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La Ferme Bio Ch. 01
Retour à Saint Azul pour Jean, Brigitte et Virginie
Brigitte avait ouvert des yeux ronds lorsqu'elle avait découvert ce qu'on vendait à la foire aux bestiaux de Saint Azul : des êtres humains, des filles et des femmes qu'on transformait avec un spray sur les cordes vocales et des piqures directement dans les seins en productrices très efficaces de lait spécialement adapté pour la consommation humaine : du lait de femme et bio en plus!
Jean à l'époque était venu avec son frère et la petite amie de celui-ci qui avait déjà visité cette foire l'année précédente. Seule particularité : Brigitte, Jean et son frère avaient pris la voiture pendant que la compagne de son frère avait voyagé seule dans un camion qui avait suivi le même chemin la veille... En fait il s'agissait d'une bétaillère pour chevaux réaménagée pour ce transport inhabituel! Brigitte avait été stupéfaite lorsqu'elle avait découvert celle qu'elle considérait déjà comme sa belle sœur, nue et entravée, attendant patiemment l'arrivée de son propriétaire dans le champ près de la grande tente où allait se dérouler la foire.
Il avait fallu tout expliquer à la jeune Brigitte qui avait pu tourner autour de l'autre jeune femme, totalement soumise, soupeser ses mamelles turgescentes aux tétons gonflés, effleurer sa chatte parfaitement épilée avec les lèvres gonflées de son sexe et l'orifice encore dilaté de façon obscène de sa chatte : elle avait donné le jour à sa première fille moins de deux semaines auparavant. Le frère de Jean avait expliqué à Brigitte que le bébé se développait rapidement, qu'il avait choisi pour elle le nom de Virginie.
Brigitte avait été particulièrement choquée de découvrir que sa belle sœur était incapable d'émettre autre chose qu'un vague hennissement. Il avait fallu lui expliquer aussi comment on l'avait rendue muette et qu'il suffirait soit d'attendre quelques mois soit de lui faire boire une soupe bien chaude pour lui rendre sa voix. Cette action avait surtout pour but de frapper les débutantes et de plaire aux clients. L'ablation des cordes vocales était maintenant formellement interdite par le règlement de la foire!
Dix huit ans plus tard, c'était cette même Virginie qui avait découvert à son tour la foire de Saint Azul, car Brigitte en était empêchée par un événement familial. Bon sang ne saurait mentir et Virginie n'avait fait aucune difficulté pour entrer au service très intime de son oncle et de sa tante. Au fil des années, d'autres filles étaient venues se joindre au petit cheptel de Jean, certaines à titre permanent et d'autres de façon plus occasionnelle parce qu'elles avaient d'autres devoirs vis à vis de leurs compagnons habituels, surtout pour le plaisir de découvrir cette ambiance si étrange.
Cette fois ci, Jean avait décidé de louer un stand rien que pour lui et ses laitières. Outre six filles accortes et souriantes, mais parfaitement muettes, il allait proposer aux chalands toute une gamme de produits dérivés : lait, beurre, crème et fromages. Les clients pourraient aussi s'isoler sous une tente discrète avec la fille de leur choix et user d'elle comme bon leur semblait à moins qu'il ne veuille profiter d'elle à la vue de tous sur une table ou dans la paille, voire dans l'herbe grasse! Bien entendu, ils pouvaient user à volonté de n'importe lequel de ses orifices et de tout son corps d'une façon générale.
Des fêtes mémorables avaient permis à Brigitte de prouver sa souplesse extraordinaire : elle avait réussi à satisfaire jusqu'à sept hommes : les trois classiques plus un entre ses seins lourds, deux dans ses mains serrées et deux autres entre ses orteils tandis que le dernier inondait sa chevelure opulente!
Les formes de Brigitte étaient toujours aussi alléchantes et Jean espérait tirer d'elle un bon profit encore cette année, même si Virginie lui rapportait nettement plus déjà : l'attrait de la nouveauté car cela ne faisait que cinq ans qu'elle était offerte totalement à la libido déchainée des visiteurs... De toutes façons, Brigitte ne se voyait pas nourrir des pigeons sur quelque place de Paris, de Londres ou de Sedan pour ses vieux jours : elle préférait cent fois la vie qu'elle menait pour le moment! Elle ne prenait jamais la pilule pendant la foire de Saint Azul et si ses nombreux partenaires ne parvenaient pas à la mettre enceinte, Jean avait trois mois pour y arriver avec l'aide de ses nombreux amis pour qu'elle soit prête pour une nouvelle saillie pour la foire suivante!
Les filles suivaient dans la remorque bétaillère tirée par leur gros 4x4. Les filles étaient déjà nues et entravées. La mise en place ne prendrait que quelques minutes. On ferait une traite rapide pour offrir aux premiers visiteurs un petit verre de leur boisson favorite avant de passer à des choses plus sérieuses et plus rémunératrices. Pendant que les filles feraient leur devoir, souvent avec les yeux bandés pour qu'elles ne puissent pas deviner ce qui les attendait, Jean pourrait discuter avec les acheteurs potentiels : La plupart voulaient faire monter l'une ou l'autre fille par un étalon de leur choix, parfois eux mêmes, parfois leur propre fils, voire quelque grand noir impressionnant. D'autres avaient des exigences plus scabreuses : les faire monter par un chien ou un autre animal et il fallait convaincre les clients de renoncer à leur projet sans les froisser...
Lorsque l'affaire était conclue, Jean retirait délicatement son stérilet à la fille et rajustait son bandeau avant que l'acheteur ne l'emmène pour la nuit. Pour les autres jours, Jean replacerait le stérilet et laisserait à nouveau les hommes user des filles moyennant finances, boire un verre de lait tout juste sorti de la trayeuse ou, comble de l'élégance, boire directement de leurs mamelles gonflées. A partir du troisième jour, les filles seraient solidement attachées, nues, sur un petit chariot à trois roues et sellées comme des chevaux de monte. Le chariot supportait parfaitement la fille et le cavalier. La sensation était fantastique aussi bien pour lui que pour sa monture. On ajoutait des rênes et un mors et l'illusion était parfaite. Les pony girls étaient parties pour des heures de promenade plutôt fatigantes mais le cavalier savait le plus souvent où appliquer une petite cravache pour leur redonner un peu d'énergie : sur les fesses, les flancs, le ventre ou la poitrine ordinairement...
Tandis que ses six filles étaient en train de donner du plaisir à leurs premiers clients, Jean vit s'approcher de lui une vieille connaissance : Maitre Guillaume, un de ses tout premiers clients qui avait acheté les services de Brigitte il y a un peu moins de vingt ans plus tôt et celles de Virginie juste l'année précédente. Les deux compères se connaissaient bien : il ne voulait quand même pas utiliser une des filles de Jean comme poulinière de nouveau? De toutes façons, aucune n'était disponible avant deux ans... La liste d'attente était longue
- Que puis-je pour vous, cher ami? Ne me dites pas que Brigitte vous excite encore? Il faudra attendre encore quelque temps pour que vous puissiez saillir de nouveau Virginie! Vous avez fait deux filles à Brigitte et une à Virginie, si je me souviens bien! Les ainées doivent être adultes maintenant!
- Très juste : Hélène vient d'avoir dix huit ans et Christine en a vingt deux! Il serait temps de mettre en branle mon vieux projet...
- Créer une grande laiterie et fromagerie qui fonctionnerait toute l'année avec une quarantaine de bonnes laitières certifiées bio : quelque chose comme mes charmantes filles mais à une échelle plus industrielle! A vingt euros le verre de lait et deux cents euros la passe ou cent pour une petite pipe, cela devrait rapporter gros effectivement!
- J'espère bien : je n'ai rien d'un philanthrope!
- Et vos premières recrues seront...
- Hélène et Christine, vous l'avez deviné, vieux paillard! Puis ce sera le tour de Deborah, ma secrétaire et Liliane ma tendre épouse. Ensuite, je compte procéder au hasard des occasions : ma sœur qui a, de surcroit, trois filles adorables et probablement encore vierges et qui feraient d'autres recrues parfaites, des voisines ou des stagiaires.
- Mais comment comptez vous dissimuler vos activités?
- Les filles gèreront une vraie ferme bio et vendront du lait de vache et des fromages de qualité. J'aurais besoin d'un personnel important pour s'occuper du cheptel, tellement pléthorique qu'une vingtaine de filles pourront s'occuper des clients pendant la journée et tout le personnel le soir!
- Mmmmhh : tout me semble bien pensé!
- Cela fait vingt ans que j'y réfléchis : j'ai hâte de passer à la pratique mais j'aurais besoin de votre aide!
- De quelle façon?
- Simple : je suis le père de Christine et d'Hélène. Je crains un peu la consanguinité si j'étais aussi le père de leurs enfants! Je verrai pour la prochaine génération mais je préfèrerais que vous vous chargiez de saillir ces deux génisses : je compte les déflorer mais je me retirerai aussitôt pour vous laisser la place. Comme compensation, je vous offre leur pucelage anal : j'ai besoin de les avoir totalement ouvertes et disponibles car j'ai parfois un bus entier de clients à satisfaire! Il ne faut pas que les clients s'ennuient et s'impatientent! Ce n'est jamais bon pour ce genre de commerce!
- Je vois et quand voulez vous commencer?
- J'ai laissé Hélène à l'auberge dans un village pas trop loin, à seulement vingt kilomètres. Je peux aller la chercher tout de suite. Je lui ferai découvrir vos filles et les autres stands. Je la connais : cela va l'exciter terriblement et je vous propose de diner tous les trois. Lorsqu'elle sera à point, on passera dans mon mobil home. Je compte bien que vous aurez imprégné ma petite Hélène avant minuit! Si nécessaire on utilisera un peu de contrainte. Avez-vous déjà prise de force une vierge?
- Pas vraiment. Je préfère lorsque les filles sont consentantes mais les filles actuelles sont des rebelles nées!
Hélène découvrit avec stupéfaction la foire de Saint Azul! Toutes les filles ou presque autour d'elle semblaient se moquer totalement d'être nues au milieu de la foule. La première qu'elle avait vue se reposait dans une petite prairie au milieu des herbes et des fleurs à l'ombre d'un châtaigner. Des papillons voletaient paresseusement autour d'elle. Hélène la vit arracher une camomille sauvage avec sa bouche (ses mains étaient attachées dans le dos) et après mille contorsions, la fille avait attrapé la fleur avec ses dents et elle la levait fièrement, dévisageant les visiteurs qui jetaient un coup d'œil sur son corps lascivement offert. Hélène avait eu un court sentiment de honte : la fille avait tant de naturel et semblait tout à fait à l'aise dans sa nudité.
L'impression de douceur bucolique s'était dissipée lorsqu'un homme beaucoup plus âgé, s'était approché de la fille et lui avait glissé quelques mots à l'oreille. La fille avait opiné de la tête et s'était relevée sans que le vieux bonhomme l'aide. Elle s'était dirigée tout droit vers la barrière de bois qui limitait la pâture et s'était installée dessus, la tête rasant le sol et les fesses en l'air. Elle avait écarté grand les jambes lorsque le vieil homme s'était approché. Hélène avait été abasourdie lorsque le bonhomme avait sans façon baissé son pantalon et exhibé un sexe dardé, massif et couvert de poils. Le prépuce tiré laissait voir le gland rose gonflé par une érection massive. Sans paraître gêné d'avoir Hélène comme spectatrice, l'homme avait pénétré tranquillement la chatte de la fille et avait commencé à la besogner de plus en plus rapidement.
Hélène avait suivi l'action jusqu'à son dénouement. Sans même qu'elle s'en rende compte, sa main avait remonté jusqu'à sa poitrine et elle avait entrepris de se masser les seins. Elle les sentait tendus sous ses doigts. Leurs pointes étaient raides et inhabituellement longues. Elle était bien obligée de s'avouer que le spectacle ne l'avait pas laissée indifférente et qu'elle aurait bien voulu se retrouver à la place de cette fille inconnue... Le vieil homme' perçut son trouble et s'adressa à elle directement :
- Bonjour Mademoiselle, je suis désolé mais je suis trop vieux pour faire un doublé aussi rapidement! Sinon je vous aurais proposé de prendre la place que ma petite fille Diane a laissé toute chaude!
Mon dieu, quelle horreur! Hélène venait d'assister aux premières loges à une inceste particulièrement ignoble! Comment un grand père pouvait être assez dépravé pour copuler avec sa propre petite fille et en parler avec autant de détachement, en plus! Une image se forma dans l'esprit déboussolé d'Hélène. Son père Guillaume se penchait sur elle et prenait ses seins, l'un après l'autre, dans sa bouche et les tétait comme un nouveau né tétait les seins de sa mère.... Elle réprima un grognement de plaisir inattendu.
Hélène s'enfuit piteusement. Guillaume avait suivi l'émoi de sa fille, sa fascination pour ce qui s'était passé sur la barrière de bois, son intérêt non dissimulé pour les propositions obscènes du grand père incestueux et finalement les attouchements discrets que sa fille avait effectués sur son propre corps : Hélène progressait rapidement! Encore quelques scènes osées du même genre et elle s'offrirait d'elle même à son propre père. Si Guillaume avait imaginé que ce serait aussi facile, il n'aurait pas demandé l'aide de Jean et aurait oublié les risques de consanguinité!
Hélène se réfugia aux toilettes. Elle passa sa robe au dessus de sa tête et retira ses sous vêtements. Elle se retrouva toute nue dans l'espace exigu. Elle chercha du doigt sa chatte et mit avec délicatesse un doigt dans l'orifice inviolé.
- Mon Dieu, Non! Papa serait furieux s'il apprenait que je me suis dépucelée avec un doigt dans les toilettes publiques de Saint Azul!
Cela ne l'empêcha pas de continuer son exploration prudente de sa chatte si chaude, si humide et en même temps si sensible. Des ondes de plaisir parcouraient son corps lorsqu'elle toucha son hymen. La fille avait joui très fort lorsque son grand père l'avait emmanchée. Hélène se demandait si c'était lui qui avait dépucelé sa petite fille. Elle l'espérait de tout son cœur! Hélène connaissait bien son propre grand père paternel, un vieil homme très doux qu'elle ne pouvait pas associer avec le soudard en rut qu'elle avait vu officier dans le pré. Ses pensées étaient maintenant focalisées sur son dépucelage qu'elle espérait maintenant imminent. La pauvre fille était bien loin de s'imaginer que son propre père l'avait déjà planifié pour le soir même, que c'était lui même qui s'en chargerait avant de l'abandonner aux mains expertes de Jean qu'elle ne connaissait pas encore mais qui savait déjà qu'il cracherait sa semence sur les tout premiers œufs de la jeune fille, quelle allait porter son ou ses enfants pendant les neuf prochains mois!
Guillaume entraina Hélène vers un autre stand. Il acheta un verre de lait pout Hélène et choisit de se servir lui même sur la fille qui faisait le service. Hélène comprit à cet instant d'où venait le lait qu'elle buvait et curieusement son excitation s'accrut nettement. Guillaume était aux anges : le lait était délicieusement tiède et il complimenta la fille pour la qualité de sa production. Elle répondit avec une servilité totale qui surprit même Hélène :
- Merci, Maitre! Mon propriétaire me nourrit avec des produits bio exclusivement. Pendant la foire de Saint Azul, je bois surtout son sperme et celui des hommes que mon propriétaire m'adresse!
- Bien, petite salope, tu vas pouvoir gouter au jus de mes couilles et voir s'il est aussi bon que celui de ton Maitre!
- Dois je aussi donner du plaisir à la jeune fille qui vous accompagne, Maitre?
- Non pas aujourd'hui! Elle porte encore le foulard blanc mais demain ou après demain, elle aura le foulard rouge et tu pourras la faire jouir tout son saoul, à moins que je ne décide de faire d'elle un fusil à trois coups à voile ou à vapeur (Hélène apprit plus tard que cela consistait à se lancer dans un 69 endiablé avec une autre fille pour annoncer publiquement que la fille est disponible pour des accouplements lesbiens après avoir fait jouir deux hommes différents dans sa chatte et son anus : sa disponibilité sexuelle serait officiellement totale).
Hélène comprit instantanément ce que ce langage codé voulait dire : le foulard blanc, qu'elle était encore vierge, le foulard rouge qu'elle ne le serait bientôt plus et que son père envisageait de la faire participer à des orgies avec différents partenaires! Ce qui surprit Hélène fut de n'être aucunement choquée : on allait la transformer en jouet sexuel et cela ne semblait pas du tout la gêner! Au contraire, elle se sentait calme et détendue, avide de connaître ces nouvelles sensations. Elle se tourna vers son père et lui adressa un sourire radieux :
- Merci, Père, j'espère vous faire honneur!
Cette simple phrase enleva un grand poids sur les épaules de Guillaume : Hélène allait collaborer sans faire trop de difficultés. Mais Hélène tourna sa hargne contre cette femme qui, paraît-il était sa mère. Elle ne contestait pas ce lien mais elle avait besoin de déverser sa bile sur quelqu'un d'autre et Brigitte était une victime toute trouvée et sans défense! Sa nudité présente montrait qu'elle était juste une esclave sexuelle sans aucun pouvoir... Hélène chercha d'instinct à l'humilier. :
- Alors c'est cette trainée qui est ma mère : triste choix de mère porteuse que tu as fait là, papa, alors qu'il y a tant de jolies filles dans cette foire!
Guillaume chercha à se justifier : il ne voulait pas perdre la face devant sa fille et celle-ci était vraiment injuste!
- Du calme, Hélène! A l'époque, nous votions déjà pour choisir la plus jolie fille de la foire et Brigitte a remporté trois fois le prix, une fois dans la catégorie génisse et les deux autres comme laitière! Si tu fais un jour aussi bien qu'elle, tu pourras le prendre de haut mais tu devras faire tes preuves! Tu te crois le centre du monde ou quoi? Tu es jolie, certes mais il y a ici une bonne douzaine de filles aussi jolies que toi! J'ai du payer cent mille francs, quinze mille euros si tu préfères pour pouvoir cracher mon sperme dans le vagin de ta mère et en avoir un joli rejeton!
- Hé bien, tu aurais du lui cracher ton sperme au visage! Elle n'en valait vraiment pas la peine!
Guillaume ne put se retenir plus longtemps : l'étiquette de la foire de saint Azul n'acceptait pas qu'une simple génisse qui n'avait encore jamais vêlé et qui était même encore pucelle, élève la voix devant des propriétaires éleveurs expérimentés. L'honneur de Guillaume était en jeu! Il attrapa Hélène par les cheveux et la tira hurlante vers le podium où un attroupement se formait déjà. En dépit de sa résistance désespérée, Hélène se retrouva poussée contre un curieux poteau. Guillaume prit sa main et l'attacha à une espèce de menotte qui pendait à droite du poteau. Sans laisser à Hélène le temps de se reprendre, il attacha son second poignet à une autre menotte similaire. Puis il chercha dans la paille par terre pour trouver une lourde barre de fer munie de deux attaches à près d'un mètre de distance. Elles furent fixées promptement à ses chevilles. Hélène ne pouvait plus se débattre mais sa langue était toujours libre.
- Alors, mon père est finalement un salaud qui veut abuser de sa fille. Vas-y, viole moi mais dès que je pourrai, j'irai me plaindre aux flics! Tu passeras vingt années en prison!
Auteur:dan57
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