mon amie remonta sa jupe le plus haut possible et pour être sure du résultat, elle ouvrit deux boutons de son chemisier créant ainsi un décolleté on ne peut plus plongeant.
Le contrôleur revint après dix minutes. Il remarqua immédiatement la tenue de mon amie et d'ailleurs, c'est à elle qu'il s'adressait, se tenant debout devant elle qui était toujours assise.Il profitait ainsi tout en parlant du décolleté avantageux. Nous reprîmes l'explication depuis le début mais il était catégorique, il n'avait pas vu le chef de gare. Malgré toutes nos tentatives, il semblait bien décidé à nous verbaliser. Pourtant, mon amie redoublait ses efforts, croisant les jambes si bien que la jupe remontait encore et était sur le point de découvrir ses jarretelles. Le contrôleur remplit le petit papier bleu tout en nous lisant ce qu'il inscrivait. Le procès s'élevait à 1600F si on le payait tout de suite et 1900F si on payait plus tard. Nous étions vraiment incapables de payer une telle somme et il le comprit aisément. Il nous tendit le papier et ajouta " A moins que l'on trouve un arrangement. " Tout en regardant mon amie. Nous nous regardâmes un instant pour être sur d'avoir bien entendu la même chose. Le contrôleur était plutôt mignon et nous étions encore bien excités par ce que nous avions commencé. Après un moment d'hésitation, elle me lança un sourire auquel je répondit par un autre sourire. Le message était passé tout simplement sans avoir besoin de prononcer le moindre mot. Le contrôleur, semblant satisfait ferma la porte du compartiment derrière lui.
Je reprenais mais caresses, frôlant les bas noirs sous lesquels se cachaient des jambes galbées. Mais je fus vite interrompu par le contrôleur qui l'avait saisit par les poignets afin de la faire se lever. Ne perdant pas de temps, il la serra tout contre lui. D'un geste langoureux, elle enleva la casquette du jeune homme et la jeta sur la banquette. Il passa ses mains dans son dos mais sans s'y attarder et ainsi, il descendit le long de sa colonne vertébrale pour finir sur ses fesses rondes moulées dans sa petite jupe. Je les regardais, impatient de pouvoir moi aussi participer. Il les caressait tout en l'entraînant dans un déhanche-ment qui la faisait se frotter contre lui. Elle l'embrassait sans halte, se laissant guider. Il remontait à présent sa jupe, découvrant sa petite culotte de satin noir. Je fixais ses fesses qui se balançaient doucement mais de façon plus marquée à présent; je regardais également les mains qui les exploraient. Elle commençait à soupirer au rythme des frottements de leur sexe. Il continuait à la caresser mais allait à présent plus loin, jusqu'entre ses jambes, effleurant des endroits si sensibles que chaque passage la faisait frissonner de façon visible. Il finit par se débarrasser de la jupe en la laissant tomber sur les chevilles de mon amie qui n'eut qu'à lever les pieds pour l'écarter. Son chemisier me cachait de nouveau ses fesses si excitantes. Les mains du jeune homme ne quittaient pas cet endroit qui paressait temps lui plaire cependant après un moment, il retira ses lèvres de celles de mon amie. Il ne prononça que deux mots que je compris à peine.
Léa s'abaissa doucement pour finir à genoux devant lui. Elle posa sa main sur l'énorme bosse qui s'était formée sous le pantalon. Elle ouvrit ensuite la braguette, passa sa main à l'intérieur et en sortit un sexe comme elle n'en avait sûrement jamais vu à en croire les grands yeux accompagnés du sourire qu'elle fit au jeune homme en relevant la tête. Elle commença un petit va et vient de la main tout en frôlant des lèvres le gland luisant pourpre de désir. Je la regardais s'appliquer sur ce sexe qui semblait l'avoir envoûté, attendant un signe pour entrer dans l'action. Léa avait pris à présent le sexe dans sa bouche et le suçait rapidement, en donnant de petits coups de tête. La taille de la verge était telle qu'elle n'arrivait qu'à en faire pénétrer le gland dans sa bouche pourtant experte. Je ne tenais plus devant ce spectacle je n'attendis pas un éventuel signe et je m'avançai en glissant sur la banquette pour me placer derrière mon amie mais le contrôleur qui commençais à présent à jouir sous les coups de langue de ma douce et tendre m'en dissuada d'un signe de la main.C'est à cet instant que je compris. Je ne participerai pas. J'étais partagé entre la colère et l'excitation engendrée par ce que je voyais. Je pensai d'abord à arrêter tout cela mais j'y renonçai après avoir reposé le regard sur mon amie qui semblait si excitée et que la situation ne paressait pas déranger. Elle continuait toujours ses va et vient, essayant à chaque fois d'introduire le sexe plus profond dans sa bouche sous les encouragements du jeune homme. Cette petite entrée en matière le rendait plus impatient et il la fit donc se relever. Tout en l'entraînant par les poignets, il s'assit sur la banquette juste en face de moi et il la fit s'asseoir sur ses genoux Léa tourna un instant la tête vers moi et presque immédiatement elle reposa ses lèvres sur celles de son partenaire. Lui caressait ses cuisses et semblait apprécier le porte -jarretelles et les bas que mon amie portait avec beaucoup de classe. Il remonta ensuite sur sa poitrine, découvrant des mains ce qu'il avait entrevu quelques instants auparavant. Un à un, il défit chaque bouton du chemisier. Il l'écarta simplement tout d'abord. IL resta un instant à admirer sa superbe poitrine vêtue de petits bonnets de soie et de dentelle noire. Il ne résista pas très longtemps et bientôt, il posa sa main. Il semblait être affolé, ne sachant que faire, par ou commencer. Il les prit un à un dans sa main, les caressant doucement, les sous-pesant puis il remonta sur ses épaules et fit glisser le chemisier le long de ses bras. Elle était à présent en sous-vêtements plus qu'affriolants et dans un lieu plutôt inhabituel donc très excitant. Mes yeux suivaient chaque geste de la main du jeune homme, les enviant, des gestes que j'avais pourtant fait des centaines de fois mais qui prenait une toute autre dimension dans ce cas ou j'étais le simple spectateur, le voyeur des ébats de mon amie avec un parfait inconnu semblant lui plaire terriblement. La main explorait à présent le ventre ferme de Léa descendant toujours plus bas la faisant frissonner encore à chaque centimètre de plus. Il la posa enfin sur le triangle de satin ce qui enleva un petit gémissement à mon amie.Ses caresses étaient larges et sa main entière appuyait sur son entre jambe, faisant des petits cercles. Léa était si excitée qu'elle jouissait déjà dans la bouche du jeune homme qu'elle continuait d'embrasser comme si elle craignait de croiser mon regard en levant la tête. La petite culotte ne tint pas très longtemps et cette fois c'est elle qui, soulevant légèrement ses fesses, l'enleva exaspérée par cette attente et désireuse de plaisir pur et puissant. Entre ses jambes apparues sa fente gonflée et gorgée de nectar d'amour. La main se posa à nouveau mais cette fois, ses gestes étaient plus précis. Deux doigts habiles s'emparèrent sans attendre de son petit bouton qui pointait, tendu sous le petit minou brun. IL le pinçait, le malaxait sans ménagement ce qui faisait la plus grande joie de mon amie qui avait du mal à contenir son plaisir qui devenait de plus en plus audible. Elle était toujours assise de côté sur ses genoux mais après un moment de ses caresses plus qu'efficace, me regardant, il la fit se tourner toujours sur ses genoux mais cette fois dos à lui et donc face à moi. Il passa sa main libre sous une de ses cuisses et l'écarta au maximum alors que son autre main continuait à jouer sur cette fente ruisselante. J'avais une vue splendide sur son entre jambe et sur les doigts qui la pénétraient à présent, écartant ses lèvres délicieuses. En relevant la tête, mes yeux croisèrent les siens. Elle les baissa, elle semblait embêtée par la situation et surtout par le rôle que je jouais. Je lui lançais alors un sourire comme pour lui dire : " Profites-en. Tu n'as pas tous les jours l'occasion de faire l'amour avec une autre personne et qui plus-est quelqu'un de si bien monté " Ce sourire était également une façon de lui dire que je tirais moi aussi quelques avantages à cette expérience qui m'excitait terriblement. Elle dût comprendre tout cela et me renvoya ce sourire. Elle paressait à présent plus décontracté, sûre de ne blesser personne. Elle était si à l'aise qu'elle n'hésita pas à me demander si je voulais me masturber en les regardant.
J'en mourrais d'envie depuis le début mais je n'avais osé jusqu'ici. Je sortis donc mon sexe qui était au bord de l'explosion et répondis à la demande de mon amie sans retenu aucune. Je l'agitais très vite les yeux rivés sur sa fente mal-menée par les quatre doigts qui la pénétraient. Elle me dévorait des yeux et son excitation redoublait. Elle avait gardé ses chaussures ce qui la rendait, ajoutées à ses bas et surtout au fait qu'elle ne porte rien d'autre, féminine et excitante à l'extrême. Elle ne contenait plus ses cris qui je le crains devait être entendus dans les compartiments environnant le nôtre mais cela semblait à présent loin de ses préoccupations.Mais elle en voulu bientôt plus. Elle voulait sentir ce sexe énorme qui lui avait empli la bouche en elle. Ils se relevèrent et elle se plaça à genoux sur la banquette, dos à lui, se cambrant magnifiquement afin de lui présenter sa petite chatte bien ouverte et impatiente. Elle avait plaqué son visage contre le dossier et s'y agrippait, sûre qu'un sexe de cette taille allait la rendre folle.
Il s'introduit. La belle fente avait beau être trempée, il prit toutes les précautions qu'un sexe comme le sien exigeait, la pénétrant doucement sans la brusquer immédiatement et les deux ou trois premiers va et viens semblèrent légèrement douloureux pour mon amie qui poussait de petits gémissements. Mais cela fut vite oublié et le plaisir remplaça rapidement la douleur. Il entrait et sortait toute la longueur de sa verge ce qui donnait des mouvements assez lents mais un plaisir permanent qu'elle exprimait par de longs gémissements langoureux et profond. De temps à autre, elle tournait la tête pour vérifier que je continuais bien à me masturber. C'était bien le cas et je n'arrêtais pas un instant, la regardant se tortiller sous les coups de reins de cet inconnu. En tournant ma tête un instant vers la droite, je découvrit que, la vitre, comme un parfait miroir, reflétait tout ce qui se passait dans le compartiment, mon amie se faisant prendre et moi derrière, en retrait les regardant tout en me faisant plaisir. Je signalais immédiatement la chose à Léa qui, j'en étais sûr, en serait folle. Lorsqu'elle tourna la tête, un large sourire illumina son visage enchanté, elle pouvait ainsi me voir mais également voir son partenaire, les mains posées sur ses hanches s'introduire entre ses cuisses. Le contrôleur qui maîtrisait parfaitement les choses se mit à accélérer allant toujours plus vite mais aussi plus fort, il la bousculait à grands coups de reins et elle aimait cela et recommençait à crier de plus belle. L'une des mains du jeune homme avait quitté sa hanche et doucement après l'avoir bien enduit de mouille, il entreprit une pénétration anale avec son pouce. Mais cela ne sembla pas la déranger car il n'avait pas pour autant cesser de la bousculer sauvagement, la martelant de son sexe. Je regardais la scène avec beau-coup d'attention. C'était comme un film X en direct à ceci prêt que l'actrice principale était mon amie. J'avais souvent fantasmé sur ce genre de situation qui dans mon imaginaire m'excitait terriblement mais toute fois en me disant que la réalité serait tout autre. Et bien il n'en était rien et c'était même mieux que ce que j'avais put imaginer et la voir prendre temps de plaisir me réjouissais. Le jeune homme se retira malgré les encouragements de mon amie qui ne voulait pas qu'il lui laisse un instant de répits.
Ce fut le cas car il posa soudain son gland énorme sur son petit trou qui apparaissait entre ses fesses ou son pouce entrait depuis un moment, le lubrifiant et le dilatant. Elle s'excusa en lui avouant que cela n'était pas son truc du tout. Il insista mais elle refusa de nouveau. Pourtant il ne se découragea point en disant qu'ils avaient un accord. L'exigeante du jeune homme était catégorique mais cependant connaissant Léa, je savais qu'elle ne transigerai pas sur ce point. Mais je fus dépité quand il commença à la pénétrer sans qu'elle ne conteste. Elle avait cédé à un inconnu certes bien monté mais un inconnu ce qu'elle ne m'avait jamais accordé. Cela était très délicat et je m'imaginais très mal une sodomie avec un sexe de cette grosseur et les petits cris de mon amie confirmaient mon inquiétude. Cependant, il agissait avec la minutie d'un archéologue explorant un terrain extrêmement fragile, lubrifiant à nouveau son sexe à chaque passage. Il commençait après quelques instants des allés retours lent et prudent et Léa se plaignait à présent beaucoup moins. Sans cesse, il rapportait avec son doigt du nectar qui emplissait encore en abondance son petit minou et la pénétration se faisaient plus aisément. Ses va et viens la ou les miens n'avaient jamais existé se faisaient à présent plus rapide. Mon amie, continuait à regarder dans la vitre ou elle voyait ce sexe disparaître entre ses fesses et cette vision semblait ne pas la déranger car elle portait grande attention à cette scène ou je continuais également à me masturber cependant moins rapidement, inquiet de sa personne. Elle ne semblait plus souffrir et je la surprenais maintenant sous les coups de rein plus rapide encore et les mouvements du sexe de taureau dans son anus, à quelques soupires, non pas d'ennui mais de plaisir. Commencerait-elle à aimer cela ? Il est vrai que le jeune homme paraissait s'y prendre en expert et cela lui donnait pour sa part un plaisir audible auquel je n'avais jamais pu goutter. J'étais jaloux de ce garçon qui venait d'obtenir ce dont je rêvais depuis si longtemps mais qui restait pour moi un rêve. Cependant les gémissements rare mais présent que Léa poussait me donnaient bonne espoir et je me disais qu'après cela elle ne pourrait plus me refuser ce caprice. Lui, prenait un plaisir incroyable et n'hésitait plus à jouir à son tour ce qui devait plaire à mon amie friande de ce genre de chose mais malgré cela, réalisant que cette façon de la prendre avait beaucoup moins de succès que la précédente, il se retira afin de se réintroduire entre ses lèvres bouillantes qui n'attendait que ça. Elle continuait de regarder le reflet ou elle se voyait et se trouvait elle-même très excitante. Le contrôleur avait gardé son uniforme et avait juste le sexe sorti de la braguette-ce qui ne gâchait rien et ajoutait même un ingrédient de plus à la scène déjà très spéciale. Il la prenait déjà depuis vingt bonnes minutes et cela faisait également vingt bonnes minutes que je me masturbais comme un fou en les regardant. Je sentais que bientôt je ne pourrai plus me retenir. Il jouissait tous les deux en cadence au rythme de sa queue qui entrait en elle avec une force et une vitesse impressionnante. Je n'avais jamais été aussi excité et je parlais en moi au jeune homme, l'encourageant :
" Vas-y, prend la plus vite, plus fort, fait la hurler " et c'est précisément ce qu'il faisait, tapant son bas ventre sur les fesses de la belle ce qui lui arrachait un cri à chaque coup et la plaquait contre le dossier ou son visage s'écrasait. Ses cris furent le détonateur de l'explosion qui se préparait en moi depuis quelques instants et dans un jet puissant, j'éjaculais dans ma main une quantité inhabituelle de mon être le plus profond. Cela redoubla l'excitation de mon amie de la bouche de qui, entre les cris puissants et les halètements ne sortait plus qu'un seul mot :
" Oui " . Lui continuait son pilonnage alors que je m'essuyais avec un mouchoir que j'avais eut tout juste le temps d'attraper dans ma poche. Il la pénétra encore pendant quelques longues minutes après ma chute Elle avait déjà atteint un orgasme foudroyant qui l'avait traversé de part en part et elle était sur le point d'en atteindre un second qui semblait plus fort encore, elle plantait ses ongles dans le cuir du siège et soudain alors qu'il la martelait de sa queue le plus vite qu'il lui était possible de le faire, elle arrêta de respirer une courte seconde pour éclater dans un véritable hurlement de délivrance, atteignant des sensations encore inconnues. Presque aussitôt, le contrôleur se retira, il arrivait lui aussi. Comprenant immédiatement, elle se retourna rapidement et saisi la grosse verge, trempé par près d'une demi-heure à aller et venir dans cette fente trempée. Elle le masturbait très vite et sans attendre il explosa dans sa main. Un jet chaud et puissant atteint le visage de mon amie qui continuait à agiter la queue qui se contractait dans sa main enduite de sperme. Avec beaucoup d'attention, elle l'essuya avec un mouchoir et frotta son visage ou un traîné blanchâtre brillait.
Il remonta sa braguette et après nous avoir salué poliment, il sortit naturellement de notre compartiment comme s'il ne s'y était rien passé d'exceptionnel. Et pourtant cette expérience fut pour moi et j'en suis sûr encore plus pour mon amie réellement exceptionnelle. Elle vint après que le contrôleur fut sorti se blottir dans mes bras, m'embrasser tendrement. Son corps était délassé et sa chaleur apaisée. Je lui conseillais de se rhabiller avant qu'un autre contrôleur entre dans notre compartiment. Nous entrâmes en gare de Nice peu de temps après. Alors que tout le monde semblait abruti par un si long voyage, Léa et moi arborions un grand sourire. Notre contrôleur se tenait sur le pas de la porte de notre wagon, saluant les personnes qui en descendaient. Lorsque nous passâmes près de lui, il sourit d'une oreille à l'autre. Mon amie lui souhaita une bonne journée et ajouta sur un ton très différent qu'elle espérait ne rien avoir oublié dans le compartiment. Nous sortîmes et pûmes voir le jeune-homme se diriger vers notre place. Nous rions tous deux en imaginant sa tête lorsqu'il trouverait sur la banquette la petite culotte de Léa encore toute humide, ultime souvenir de ce voyage mouvementé.
Auteur:erato