Lea et Ludovic
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Le taxi nous déposa à l'adresse indiquée . je réglai et nous descendîmes. Le chauffeur, qui n'avait cessé d'admirer les jambes de mon amie dans son rétroviseur se retourna cette fois franchement pour la regarder alors qu'elle sortait. Nous restâmes un instant devant la grille d'entrée derrière laquelle se déroulait un chemin de graviers blancs menant à la porte. C'était notre premier moment d'hésitation depuis que nous avions répondu à la petite annonce de l'homme chez qui nous nous apprêtions à entrer. Mon amie s'avança enfin vers l'interphone. Ses talons résonnaient dans la rue plutôt calme à cette heure. Elle sonna. Après quelques secondes, nous vîmes une ombre derrière la vitre de la porte et on décrocha. On nous ouvrit. Nous avançâmes sur l'allée qui crissait sous nos pas. C'était apparemment une demeure splendide.
Nicolas avait ouvert et nous attendait sur le pas de la porte. Nous pûmes constater qu'il ne nous avait en rien menti. C'était un homme qui avait une bonne trentaine, les cheveux bruns, plutôt athlétique. Il était très élégamment vêtu d'un costume qu'il portait d'ailleurs très bien. Il arborait un grand sourire en constatant que nous aussi avions été honnête. Nous nous saluâmes et il nous invita à le suivre.
Nous quittâmes nos vestes pour les laisser sur le porte-manteau du vestibule. Nicolas resta un instant contemplatif devant mon amie et finit par la gratifier de mille compliments qui ne manquèrent pas de la faire rougir. Elle était assurément superbe dans son petit tailleur gris clair très tendance dont la veste ouverte dévoilait un débardeur blanc au décolleté charmeur qui lui collait à la peau. La maison semblait immense aux vues des nombreuses pièces toutes spacieuses qui s'ouvraient le long d'un assez large couloir. Notre hôte nous conduit jusqu'au salon. Nous nous installâmes sur un canapé de velours bordeaux alors que lui s'assit en face de nous sur un fauteuil. Des appliques murales diffusaient une lumière tamisé qu'une douce musique de fond accompagnait. L'endroit était très agréable et mettait à l'aise. Ils nous fallut, à mon amie et à moi, un peu de temps pour que nos langues se délient. Il est vrai que nous ne connaissions que très peu l'homme qui se tenait en face de nous ; a peine avions nous échangé quelques coups de fil. Mais cela faisait aussi partie du jeu. Lui au contraire paraissait très détendu. Il parlait de tout et de rien sans artifice ni complexe. Il finit par réussir à nous détendre et j'ajouterais même à nous séduire. Je le trouvais sympathique. Les apéritifs qui se suivaient contribuèrent à nous lâcher complètement. Nicolas avait réussit à charmer totalement Léa qui s'amusait visiblement beaucoup. La question qui se posait à présent était comment allions nous introduire les chose ? Cela restait une étape difficile à surmonter. C'était la première fois que nous répondions à une telle annonce.
Nicolas dût s'absenter pour quelques minutes. Cela nous donna l'occasion de faire le point. Je pus constater sans trop de surprise que mon amie était plus que jamais décidée à continuer. Nous fumes d'accord pour commencer à envisager les choses lorsque notre hôte serait revenu. Elle m'embrassa d'un baiser fougueux qui reflétait admirablement son état intérieur. Nicolas entra au même moment.Il s'était réinstallé dans son fauteuil sans rien dire alors que nos lèvres s'étaient séparées, surprises par son entrée. Je vis dans le regard de Léa ce que j'étais moi-même en train de penser. Il ne fallait pas manquer une si bonne occasion. Elle reposa ses lèvres sur les miennes plus timidement cette fois. Il nous demanda simplement à voie basse si nous souhaitions changer de pièce mais l'endroit nous convenait parfaitement. Sans cesser de s'embrasser, nous nous laissâmes aller en arrière pour s'appuyer sur le dossier du divan.Mon amie, très consciente de ce qui se passait avait croisé les jambes dans une position plus qu'affriolante. Ses lèvres me quittèrent à nouveau. Elle se leva et se dirigea vers Nicolas.
Elle lui demanda s'il voulait bien la débarrasser de sa veste. C'est ce qu'il fit sans toutefois se lever, restant face à face avec un superbe décolleté. Elle me rejoint enfin pour m'embrasser cette fois avec la même ardeur que la première fois. Mes mains ne purent bientôt plus s'empêcher de voyager sur son corps. Elle glissait sur son épaule, sa hanche puis ses cuisses. Elle remontait ensuite sur le petit paillot moulant. Notre ami suivait mes gestes dans leurs moindres écarts avec des yeux gourmands. Je m'attardais sur sa poitrine qui se dessinait sous le tissu blanc qui la rendait plus ronde encore. Baissant les yeux un instant, je constatais que sa jupe déjà courte avait remonté encore découvrant un peu plus ses jambes aux formes galbées voilées par la soie noire de ses bas. Cette vue me donna plus d'entrain et mes doigts entreprirent de détacher les boutons qui fermaient le débardeur sur toute sa longueur. Le premier dévoila plus encore ses seins et à pour titiller Nicolas, Léa se leva pour se placer face à moi lui offrant ainsi son dos couvert de sa chevelure brune. J'enlevais un à un les boutons jusqu'à ce que le maillot fut totalement ouvert. J'embrassais alors son ventre puis ses seins. J’avais posé mes mains sur ses fesses et mes caresses l'entraînait dans un petit déhanchement que j'imaginais très excitant vu de dos. Une fois de plus, elle se retourna, tout en maintenant son maillot fermé, et s'avança vers Nicolas pour se placer à à peine quelques centimètres de son visage.
C'est lui qui, écartant le débardeur, le fit tomber le long de ses bras. Il fit entendre un long soupire d'approbation devant ces magnifiques seins joliment soutenus par des petits bonnets de dentelle rouge. Elle s'écarta assez rapidement pour éviter le baiser qu'il avait tenté de poser sur sa poitrine. Nous avions insisté lourdement sur ce point, en aucun cas il ne devait la toucher ; Il devait uniquement « se contenter » de nous regarder. Il était aisé de comprendre son excitation mais c'était ce qu'il avait recherché en déposant son annonce.
De retour vers moi, elle m'enleva ma chemise avant de poser ses mains sur mon torse. Elle me caressait langoureusement dans des gestes amples et sensuels. La situation ne manquait pas d'attiser en moi un feu toujours plus brûlant. Je gardais toujours en tête notre spectateur inconnu, décidé à tout faire pour qu'il ne soit pas déçu et donc pour l'exciter le plus possible. J'installais mon amie sur mes genoux dos à moi. Et sans hésiter, je posais mes mains sur ses seins ; le terme d'empoigner serait ici plus approprié. Je les sous-pesais, les caressais assez vivement en les faisant tourner doucement dans mes mains. Mon amie se laissait aller, soupirant doucement et je sentais le désir l'envahir petit à petit. Elle s'amusait également de voir le pauvre Nicolas s'essuyer le front. Nous savions Léa et moi qu'il s'impatientait de voir la jupe tomber et nous régalions de le faire attendre. C'est mon pantalon qui céda en premier.Mon caleçon moulant ne cachait rien de mon état et j'avoue qu'offrir mon amie aux yeux d'un inconnu me rendait fou. Elle s'était installée à côté de moi reprenant ses caresses sur mon torse mais cette fois sans s'arrêter à ma ceinture. Ses mains s'attardèrent bientôt sur la bosse incandescente qui grossissait encore. Je connaissais parfaitement l'ardeur de mon amie et savais qu'elle ne se contenterait pas de si peu bien longtemps. Il ne fallut que quelques secondes pour prouver ce que je pensais ;sa main habile détachait déjà les boutons de ma braguette pour s'y faufiler. Elle ne s'y attarda pas et en ressorti accompagnée de mon sexe. Elle me masturbait doucement, faisant apparaître petit à petit mon gland rougit par le désir. Ainsi découvert, il semblait énorme, prêt à exploser. Léa ne le quittait pas des yeux jusqu'à ne plus pouvoir résister à ce fruit luisant doux comme la peau de pèche.
Elle s'était penchée pour venir y poser ses lèvres tout en prenant soin de ne jamais cacher la vue de notre voyeur. Sa langue me titillait délicieusement en tournant autour des endroits sensibles sans jamais les toucher. Elle s'appliquait autant que possible montrant à Nicolas tout son savoir-faire. Il n'en pouvait plus et cette fois ses mains tremblaient d'excitation. Ses yeux voyageaient entre la bouche de ma jolie partenaire et ses jambes. La jupe n'avait en effet pas put résister cette fois à la position et ses jarretelles rouges commençaient à pointer. La langue de la belle se lançait dans des caresses plus subtiles les unes que les autres parcourant toute la longueur de mon sexe que quelques va et viens de ses lèvres arrivaient à rendre fou. Comprenant l'état du jeune homme, elle s'arrêta un instant pour lui faire remarquer de sa voix la plus sensuelle qu'il n'avait pas à se gêner pour nous ; elle ajouta que de plus, cela lui donnerait peut-être envie d'enlever sa jupe. Sa réaction me persuada qu'il n'attendait en fait que cela car il s'empressa d'ouvrir sa braguette pour en sortir un sexe au gland rouge violacé sur lequel, j'en suis sur, mon amie n'aurait eut qu'à poser ses lèvres pour qu'il jouisse dans sa bouche. Il commença à se caresser timidement alors que mon amie levait les yeux pour le regarder. Elle adorait voir un homme se masturber ; mais là c'était différent, beaucoup mieux. C'était un inconnu qui se masturbait en la regardant. C'était elle qui procurait chez cet homme plutôt mignon et très bien monté une excitation. J'eus le sentiment qu'à partir de ce moment, elle mesura parfaitement la situation mais surtout, elle fut consciente de son pouvoir et décida d'en jouer au maximum. Je la sentais excitée comme jamais.
Je la fit se relever afin qu'elle se débarrasse enfin du seul vrai vêtement qui lui restait. Je la plaçai dos à moi pour descendre la glissière de sa jupe. Pendant ce court instant, elle ne cessa de regarder le sexe de Nicolas sur lequel sa main s'agitait plus vite maintenant. La jupe tomba lentement sur ses hanches découvrant son porte-jarretelles puis tomba d'un coup sur ses chevilles. Il la couvrit à nouveau de compliments. Elle les méritait assurément, portant les bas à merveilles mais il n'avait pas encore tout vu. Ainsi, lorsqu'elle se retourna vers moi et qu'il découvrit ses fesses bien rondes entre lesquelles passait une fine bande de dentelle rouge, je ne pus m'empêcher de dire à mon amie qu'il se masturbait maintenant très vite en les regardant. Elle ne résista pas à l'envie de tourner la tête pour le constater l'effet qu'elle produisait. Elle lui demanda si ses fesses lui plaisaient. Il répondit qu'il les trouvait très excitantes. Elle sembla ravie. Elle me fit me décaler plus à gauche du divan afin de ne pas être gênée par la table de salon qui nous séparait de Nicolas puis elle s'agenouilla à mes pieds pour me reprendre dans sa bouche. Elle avait pris soin de se placer de façon à ne pas la lui cacher. Il avait à présent une vue magnifique sur ses fesses qu'elle avait bien cambré tout en écartant un peu les jambes.
Ses gestes n'avaient plus rien de subtil et elle m'avalait maintenant très rapidement dans des va-et-viens furieux qui entraînaient tout son corps dans un déhanchement plus excitant encore pour Nicolas. C'est elle qui, maintenant orchestrait la scène et elle savait exactement comment se placer pour notre spectateur. Les yeux de celui-ci ne quittaient plus ses fesses rebondit qu'elle cambrait toujours plus comme une invitation au creux de ses cuisses écartées. Après quelques minutes de ce traitement, je ne pus plus contenir les jouissements que sa bouche attisait. Nous étions tous trois très excités et cela se traduisait de façon plutôt voyante.Toutefois, mon amie était la seule à ne pas encore jouir et je décidai donc de remédier à cela. Il fut difficile de la faire arrêter tant elle semblait aimer m'avaler ainsi. Cette pause fut la bien venu car je n'aurais pas pu tenir une minute de plus à cette torture charnelle.
Elle vint se rassoir sur mes genoux et j'en profitais pour dégrafer son soutien-gorge et ainsi offrir une nouvelle facette du corps de mon amie à notre spectateur. Je ne pus m'empêcher de reposer mes doigts sur ses rondeurs bien ferme aux tétons tendus sans toutefois m'y attarder.L'une de mes mains descendait déjà sur son ventre pour venir se poser sur le petit triangle de satin rouge de son string alors que l'autre s'était glissée sous sa cuisse droite afin de l'ouvrir. Comme je l'avais pressenti, le moindre petit contact au creux de ses jambes la faisait frémir. Ses lèvres se dessinaient sou la bande de tissu brillant en formant une petite bosse allongée. Je les effleurais des doigts ce qui avait pour effet de lui faire ouvrir les cuisses plus encore. Les yeux de Nicolas, tels des projecteurs, campaient là où seul mes doigts pouvaient se poser. Lorsque j'écartai l'entre-jambe du string, il balbutia quelques mots d'encouragement à peine audibles. J'avais démasqué une fente magnifique aux lèvres gonflées et ouvertes comme je ne les voyais que très rarement. Je les parcourais d'un doigt expert avant de rencontrer le petit bouton qui les réunissait. Je m'en amusais, le faisant tourner entre mes doigts, le pinçant alors que mon amie s'impatientait en attendant le moment ou je lui donnerais le plaisir de la chair. Le désir débordait de son sexe et après avoir trempé le satin rouge, il enduisait maintenant le bout de mes doigts que je ne faisais que promener au bord de cette faille brûlante. Devant mon insupportable obstination, l'une des mains de la belle rejoignit bientôt la mienne. Sans hésiter, je lui laissai alors toute la place, sûr que ce petit spectacle plairait à notre hôte ; j'en profitais pour saisir son autre cuisse et les écartais aux maximum.
Elle aussi se caressa un instant les lèvres mais les quitta bien vite pour se toucher le clitoris. Ses ongles rouges étaient merveilleusement assortis à sa lingerie mais aussi à son petit minou rose tendre. Elle écrasait son petit bouton en jouissant maintenant à haute voix. Je regardais ce spectacle par dessus son épaule quand, les voyants tous les deux es yeux braqués l'un sur l'autre, j'eu une idée. Tout en pointant la table de salon qui les séparait, j'insinuais à Léa que Nicolas n'avait peut-être pas la meilleure vue. Elle comprit immédiatement et fut totalement d'accord avec moi. Elle passa de l'autre côté de la table et, se tenant à nouveau devant le jeune-homme, le pria d'enlever son petit string.
Il lâcha son sexe pour venir placer ses mains sur les reins de mon amie. Ainsi, au lieu d'attraper le vêtement par les hanches, il passa les doigts sous la dentelle en l'entraînent avec eux. Il le fit descendre de cette façon tout le long de ses jambes se permettant de la sorte une caresse appuyée sur ses jolies fesses et ses bas. Elle s'assit sur la table juste en face de lui, ouvrant sans plus attendre ses cuisses. Il avait reprit ses va-et-vient furieux dès que ses mains avaient quitté les fesses de mon amie. Les ongles rouges s'introduisaient à présent profondément entre ses lèvres alors que son autre main continuait de stimuler son clitoris. Ils se dévoraient tous deux des yeux savourant le spectacle qu'il se donnait à chacun. Écartant toujours plus les jambes, Léa trouva après quelques instants une façon de le faire sans se fatiguer mais surtout encore plus excitante à regarder. Sans se déchausser de ses talons aiguilles, elle avait posé ses pieds de part et d'autre de Nicolas, sur les bras de son fauteuil, l'enfermant ainsi entre ses jambes. Elle se faisait maintenant l'amour, enfonçant ses doigts très vite dans sa chair et ne contenait plus ses jouissements qui se mêlaient à ceux de Nicolas si bien qu'on aurait pu croire qu'il faisait l'amour ensemble. Et c'était bien ce qui se passait, virtuellement. Ils s'imaginaient chacun être le responsable du plaisir de l'autre et d'ailleurs le simple fait de se regarder les excitait plus que n'importe quelle caresse. Je me demandais comment il pouvait résister à une si jolie perspective sur une fille de rêve, uniquement vêtue d'un porte-jarretelles, de bas et de talons aiguilles. Leurs sexes n'étaient séparés que de quelques dizaines de centimètres et il aurait suffit à Nicolas de s'agenouiller pour pouvoir la pénétrer ; j'avais de plus la conviction que mon amie n'aurait pu, si excitée qu'elle était, repousser le jeune-homme. Toute fois, il n'en fit rien. Elle était au bord de l'orgasme et je m'étonnais de ne pas la voir revenir vers moi, peut-être attendait elle que l'homme au sexe impressionnant la transperce de plaisir. Je n'avais pu moi-même résister à l'envie de me masturber en les regardant. Le petit clapotis des doigts de mon amie qui s'enfonçaient dans son minou trempé me rendait fou. Elle finit par me rejoindre pour s'asseoir sans ménagement sur mon sexe.
Sans même prendre la peine d'enlever mon caleçon. Elle lui offrait à nouveau ses fesses cambrées qui s’agitaient au rythme de ses coups de reins pour me faire entrer toujours plus fort en elle. Elle était si humide que je ne la sentais presque plus. J'avais saisi ses hanches pour l'aider à s'empaler plus rapidement sur mon sexe qui se noyait en elle. Nicolas nous regardait toujours et il devait regretter,en la voyant se donner avec tant de vigueur, de ne pas s'être agenouillé tout-à-l'heure. Il l'avait chauffé à l'extrême et c'est moi qui en profitais maintenant. Elle ne cessait de tourner la tête afin de le regarder se donner du plaisir si bien qu'elle en oubliait le sien. Je la fit se relever afin de nous placer dans une position qui lui permettrait de ne rien louper de ce spectacle qu'elle semblait tant apprécier. C'est Nicolas qui proposa la table basse. Ni mon amie ni moi n'y avions pensé mais nous trouvâmes tous deux que l'idée était excellente. Elle s'installa à quatre pattes sur le meuble en chêne massif et me tenant debout derrière elle, je m'introduis dans sa douceur. Dès les premiers va-et-vient, j'avais compris que mes coups de reins étaient beaucoup plus efficaces que les siens lorsqu'elle s'était assise sur moi. Nicolas s'était rapproché en s'asseyant sur le bord du fauteuil. Il semblait obnubilé par le corps de mon amie qui ondulait de plaisir et que mes coups de reins emmenaient dans un léger balancement. Ses cris emplissaient à nouveau la pièce ne faisant qu'attiser une ardeur dont je n'étais pas avare. Elle avait repoussé sa longue chevelure brune sur le côté afin de ne pas lui cacher la superbe courbure de sa croupe aux fesses bien remontées. Je me délectais de ses formes en ne baissant les yeux que pour regarder mon sexe pénétrer violemment entre ses cuisses. Des images entrecoupaient ce tableau idyllique. Des images ou je me mettais tout à coup à la place de Nicolas, me masturbant en le regardant prendre mon amie de la même façon, la faisant hurler de plaisir. D'autres encore où je le voyais se joindre à nous et engouffrer son long membre dans la bouche de la belle qui le suçait sans attendre avec de grands coups de tête gourmands. Léa ne détachait plus ses yeux de la main rapide de notre spectateur et du gland violacé qui en dépassait. Peut-être voyait-elle les mêmes images que moi. Peut-être attendait-elle que Nicolas se lève enfin pour se joindre à nous ou même prendre ma place. Voir un homme si bien monté se masturber devant elle pendant près de vingt minutes avait certainement dû finir par la tenter.Tout ces pensées m'excitaient tant que je n'aurais, pour sur, pas hésité à laisser ma place au jeune-homme, certain de prendre autant de plaisir à la regarder jouir sous les coups de reins de Nicolas que de lui faire l'amour moi-même. Ses gémissements se faisaient si fort maintenant qu'ils me ramenèrent à la réalité. Elle gravissait les sommets qui menaient au plaisir suprême et j'accélérais encore mes mouvements pour l'aider à y parvenir. Soudain, je vis la main de Nicolas entamer un va-et-vient plus que rapide alors que son corps se raidissait. Léa le regardait avec toujours autant d'attention et avait tout comme moi compris. Un instant, je vis sa main se lever et se diriger lentement vers le sexe mais au même moment, l'homme éclata dans un cri libérateur. Sa main s'emplit de son être blanchâtre qu'il avait retenu si longtemps. Une traînée de la même couleur brillait sur le flanc de Léa. Ce spectacle acheva l'Ascension de la belle vers le bonheur charnel et à peine quelques secondes après lui, elle s'abandonna au raz-de-marée intérieur qui la balaya violemment. Elle s'était complètement immobilisée me laissant la pénétrer de mon sexe tendu à l'extrême. Je la prenais si vite que je ne pus tenir que quelques instants à ce rythme. Alors que la vague qui l'avait assaillit se retirait, j'en fis de même et me déversais sur ses fesses au creux desquelles un ruisseau blanchâtre et chaud se forma rapidement. Nos corps apaisés, nous nous embrassâmes longuement alors que Nicolas était sorti de la pièce pour se réajuster. Nous fîmes de même avant de reprendre un dernier verre pendant lequel nous n'hésitâmes pas, contrairement à ce que j'avais imaginé à reparler de cette soirée très particulière. Ces jeux de regards et de séduction nous avaient tous trois charmé et nous ne regrettions pas d'avoir ce jour là ouvert le journal à la bonne page. D'autres portes vers le plaisir s'étaient montrées à nous mais plus encore nous avions trouvé des clefs permettant d'en déverrouiller de nouvelles peut-être plus excitantes encore. J'avais ainsi découvert que voir mon amie faire l'amour avec un autre homme devant moi ne me dérangerait pas mais bien au contraire me plairait énormément mais je m'égare car cela reste une autre histoire et peut-être même une autre annonce. J'espère que cette petite histoire vous aura plus et à bientôt pour une nouvelle
Auteur:erato