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L'esclave de Lyon
Tous les soirs, elle dormait attachée
L’esclave de Lyon, elle avait 26 ans et se prénommait Pascale. On l’appelait « La belle Pascale », ou « Pascale la salope ». Faut dire qu’en ayant commencé sa sexualité à 13 ans, elle en avait vu des biroutes et des minous . Et elle en voyait même de plus en plus. Et en plus, elle aimait ça.
A à peine 15 ans, elle avait eu droit à sa première sodo par un homme deux fois plus âgé qu’elle. Depuis impossible, qu’elle passe plus de trois jours sans se faire enculer. Quelques mois plus tard elle se retrouvait tête bêche nue dans le lit de sa meilleure copine. A 16 ans, elle se tapait 3 des copains de son frère.
Quand à ses 18 ans elle les avaient fêtés dans un club échangiste avec 18 mecs.
Ses études, elles se les étaient payées avec ses fesses, d’abord avec des vieux messieurs plein de sous et admiratifs de ses belles fesses. Elle y avait mis du sien pour améliorer ses notes, et ses professeurs, hommes et femelles gardaient des souvenirs émus de ses passages sous le bureau.
Plus tard, elle avait continuer et mis son talent au service d’hommes qui pouvaient se l’offrir, hommes d’affaires, émirs. C’est bizarre, tous les mecs aimaient lui défoncer le cul. Enfin bref son cul rapportait !
Il est vrai, qu’il était parfait ! Si, on peut le dire, parfait ! Deux belles pommes, un sillon profond, du œillet brun qui s’ouvrait facilement à la moindre pression. Tous ses amants avaient adoré la sodomiser on se demande pourquoi. En plus, ça la faisait jouir fort.
Le reste aussi était à la hauteur, des cuisses fuselées, bronzées, des chevilles fines, des hanches parfaites, une taille que ses amants admiraient, une paire de seins avec de belles pommes plutôt volumineuses, faites pour les mains d’homme, des tétons longs que l’on devinaient attirants aussi bien des lèvres que des pinces croco , un ventre plat, des lèvres voluptueuses genre aspirateur à bite. Et elle en avait aspiré des bites, des petites, et surtout des grosses qu’elle prenait plaisir à savourer.
Brune, elle avait en plus de jolis et profond yeux noirs. Bref, elle avait le charme puissamment érotique des méditerranéennes.
Elle menait une vie agréable, gagnait de 10 à 15000 euros par mois grâce à son cul.
Un matin, au « Train Bleu », gare de lyon, elle sirotait une vodka, attendant le TGV qui devait l’emmener vers un nouveau client à Monaco. Et, là elle avait croisé le regard du mec, Le Mec. Immédiatement son ventre glabre, s’était embrasé. Juste un regard appuyé de l’homme, un regard qui déshabille, et elle l’avait suivi dans les toilettes de la brasserie… Là, direct, il l’avait baisée et sodomisée longuement, à la sauvage, sans préparation. Elle avait joui comme une chienne.
Plus de client, plus rien, elle avait tout oublié. A peine remise, elle avait suivit l’homme dans un taxi.
Deux heures plus tard, elle était attachée, couchée , bâillonnée , ventre sur un dur chevalet en bois, seins écrasés, chevilles et poignets encordés et tirés au maximum vers le sol.
Premier coups de fouets, puissants, violents, mais maîtrisés, qui lui brûlaient le cul et les reins. Et puis à nouveau cette énorme bite pour lui taraudé les reins…
Pendant toute la journée, puis la nuit, elle n’avait été qu’une chose, que l’on viole, que l’on piétine, sur qui l’on pisse, dont on martyrisait les seins, dont on fistait longuement le sexe et le cul.
Elle avait aimé, elle avait joui.
A six heures du matin, dans un état semi-comateux, elle avait senti qu’on lui passait un truc autour du cou, qu’on la bâillonnait, qu’on lui enfonçait un truc dur et froid dans les reins, qu’on la ligotait, mains serrées dans le dos, puis qu’on la tirait sur le parquet comme un vulgaire paquet. Un léger, clic et elle s’évanouit, le corps meurtrit.
C’était il y a quatre mois. Quelques heures plus, docilement, elle suivait l’homme dans sa Mercedes. Pas le droit à la place passager, sa place à elle, elle la devina quand l’homme, ouvrit le coffre. Direction, un pavillon cossu dans le beaujolais, avec un beau parc.
Maintenant, elle était une esclave sous contrat et docile, elle la rebelle, la pute indépendante.
Il était dit qu’elle appartenait à l’homme.
Elle devait être son esclave sexuelle, mais aussi, sa bonne, la maison devait être impeccablement tenue, la cuisine parfaite sous peine de punition.
Tous les soirs, elle dormait attachée au pied du lit de son maître, à même le parquet, tous les matins à 7 heures, elle tirait sur la laisse pour aller sucer son maître et le réveiller. Une fois son maître réveillé, souvent il se laissait aller dans sa bouche, puis il l’a détachait, et elle allait lui préparer son petit déjeuner.
Une fois qu’il était parti, elle devait se doucher, déjeuner à son tour, s’occuper de toutes les taches ménagères. Sa tenue, un très gros plug, des bas noirs auto-fixant, des escarpins à haut-talons, près de 15 centimètres, et un petit tablier, et bien sur son collier.
Vers 13 heures, elle mangeait léger, et pouvait faire une petite pause.
Après, elle devait faire une heure de sport, dans la salle de gym, histoire de maintenir son physique en forme, elle pouvait aussi bronzer dans le parc, jouer avec le beauceron, et même quelques fois se faire sauter par celui-ci. Ca aussi elle aimait !
En plus, elle était surveillée, épiée, par tout un ensemble de caméras reliées à internet. Quelques fois, elle s’installait face caméra, et se branlait. Elle savait que si le maître la voyait, elle serait punie.
Et puis, il y avait la cuisine à faire pour le soir, pour le repas qu’elle prendrait au pied de son maître, dans une gamelle. Un maître qu’elle devait attendre à l’heure fixée, nue, à genoux devant la porte d’entrée, cravache aux lèvres.
Le soir, tout dépendait des envies du maître. Cela pouvait aller de la soirée télé qu’elle passerait allongée docilement sur les cuisses de son maître, à une soirée à la cave, suspendue à une poutre, ou attachée au pilori.
Si elle avait bien fait son travail d’esclave durant la semaine, elle avait droit de choisir le thème de la soirée du samedi. Généralement, elle choisissait le gang-bang, elle adorait ça, sentir tous ses mâles en rut à cause de son cul.
Alors on lui avait trouvé un foyer de travailleurs africains. Régulièrement, donc elle se faisait un troupeau de blacks. Y en avait régulièrement une trentaine, et tous montés comme des ânes.
Samedi dernier, elle avait pas assuré, à une heure du matin, elle s’était mise à vomir et ils avaient du arrêter. Elle en avait seulement fait jouir une dizaine, alors que d’habitude, ils avaient tous les couilles plates quand elle repartait sur le coup des six heures du matin. Il étaient furieux avec leurs couilles pleines, trop pleines.
Ce samedi soir, dans l’entrepôt de banlieue abandonné ou se déroulait régulièrement les orgies, ils avaient installé un sorte de chevalet en métal.
Là, ils l’installeraient de façon très, inconfortable, attachée à plat ventre, cul offert.
On allait lui mettre le cul en sang, et son maître avait donné son accord.
Pascale, avait deviné qu’il y avait un truc qui allait pas dès on entrée dans le local. D’habitude, il y avait du bruit de la musique, et puis c’était quoi ce truc en fer, sur 4 pieds, on dirait une table à repasser.
Sans qu’elle ait pu dire un truc, 4 mecs l’avaient saisie, déshabillée et attachée sans ménagement sur le truc en métal… Poignets et chevilles tirées, ça lui rappelait un truc.
Brutalement une pluie de ceinturon, s’abattit sur son dos et ses fesses. Tous plus forts, les uns que les autres. Son dos rougissait, son cul était violet, et cela ne s’arrêtait pas, il fallait que ça saigne !
Quinze bonnes minutes qu’elle hurlait comme une bête, pleurait, et ça n’arrêtait pas, maintenant il y avait des coupures qui saignaient. Et la douleur !
Un arrêt brutal. Même pas le temps de souffler, et un énorme gland s’enfonçait brutalement dans ses reins, violemment, à sec. Un vrai pal.
Ce n’était que le début .
Ca giclait et mollissait, alors un autre arrivait, plus gros, plus dur, plus long.
Et elle hurlait, de douleur d’abord, de plaisir ensuite .
Elle en compta neuf, avant de perdre le fil.
Et ça continuait, on la défonçait sans ménagement. Elle se sentait écartelée, possédée, souillée, humiliée, réduite à l’état de trou.
On rentrait, on sortait. Vers deux heures, elle s’écroula , tomba dans les pommes.
Et ça continuait. De temps en temps, on la réveillait à coups de seau d’eau glacée.
Pour les blacks, ça rentrait comme dans du beurre dans le sphincter éclaté.
Ils l’empalaient de plus en plus longuement avec leurs matraques turgescentes.
Epuisés, les couilles plates, c’est seulement vers sept heures du matin que les hommes avaient délivrés Pascale. Une Pascale, au fion éclaté, ouvert, saignant légèrement, au corps strié de plaies.
Le bonheur total pour une chienne comme elle…
Auteur:Erik