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Gwen creation

La soirée

Suite de -la rencontre-

Madame D. roule tranquillement et repense aux évènements de la journée. Elle vient de faire bonne acquisition. Emilie est la soumise parfaite. Elle a du mal à se l’avouer mais cette rencontre a été plus houleuse émotionnellement qu’elle ne l’aurait voulu. Elle appuie sur un raccourci de son Smartphone. Un SMS « j’arrive » est envoyé.

Emilie aussi revit le film de la journée. Madame D. l’accepte. C’est la maitresse idéale. Une femme au physique sublime, un regard magnétique et charismatique, un sens naturel de la domination tant physique qu’intellectuelle. En y repensant elle réalise que madame D. ne lui a donné aucun ordre direct, tout au plus a-t-elle émit des souhaits, et s’est contentée de gestes discrets.

Elles arrivent devant une grande maison de ville. Un sac de voyage à la main, Emilie suit madame D. vers l’entrée principale. A son approche, la porte s’ouvre sur un grand salon. Une jeune femme, 25 ans peut-être, les attend. Son habit de femme de ménage à l’anglaise ne cache pas grand-chose de ses belles courbes harmonieuses et lui donne une élégance sexy. C’est une asiatique aux traits fins, à la poitrine généreuse. Un peu plus petite qu’Emilie, elle a la peau cuivrée, les cheveux mi-longs et de belles lèvres pulpeuses. Des lèvres pour servir se dit Emilie. Durant tout le voyage elle a redouté la rencontre avec la première fille objet. Madame D. s’assoit dans un fauteuil en cuir. Une fois la porte fermée, la soubrette se dirige vers Madame D, installe un repose-pied assorti au fauteuil devant elle, y pose délicatement les jambes de sa maitresse, puis la déchausse. Madame D. lui demande.

 

          As-tu passé une bonne journée ?

-           Madame, vous m’avez terriblement manquée. Et vous, comment c’est passée votre journée.

-           Une très bonne journée pleine de surprise.

 

Emilie attend debout, tête baissée mains croisées sur le ventre. Elle semble inexistante aux yeux de l’asiatique. Elle regarde avec envie et même une pointe de jalousie cette beauté exotique s’occuper de sa nouvelle maitresse. Elle se trouve dans un grand salon décoré avec goût et sobriété. Que peut-elle faire sinon attendre. Une fois Madame D. bien installée, la fille lui apporte un verre agrémenté une tranche de citron frais et une bouteille de Perrier. Elle remplit le verre et le pose sur une petite table proche du fauteuil, puis attend debout tête baissée. Madame D. prend le temps de boire. Emilie observe attentivement la scène. Du coin de l’œil elle croit voir Madame D. faire un signe, un signe discret, un signe imperceptible. L’asiatique se met à genou, fesses sur les talons aux pieds de Madame D.. Elle prend un pied et le masse tendrement amoureusement. Elle y dépose délicatement ses lèvres fait glisser sa langue entre les orteils. Emilie est au supplice. Elle veut servir Madame elle aussi. Après de longues minutes qui semblent être des heures, Madame D. la regarde, regarde son pied libre et lui fait un petit signe de tête approbateur. Emilie se place à côté de L’asiatique et elle prendre tendrement l’autre pied. Elle lui fait l’amour. Sa culotte est vite inondée. Elena l’avait parfaitement dressée pour ça, comme le chien de Pavlov. Madame D. profite des deux femmes. Après une randonnée, une activité physique ou une journée de travail, elle apprécie qu’une langue lui nettoie et lui rafraichisse les pieds, deux langues c’était encore mieux. Que ses pieds soient sales, odorants n’est pas son problème. Les deux femmes objets ne semblent pas s’en soucier non plus. Cependant elle ressent une tension chez l’asiatique. Elle lui retire son pied lui tapote la joue avec.

 

-           Allons, allons, ne sois pas jalouse, vous êtes deux et j’ai deux pieds. La gronda-t-elle.

 

Elle lui rend son pied. Madame s’adressa ensuite en riant aux deux filles.

-           Julie, je te présente Emilie. Emilie, je te présente Julie. J’espère que votre passion commune sera le ciment d’une belle et longue amitié.

 

Julie et Emilie restèrent assises, se firent trois les bises conventionnelles sur les joues en se disant mutuellement.

 

-           Bonjour, ravie de vous connaitre.

 

Madame D. fait la moue, alors Julie prend la tête d’Emilie et plaqua ses lèvres sur les siennes. Comme Madame D. ne semble toujours pas satisfaite, elle force les lèvres d’Emilie avec sa langue pour un baiser langoureux. Elles sont tendues dans cette étreinte fortement suggérée. Toujours confortablement installé dans son fauteuil, Madame leurs tapota la tête avec ses pieds. Cette marque d’affection a le don d’apaiser les tensions. D’abord Julie puis Emilie qui se laissent aller.

 

-           On va vivre de beaux moments ensemble. Conclut Madame.

 

Les filles se remettent au service de leur maitresse. Après un certain temps, Madame D. ramène ses jambes vers elle, les cuisses bien écartées laissant apparaitre une culotte blanche en coton. Emilie a une vue plongeante sur l’intimité de Madame et son excitation augmente. Julie pousse le repose pieds et place sa tête dans l’entre jambes, glisse une main et resta immobile. Madame non plus ne semble pas réagir à une quelconque sollicitation de Julie. Cela dure moins de deux minutes puis Julie sort la tête et replace la culotte blanche à sa place. Emilie regarde sans trop comprendre ce qui se passe. Elle sait reconnaitre quand une femme en lèche une autre, ce ne semble pas être le cas ici. Madame s’adresse à Emilie.

 

-           As-tu besoin de faire pipi ?

-           Oui Madame.

 

Julie s’approche alors d’Emilie, s’accroupit devant elle, fait glisser sa culotte déjà bien trempée et la retire, lui écarte les jambes, met ses mains sur les fesses d’Emilie, et plaque sa bouche grande ouverte sur son sexe glabre. Emilie attend gênée tandis que Julie continuer de caresser ses fesses rondes et fermes en gardant sa bouche hermétiquement collée sur son sexe. Emilie ne sent aucun mouvement de langue. Une gêne l’envahit.

 

-           Alors Emilie, va y, lui dit Madame D., soulage toi.

 

Pour l’aider Julie passe une main sur le ventre d’Emilie et fait pression sur sa vessie. Emilie se relâche et pisse par petits jets contenus dans la bouche offerte. Elle est surprise de sentir que cette bouche ne semble jamais se remplir. Sa miction finit, Julie passe sa langue sur son sexe deux ou trois fois pour la nettoyer et se relève.

 

-           Tu lui apprendras Julie ! dit Madame D..

-           Oui Madame.

 

Julie quitte la pièce. C’était la première fois qu’une bouche touche le sexe d’Emilie qui en est toute émue. Elle aurait apprécié que les trop brefs coups de langue durent plus longtemps. Comment Julie a-t-elle fait ? Comme lisant dans ses pensées, Madame lui répond en riant.

 

-           Elle t’apprendra à le faire. C’est technique, mais c’est surtout pratique pour moi, spécialement en pleine nuit. Je n’ai même pas besoin de me réveiller entièrement et Je me rendors rapidement ensuite.

 

Pour Madame, Emilie est prête à tout apprendre, à tout faire. De retour, Julie amène Emilie dans une salle de bain pour se doucher. L’eau est froide, mais Emilie met un point d’honneur à être impeccable pour Madame. Pour la soirée elle a apporté des dessous en dentelles verts et une élégante robe courte et sexy. Elle retourne au salon. Julie et Madame D. apparaissent plus tard. Madame fraîche, douchée porte une robe courte qui met sa poitrine et ses fesses en valeur. Elle s’approche d’Emilie et commence à l’embrasser à pleine bouche. Les mains de Madame D. parcourent le corps d’Emilie qui frissonne de plaisir. Elle lui rend ses caresses. Julie se place derrière Madame D., se baisse et glissa sa tête sous la jupe. Madame D. ne porte pas de culotte. Julie embrasse les fesses, les caresses, puis doucement les écartes et glisse sa langue pour attendre son orifice ridé. Elle commence par des petits coups de langue fermes et rapides pour démarrer l’excitation annale de Madame D.. Elle focalise son attention sur sa langue pour ressentir les micros mouvements de contraction du rectum qu’elle serre. Julie sait alors que Madame D. apprécie particulièrement la situation. Depuis le temps qu’elle est à son service, Julie a appris à utiliser sa langue, ses lèvres pour détecter la moindre vibration le moindre mouvement du corps de sa maitresse pour en connaitre la signification. Sur d’imperceptibles signaux du corps de Madame D.. Julie s’adapte pour optimiser le plaisir et les sensations de sa maitresse. Madame D. apprécie la dévotion de Julie.

Il est temps de mettre Emilie à l’épreuve. Elle met ses mains sur les épaules de sa nouvelle acquisition et Emilie descend naturellement. Madame D. écarta les jambes pour permettre à ses deux femmes de compagnie d’accéder facilement à son intimité. Emilie trouve un sexe rasé façon ticket de métro. Elle voit le bout de la langue de Julie apparaitre discrètement en bas du vagin. Madame D. a de grandes lèvres épaisses, rouge de désir, luisantes de mouille. Emilie commença par y gouter avec de petits bisous délicats. Madame D. a bon goût pense-t-elle. Elle fait de son mieux pour montrer l’entendue de son art à sa nouvelle maitresse. Elle continue par de longs coups de langue autours des grandes lèves, les prenant entières dans la bouche, les tirants par aspiration, une par une ou les deux en même temps. Elle passe ensuite lentement une langue molle à l’intérieur. De temps en temps les langues d’Emilie et de Julie se touchent. Tout en caressant Madame D., les deux filles prennent un instant pour explorer le corps de l’autre. Madame D. commence à onduler du bassin. Pour Julie c’est le signe qu’elle doit pousser plus loin ses investigations. Jusqu’à présent, quand Madame lui offre son cul, elle lui branle le clitoris en même temps pour l’amener à l’orgasme ; pas aujourd’hui. Emilie fait de son mieux. Son visage est trempé par le plaisir donnée. Elle pousse sa langue aussi loin que possible dans les profondeurs humides. Elle stimule le clitoris avec deux doigts. Emilie cherche à synchroniser un orgasme vaginal et clitoridien. Madame D., sent les deux langues s’insinuer au plus profond d’elle-même. Elle pose ses mains sur la tête d’Emilie pour la guider, plus par réflexe que par nécessité. Emilie fait des miracles avec sa langue agile. En bas les deux filles accélèrent leurs mouvements pour la suivre dans son orgasme. Madame D. sent une vague de plaisir monter, elle ne peut plus rien faire pour l’arrêter, elle jouit dans un long râle. Ses jambes tremblent et la retiennent à peine. Elle agrippe la chevelure blonde d’Emilie pour plaquer sa tête contre elle et pousser plus profondément sa langue. Emilie est noyée par un jet de cyprine puissant au point qu’elle a du mal à respirer. Julie sent sa langue être écrasée par l’anus affamé puis éjectée. Les deux filles retirèrent doucement leurs langues et continuent de doucement lécher Madame D. permettant un atterrissage en douceur. Madame D. tapote leurs têtes pour leurs signifier de se relever. Elle leurs fait un signe approbateur.

Les trois femmes se rendent ensuite dans une grande cuisine. Au milieu, se tient une table entourée de confortables chaises en cuir. Une agréable odeur de nourriture ouvre l’appétit d’Emilie. Julie a préparé le repas pendant l’après-midi. Il ne reste qu’à réchauffer et à dresser les assiettes. Madame D. s’assoit et Julie lui sert un Perrier avec une tranche de citron. Elle retourne à ses casseroles et demande.

 

-           Alors Diane, elle sait y faire la nouvelle ?

 

Emilie en reste toute ébaubie, ce qui fait rire Madame D. ou Diane comme elle vient de l’apprendre. Diane commente.

 

-           La cuisine, c’est le royaume de Julie. Elle y reste ma soumise bien sûr, mais elle a une liberté de paroles total.

 

S’adressant à Julie.

 

-           Oui Emilie sait comment donner du plaisir. On pourra en faire quelque chose.

 

Ce compliment fait rougir Emilie. Diane fait pivoter sa chaise vers Emilie, glisse le bassin en avant et du doigt, l’invite à passer entre ses cuisses. Emilie s’exécute et recommence à gouter son sexe insatiable. Diane continue sa discussion avec Julie.

 

-           Elle a été à bonne école. Elle pourra même être prête pour le concours.

-           Vous êtes sûr qu’elle aura le niveau ?

-           On verra. Il faut déjà qu’elle reste avec nous.

 

Emilie se demande de quel type de concours il s’agit, mais reste concentrée sur le plaisir qu’elle donne. Elle veut garder sa maitresse en excitation permanente, sans la faire jouir, pour lui permettre de continuer sa conversation. Si jamais Diane veut un orgasme elle lui fera savoir.

Julie s’étonna de cette remarque.

 

-           Pourquoi l’avoir fait venir ici si vous ne voulez pas d’elle ?

-           Au départ d’une rencontre tout est toujours beau, pour tout le monde. Passé le temps de la découverte, qu’en sera-t-il°? Nous sommes trois, il va falloir trouver un nouvel équilibre. Imagine qu’elle et toi ne vous entendiez pas ?

-           Je ne comprends pas, c’est vous qui décidez.

 

La discussion intéresse Diane qui veut prendre l’avis d’Emilie. A regret, elle la fait remonter.

 

-           Emilie, tu nous as entendus. Peux-tu nous faire part de ton avis ?

 

Emilie prend le temps de répondre.

 

-           Madame, vous êtes notre maitresse et nous sommes soumises à votre désir et votre volonté. Si je ne me trompe pas, votre but est l’harmonie et la sérénité. C’est la raison pour laquelle vous ne donnez pas d’ordres. Si Julie et moi ne nous entendons pas, votre sérénité en sera contrariée. Pour cette raison, Je vous soupçonne d’avoir pris l’avis de Julie en compte pour me choisir.

 

Julie s’étonne.

 

-           C’est vrai Diane, vous avez pris mon avis en compte ?

-           Oui, elle n’est pas loin de la vérité. Allons plus loin, Emilie, que se passerait-il, si Julie et toi ne vous appréciez pas.

-           Ce serait mauvais pour toutes les trois. Je devrai probablement partir et la relation entre vous en sera ternie. Madame, pour vous j’aimerai Julie.

 

Emilie se tourne vers Julie.

 

-           Ce ne sera pas très difficile. Julie est une très belle femme, attirante, sexy et séduisante. En plus si vous l’avez choisie, c’est qu’elle doit avoir de grandes qualités.

 

Ces compliments ne laissent pas Julie indifférente. Cependant, elle n’en laisse rien paraitre.

 

-           Et toi Julie, qu’en penses-tu ? Demande Diane.

-           Je pense pouvoir facilement me laisser tenter par Emilie. Diane vous avez fait une bonne chasse.

 

Le repas est très agréable. Julie est un vrai cordon bleu

Les trois passent au salon. Diane propose un poker. Toute les cinq parties celle qui aura le moins de jetons se soumettra pour une durée 20 minutes à celle qui en aura le plus. Les jetons seront ensuite redistribués pour une nouvelle manche.

Julie remporte haut la main les deux premières parties. Emilie hypnotisée par le sourire de Diane n’arrive pas à entrer dans le jeu. Discrètement, Diane se déchausse et fait glisser son pied dans l’entrejambe de Julie. Elle glisse doucement son gros orteil dans la fente humide et fait un mouvement de bas en haut. La troisième partie n’est pas finie que des gouttes de plaisir coulent sur son pied. Emilie remporte les trois parties suivantes et la manche. Julie a perdu. Emilie en est soulagée, Elle n’aurait rien osé demander à Diane. Elle s’adresse à Julie.

 

-           Montre-moi ta langue s’il te plait.

 

Elle a cru sentir un piercing sur sa langue lors de leur baiser. Quelque chose d’autre l’a surprise. Julie et Diane sourient. Julie sort doucement une langue qui arbore effectivement un piercing. La langue continue de sortir de sa bouche sans jamais s’arrêter. Emilie met ses mains devant sa bouche et s’exclame.

 

-           Oh mon dieu, elle est immense.

 

La langue semble avoir sa propre vie. Elle ondule doucement ou devient dur comme un pieu.

 

-              Je peux la toucher ?

-              Bien sûr Emilie, je t’appartiens pour encore 18 minutes.

 

Elle joue avec quelques minutes puis demande.

 

-              C’est naturel ?

 

Julie explique.

 

-           Oui c’est ma vraie langue et non elle n’était comme ça à l’origine. Un jour que je faisais jouir Madame avec, elle m’a demandé de l’enfoncer le plus loin possible dans sa chatte. Elle aime sentir ma langue la pénétrer. Pour lui donner le maximum de plaisir, j’ai décidé d’avoir la langue la plus longue possible. J’ai rencontré un médecin qui m’a coupé le frein pour l’allonger un peu. C’est la seul fois que j’ai vu Madame en colère contre moi.

-           Pourquoi en colère ?

-           Elle m’a dit que j’étais une petite idiote. Que j’avais pris des risques inutiles. Que ma langue pouvait rester paralysée et que je ne lui serais plus d’aucune utilité alors. J’ai aussi eu très peur. Pendant une semaine je n’ai mangé que de la soupe, le temps de la cicatrisation. Ensuite, j’ai fait des exercices quotidiens et sans risques pour la muscler et l’allonger. Veux-tu que je te montre ?

-           Oui bien sûr.

 

Emilie qui s’attend à voir de quels exercices il s’agit, est surprise de voir Julie glisser sous la table pour s’installer entre ses jambes. A la surprise générale elle la repoussa en criant

 

-           Non.

 

Julie ressort de dessous la table.

 

-           Excuse-moi, j’ai pris peur. C’est la première fois.

-           Personne ne t’a jamais bouffé la chatte ?

-           Non personne, ni même vraiment toucher.

-           C’est toi qui ne veux pas ?

-           Non, mon ex me demandait de tout lui faire, mais elle ne m’a jamais rien fait. Ensuite je n’ai pas eu de vraies relations.

-           Tu voudrais qu’on s’occupe de toi ?

-           Oui.

 

Diane qui observe attentivement la situation intervient.

 

-           Partie suivante.

 

Diane laisse Julie tranquille qui gagne la manche haut la main au détriment d’Emilie. Julie regarda Emilie avec gourmandise.

 

-           Madame dit que tu donnes bien du plaisir, déshabille toi et allonge toi sur le dos.

 

Une fois en place, Julie se tient au-dessus de sa tête et descend doucement pour plaquer sa chatte juteuse sur la bouche prête à servir.

 

-           Bouffe moi la chatte salope, fait moi jouir.

 

Le langage vulgaire augmente l’excitation d’Emilie. Elle se met à travailler le sexe brulant et dégoulinant de jus qui l’écrase, le bout de son nez bien plaqué sur un anus entrouvert. Elle branle le clitoris de l’asiatique. Entre le dernier orgasme qui date de quelques jours et le savoir-faire d’Emilie Julie explose au bout de quelques coups de langues bien placés. Julie se relève, le souffle court et saccadé. Elle regarde Emilie avec un large sourire, des étoiles dans les yeux.

 

-           Madame a raison, tu sais y faire. Tu es quand même une belle salope, tu aurais pu faire durer le plaisir.

 

Diane se sent toute excitée. Elle hésite à arrêter la partie et à commander à ses deux chiennes en chaleurs de la soulager. Non, elle se contrôlera. Elle retire sa main qui caresse son sexe à l’insu de son plein grès.

 

-           Mesdemoiselles, le gage est terminé, les cartes vous attendent.

 

Julie encore terrassée par la prestation de d’Emilie ne suit plus le jeu. C’est Emilie qui gagne et Diane qui perd.

 

-           Emilie, je t’appartiens pour les 20 prochaines minutes. Comment puis-je t’être agréable ?

 

Emile prend la main de Diane, l’installe sur le canapé du salon, puis s’installe entre ses jambes pour s’occuper d’elle. Pendant 20 min, elle peut jouir sans entrave du sexe de sa maitresse. Elle découvre une chatte offerte et dégoulinante de plaisir n’attendant que son savoir-faire. Elle l’embrasse comme on embrasse une amoureuse. Julie regarde les deux femmes, l’une qui donne, l’autre qui reçoit. Elle ne ressent pas de jalousie, juste la frustration de ne pas pouvoir participer. Elle connait son rôle : attendre pour servir.

Diane appréciait la prestation. Elle est heureuse du choix d’Emilie. La durée du gage est terminée depuis longtemps quand Emilie décida de faire jouir sa maitresse. Il est tard pour les filles fatiguées par la journée. A la grande surprise de Julie, Diane fait comprendre qu’elle désire dormir seule. Julie amène Emilie dans sa chambre.

 

-           Acceptes-tu de dormir avec moi cette nuit ?

-           Oui bien sûr.

 

Dans la chambre, Emilie enfile une nuisette. Elle regarde Julie se déshabiller. Qu’elle est belle. Elle sent des papillons se réveiller dans son ventre mais n’ose rien dire, rien faire. Les deux filles se glissent sous les couvertures, chacune de son côté. Timidement Julie demande

 

-           Veux-tu que je te fasse plaisir ?

 

Cette simple question met fin à la tension sexuelle d’Emilie qui se met à rire de bon cœur. Vexée, Julie demande.

 

-           Qu’est ce qui te fait rire ?

-           Tu m’as posé la question que je brulais de te poser sans en avoir le courage. Tu es belle Julie, j’ai vraiment envie de te faire plaisir. Tout ce que tu veux.

 

A son tour Julie sourit.

 

         -             On fait quoi alors ?

         -             Je ne sais pas. Nous sommes deux soumises à la recherche de notre maitresse.

 

Julie pose un baiser sur les lèves d’Emilie et lui dit.

 

-           Toi aussi tu es très belle. Je suis contente que Madame t’ai rencontrée.

 

Avant de s’endormir Emilie a une dernière pensée ironique : Deux soumises incapables de se soumettre au désir de soumission de l’autre.

 

Diane a besoin de méditer sur les événements de la journée. Quelque chose la travaille. Elle commence à faire un bilan de la situation.

 

Emilie est parfaite. Une très jolie fille, séduisante sportive comme moi. Sa soumission timide me plait et m’excite énormément. Entre ses mains, sa bouche je me sens une vraie déesse. Elle a de solides compétences pour donner du plaisir et je n’ai encore pas tout expérimenté. J’aime sa sincérité presque naïve. Elle a de l’instruction, de l’esprit, et un grand sens de l’observation. Dans la cuisine j’ai même eu l’impression qu’elle lisait dans mes pensées quand elle glissait sa langue dans mon sexe. Elle est pertinente dans ses idées et ses arguments. C’est la fille parfaite. Alors quoi ! Julie la rapidement acceptée, sinon elle ne lui aurait jamais demandé un orgasme durant la partie de poker. De plus, je n’ai donné aucune instruction pour cette nuit. Julie pouvait la faire dormir dans la chambre d’amis. Non elle l’a invitée dans son lit. Alors quoi ! Je n’ai senti aucune gêne chez Emilie vis-à-vis de Julie. Je l’ai vu lui donner un orgasme de bon cœur. Il n’a nullement été question qu’elle reste à la maison plus que la soirée, et pourtant elle passe la nuit ici le plus naturellement du monde. Alors quoi ! Pour être honnêtes avec moi-même, je commence même à avoir des sentiments pour elle, sentiments qui semblent réciproque. Alors quoi ! Mon malaise vient de la partie de poker perdue face à elle. Mon gage a été d’être sa soumise. Elle m’a obligée à accepter sa soumission. Bien sûr j’ai été touchée et flattée de voir que son plus grand désir du moment était de me servir de me faire jouir, de la voir jouir de mon corps. J’aurai apprécié sortir de mon rôle de dominatrice et elle m’y a remise de force. Pourquoi cela me dérange-t-il ? Nous avons accepté de nous rencontrer justement parce que je suis une dominante et, elle une soumise. Alors quoi ! Suis-je vraiment une dominante ? J’aime être servie être adorée, être choyée depuis plusieurs années, depuis que j’ai rencontré Julie. C’est que l’histoire se répète. Tout a commencé il y a 6 ans, dans le cadre de mon travail de commissaire au compte. Je suis venue auditer une grosse entreprise de la région. Le patron m’a accueillie, m’a installée dans un bureau et a mis à ma disposition son assistante : Julie. Elle devait me trouver toutes les pièces comptables, les archives nécessaires à l’exécution de ma mission. C’est une pratique courant, lors d’un audit. Il faut aller vite. Je me suis mise au travail sans faire attention à elle. Dans la matinée alors que nous partagions un café, je lui ai fait part de ma douleur aux pieds causée par mes chaussures neuves. Elle s’est absentée une minute pour revenir avec un petit coussin puis m’a dit : Madame, si vous avez mal aux pieds, j’ai ce qu’il faut pour vous. Elle m’a enlevé les chaussures et a placé le coussin comme repose pieds sous le bureau. Absorbée par l’analyse d’un problème d’écart de stocks, je me suis laissée faire sans réagir, sans même me rendre compte de ce qu’elle faisait. A l’heure du déjeuner, elle m’a apporté mes chaussures, qu’elle avait rangées, et m’a chaussée. J’ai été un peu surprise bien sûr, mais je n’ai pas réagi. Ce fut une habitude pour le reste de la semaine. Elle me déchaussait à mon arrivé et me rechaussait pour sortir. Chaque matin elle apportait des fruits, des viennoiseries qu’elle partageait avec moi. Elle exécutait toute mes demandes liées à l’audit, avec le sourire. J’étais tellement absorbée par mon travail, qu’en dehors d’apprécier sa discrétion et son efficacité, je ne me suis même pas aperçu combien elle était belle et serviable. Sans en prendre conscience, je m’adressais à elle par son prénom en usant du tutoiement. Elle me répondait avec des « Madame » et du vouvoiement. Tout a changé le vendredi, dernier jour de ma mission. En fin de matinée, son patron m’a informé que l’entreprise fermait à midi et Julie acceptait de rester avec moi jusqu’au soir. Elle avait les clefs des locaux et le code de l’alarme. A midi, pour gagner du temps, nous avons mangé sur place. Pendant le repas, j’ai fait la remarque que personne ne nous avait dérangé de toute la semaine. Julie m’a donné l’explication : Lundi matin, quand mon patron vous a vu derrière la verrière, il est venu me chercher pour me dire que vous étiez, selon ses mots, « une vraie bombe ». J’ai eu comme instruction de ne laisser personne vous approcher et vous perturber dans votre travail. De son coté, mon patron a fait passer le mot que si quelqu’un venait vous voir, il devrait ensuite se rendre à son bureau lui donner des explications. Personne n’a envie de se rendre dans le bureau du patron pour s’expliquer. Julie a continué en rougissant autant que ce fut possible : Mon patron a raison, vous êtes vraiment canon et super sexy. C’est à ce moment que j’ai réalisé combien Julie était belle et séduisante. J’ai ressenti des papillons dans le ventre et je crois même que j’ai rougi. Je lui ai proposé d’aller ensemble au restaurant, une fois mon travail fini. Elle a accepté sans hésitation. Pendant la pause-café, elle s’est placée derrière moi pour me masser les épaules et la tête. J’ai commencé à avoir envie d’un peu plus qu’un simple restaurant avec elle. Durant l’après-midi je la voyais rougir à chacun de me regards. Comme Je suis incapable de clôturer un dossier qui n’est pas parfaitement terminé, contrôlé, nous sommes sorties juste avant 21 heures. C’était un peu tard pour un restaurant. Julie m’a invité à manger chez elle. Arrivé dans son appartement, elle m’a installé dans un fauteuil, m’a déchaussée, m’a massée les pieds quelques instant, m’a offert des chaussons, et m’a demandé ce que je souhaitais manger. J’ai pris l’initiative de l’embrasser et nous avons passé la nuit ensemble à faire l’amour. En fait, elle a passé la nuit à me faire l’amour et moi à jouir. Elle se débrouillait pour que je ne la touche pas. Je me rappelle encore de ses paroles : « Mon plaisir c’est de vous servir ». Après chacun de mes orgasmes, elle me disait : « Merci Madame ». Elle glissait ma main sur son sexe et me la montrait toute trempée « Regardez comment vous m’excitez Madame », puis elle suçait mes doigts. Nous avons passé le week-end ensemble. Je n’avais jamais autant joui de ma vie. Le dimanche soir j’étais épuisée. Julie a vite emménagé chez moi. Sans aucune demande de ma part, elle s’est mise à s’occuper de tout, la cuisine, le ménage, les commissions… Quand je rentrais le soir, la maison était parfaitement propre et rangée, le repas prêt. C’est elle qui a créé un raccourci sur mon téléphone pour que je lui envoie un texto automatique avant d’arriver. Elle m’a expliqué que c’était pour m’accueillir dans les meilleures conditions possibles. J’ai pris l’habitude du cérémoniale à mon arrivé. A mon approche elle m’ouvre la porte, me débarrasse de mon manteau, m’installe dans un fauteuil pour de déchausser, et si je le permets elle me masser les pieds d’abord avec les mains, et avec mon accord, avec la bouche et la langue. Elle se place ensuite derrière moi, place ma tête entre ses seins généreux et commence par un massage de la tête, des épaules et des bras. Chaque fois que nécessaire, j’ai droit à une séance de manucure et de pédicure. Le matin, c’est elle qui m’habille et me maquille. Tout s’est fait par étapes, presque naturellement. C’est facile de se faire servir, d’être traitée comme une reine, on y prend vite goût. Le soir du premier anniversaire de notre rencontre, elle m’a attendue à la porte avec une rose entre les dents, un nœud rouge dans les cheveux, et paquet cadeau. Elle était habillée d’un ensemble de lingerie sexy rouge vif, soutien-gorge en dentelle provoquant, string et porte jarretelle chic, le tout posé sur des talons hauts. En la voyant, j’ai senti une excitation sexuelle m’envahir. Si elle ne m’avait pas tendu le cadeau en me souhaitant un bon anniversaire, je lui sautais dessus pour la violer. C’était un élégant collier type collier de chien et la laisse assortie. Elle s’est mise à genou devant moi, m’a regardé droit dans les yeux et m’a dit : « Madame, je vous appartiens, je n’existe que pour vous servir et vous rendre heureuse, faite de moi ce que vous désirez », elle a mis elle-même le collier, a pris la laisse entre ses dents et a attendu. J’ai accepté sa soumission et bien sûr nous avons passé une nuit formidable et inoubliable. Mon intronisation de maitresse m’a terriblement excitée. Pour la première fois de notre relation, j’ai joué à lui donner des ordres, qu’elle exécutait avec le plus grand enthousiasme. Officiellement je devenais une dominante et elle ma soumise. Nous sommes rapidement revenues à notre fonctionnement normal : j’émets des souhaits qu’elle transforme en réalité, comme la tenue de femme de chambre anglaise qu’elle porte. Maintenant que j’y réfléchi je réalise que la majorité de nos pratiques viennent d’elle et non de moi. Un jour qu’elle me lavait sous la douche, j’ai commencé à pisser et elle a placé sa jambe sous mon jet et m’a dit combien elle aimait sentir ce liquide chaud glisser sur la cuisse. J’ai pensé que sous la douche, il n’y a pas de mal. Quelques semaines plus tard elle a remplacé sa jambe par sa poitrine. Une fois qu’elle s’était bien baissée, je lui ai dit de faire attention sinon je risquais de lui pisser sur le visage. Elle m’a regardé avec défi et m’a dit : « Vous n’en être pas capable Madame, et elle a placé son visage sous mon sexe. Par bravade, j’ai relevé le défi. Quand cette pratique est devenue naturelle, elle a placé sa bouche sur mon sexe et a commencé à boire, et sans m’en apercevoir, je l’utilisais comme WC à la maison comme à l’extérieur. Aujourd’hui elle boit aussi vite que je pisse, je n’ai pas à me contrôler. Elle finit avec quelques coups de langues pour me nettoyer. Dans son sac à main, elle garde un flacon de bain de bouche et des lingettes pour se nettoyer après une miction. Avant, jamais, je n’aurai accepté de pisser dans la bouche d’une femme. Elle a agi de manière tellement progressive, par jeu et par défi que je n’ai pas réalisé ce que je faisais. Aujourd’hui j’apprécie beaucoup ce service, surtout la nuit et au petit matin. Dehors, je ne m’occupe plus d’aller au WC, de me forcer, ne sachant pas quand je trouverai de nouveaux WC, elle est là. C’est elle qui y va pour deux. Je vais avec elle dans les cabines d’essayage pour me soulager ou dans un parking entre deux portes. Il y a eu aussi le chalenge « love » et bien d’autres choses encore. C’est bien là le problème. Je réalise que ma soumise m’a placée dans un rôle de dominante sans mon accord et qu’elle m’a bien dressée. Je suis devenu sa maitresse par sa volonté et non la mienne. Maintenant que j’en prends conscience je réalise que je suis sa soumise. Je suis soumise à ses désirs pervers et lubriques de soumission. Maintenant que c’est dit ça change quoi ? Elle ne m’a jamais trompé, menti ou trahi, elle a tout fait au grand jour, j’ai accepté et j’ai aimé. Ce soir encore, devant Emilie, j’étais fier de l’accueil que me réserve Julie, de l’excellence de sa cuisine. Et si je répudie Julie ? Elle m’a trop donné le goût d’être servie comme une reine, d’avoir toujours une fille objet pour assouvir ma libido. Je ne peux pas revenir en arrière. Il me faut une soumise, et comme Emile me l’a fait comprendre ce soir, une soumise ne m’autorisera pas à sortir de mon rôle de dominante. CETTE SALOPE DE JULIE M’A PIEGE. Julie m’aime, elle l’a fait par amour pour moi, et moi, je l’aime aussi. Je ne pourrai pas me passer d’elle, pas uniquement de ses services, mais parce que c’est elle. Maintenant que j’y pense c’est moi qui ai choisi d’avoir une deuxième fille à mon service ou c’est Julie ? Emilie est-elle un heureux hasard ?

 

Diane ressent une furieuse envie de se venger. Mais comment ? Comment se venger de cette fille qu’elle aime. Comment la punir sans se punir elle-même. Elle peut utiliser Emilie contre Julie, c’est jouer avec le feu au risque de tout perdre. Devant l’impasse de sa réflexion elle prend le problème sous un autre angle : « de quoi ai-je envie ?», « De quoi ai-je envie maintenant ?, tout de suite ?». Elle fait tinter la clochette placée sur sa table de chevet. Julie réagit à ce son familier. Elle réveille doucement Emilie.

 

-           Madame a besoin de nous.

 

Diane attend dans son lit, la lampe de chevet allumée. D’un signe discret elle informe Julie qu’elle veut se soulager la vessie. Julie glisse sous les couvertures et plaque sa bouche sur le vagin de Madame. Juste avant que Diane se lâche dans sa bouche Julie réalise que sa maitresse est excitée et désire plus qu’un service WC. Une fois fini, elle part se laver la bouche.

 

-           Tu ne rester avec nous ? Demanda Diane.

 

Julie comprend qu’elle doit rester et se place au pied du lit en position d’attente : debout, pied joint, tête baissée, mains croisées sur le bas du ventre. Sur un signe, Emilie se dirige vers Diane qui lui prend la tête pour l’embrasser à pleine bouche.

 

-           J’ai envie de toi. Sort de ta nuisette et vient avec moi. Maintenant, occupe-toi de mes seins, ensuite du me fera jouir.

 

Emilie caresse les beaux seins ronds, les embrasse, suce les tétons durs et fièrement dressés. Diane gémit de plaisir. Tout en caressant Emilie, Diane la déplace de manière à ce que Julie puisse avoir une vue dégagée sur sa féminité. Emilie balance doucement son cul, sa chatte brulante et trempée. Elle est maintenant tout au bonheur de s’occuper de Madame. Diane n’a qu’à lui poser un doigt sur l’épaule pour qu’elle descende la faire jouir. Julie voit le cul et le sexe de sa nouvelle amie s’approcher d’elle. Elle sent l’odeur de la femelle en rut, voit son anus frémir au gré du plaisir donné. Ce tableau vivant met Julie dans tous ses états et augmente sa frustration et son excitation. Sa chatte devenait brulante et une goutte commence à perler le long de sa jambe. Elle se retient de se pencher et glisser sa langue dans l’un des deux trous offerts. Elle meurt d’envie de participer, ou qu’au moins, on la laisse se soulager. Ses doigts se trouvent à moins d’un centimètre de son clitoris. Elle n’a pas l’autorisation. Quand l’orgasme frappa Diane, Julie voit un anus se contracter violemment une chatte dégoulinante frémir de plaisir. C’est comme un coup de fouet pour Julie.

 

-           Tu es extraordinaire Emilie, ne t’arrête pas, continue, bouffe moi la chatte, fait moi jouir. Mets-moi un doigt dans le cul

 

Julie est au supplice. Pourquoi ne lui demande-t-elle pas de s’occuper de son cul. Sa langue est meilleure qu’un doigt. Elle peut la sodomiser avec. Elle attend, sans bouger, rouge d’excitation et de frustration. Le derrière d’Emilie se balance devant elle, n’arrange rien à sa tension sexuelle.

Après son deuxième orgasme, Diane fait signe à Julie de d’approcher. Arrivée proche de la tête de lit, Diane lui fit signe de retourner à sa place :

 

-           Non désolé, tu pues trop la pisse. Emilie, montre-moi comment tu peux me faire joui par le cul.

 

Julie se remis à sa place rouge de honte et d’humiliation, tête baissée par l’abattement. Diane se met sur le ventre et lève son bassin. Emilie s’installe derrière, met ses bras autour sa taille, une main pour s’occuper de son clitoris, l’autre pour la doigter. Elle commence par des bisous pointus, des coups de langues vifs et rapides sur le trou marron qui s’ouvre et se referme doucement. Elle coordonne le mouvement de sa langue avec la pénétration de ses doigts dans le vagin et la stimulation clitoridienne. Elle accompagne Diane au bord de l’orgasme, puis ralentit pour la faire redescendre. Comprenant qu’il s’agit du dernier acte de la nuit, Emilie veut profiter au maximum des contractions du rectum de Madame sur sa langue. Elle est aux anges. Pour Julie la situation est bien différente : frustration, humiliation, excitation. Madame ne lui a jamais fait ça. Elle entre dans une partie de la soumission jamais explorée. Elle est excitée comme jamais d’être traitée de cette manière. La tension sexuelle est horrible à vivre. Pourtant humiliée, délaissée par sa maitresse s’envoyant en l’air, devant elle, par une inconnue, éveille chez Julie de délicieuses sensations de soumission nouvelles. Sur le lit Diane continue son voyage sur les montagnes russes du plaisir. Elle ne sait pas si elle veut continuer ou jouir tout de suite. C’est Emilie qui décide, par un dernier coup de langue, un dernier coup de doigts, de délivrer Diane de ce voluptueux manège. En jouissant Diane serre tellement les jambes et les fesses qu’elle éjecte la langue plantée dans son cul et broie la tête de la pauvre Emilie. Elle sent les doigts se retirer doucement de son vagin et la stimulation sur son clitoris ralentir. Elle met plusieurs minutes pour reprendre son souffle.

 

-           Tu as été merveilleuse Emilie. A mon tour.

 

Diane prend l’initiative de couvrir le corps d’Emilie de baisers. Elle se glisse entre les jambes de la blonde. Elle y trouve un sexe dégoulinant de désir et commence un cunnilingus. Emilie reçoit pour la deuxième fois de sa vie, après Julie plus tôt dans la soirée, une langue sur son sexe. Diane ne se souvient même plus quand elle a eu le plaisir de gouter un sexe féminin. Pourtant elle aime ça. Avec Julie elle a tellement l’habitude de recevoir et plus de donner. Elle veut retrouver ce plaisir si longtemps perdu. Elle veut être la première à gouter au puits d’amour d’une vierge. Elle découvre le sexe d’une pucelle. Elle veut offrir un formidable orgasme à Emilie. Emilie est tendue, stressée par la situation inhabituelle.

 

-           Madame, que dois-je faire ?

-           Laisse toi faire Emilie. Je t’ordonne de prendre du plaisir et de jouir.

 

Le ton est ferme et sec. Diane sent que la soumise ne se détendra que sur un ordre. Effectivement Emilie lâche prise. Son corps réagit positivement aux caresses buccales de sa maitresse. Elle glisse sa langue sur la vulve offerte en suivant les mouvements de hanche de sa soumise. Le bout de sa langue s’aventure légèrement à l’intérieur pour confirmer la virginité de sa partenaire. Diane fait durer le plaisir. Elle s’abstient de déflorer la jeune fille. Elle garde cet évènement pour plus tard. La chatte d’Emilie est trempée. Son corps tremble. Son souffle devient de plus en plus rapide et sonore.

 

-           Madame, c’est merveilleux…. Ne vous arrêtez pas… S’il vous plaît continuez, ne ralentissez pas…

 

Diane amène Emilie au bord de l’orgasme et ralenti pour durer. Emilie ne maitrise plus son corps et livre son plaisir entièrement à sa maitresse. Après plus d’une heure, Diane décide d’offrir un orgasme à Emilie. Elle se met à sucer son clitoris jusqu’à la jouissance. Après un long cri, Emilie reste inerte sur le lit, les yeux fermés, sans énergie. Diane s’approche d’elle.

 

-           Tu as aimé ?

-           Oui Madame. C’était incroyable. Je vous aime.

 

Diane l’embrasse à pleine bouche. Attend qu’Emilie reprenne son souffle. Elle regarde et caresse ce corps parfait qui s’offre à elle.

 

Ce dernier acte brise Julie, elle qui n’a jamais eu les honneurs de Madame. Après avoir repris ses esprits Diane s’adresse à Julie.

 

-           Va te laver et rejoint nous pour dormir.

Auteur:Didier

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