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Les Origines de la Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans(126)

Année 1784 : l'arrivée de " Emeline la gueuse" au Château d'Evans

Dans l'aile Nord du Château d'Evans, Le Marquis a fait aménager une salle privée, dans laquelle il organise des évènements particuliers, réservés à la "fine fleur" de l'aristocratie éclairée. Nombreux ceux de la Cour Royale étant devenus des habitués des lieux. Ce soir, une semaine après que le destin du "gueux" ait été définitivement établi, l'esclave Du Marquis d'Evans est au coeur de la soirée. Au coeur car, au centre même de la pièce, il gît dans une petite cage carrée qui le contraint à se tenir accroupi, le cul empalé sur un imposant olisbos d'ivoire, offert au Marquis d'Evans par l'un de ses nombreux amis qui ont voyagé vers de lointaines et merveilleuses contrées et Lui en ramènent tant d'objets rares, précieux et parfois fort utiles...

philippe le "gueux" est donc accroupi, le cul empli du précieux objet... Devant les quatre murs de la pièce, des tables ont été dressées ainsi en carrée. Ces tables parallèles aux murs et longeant ceux-ci, et accueillant chacune quatre convives, tous dos au mur, afin qu'ils profitent pleinement du spectacle au centre de la pièce de l'esclave livré à leurs regards, leurs moqueries et leurs facéties les plus cruels. Le repas est déjà bien avancé, et les rebuts qui jonchent le dallage de la pièce sous la cage, témoignent du jeu qui a consisté à bombarder le "gueux" de toutes sortes de déchets du repas. Son corps même dégouline ici et là de différentes substances qui soulignent que l'esclave n'a pas été ménagé. D'ailleurs, à l'instant même, une poulie est actionnée pour faire descendre la cage presque sur le sol, tandis que l'un des nombreux convives se lève et s'approche de la cage tout en délaçant sa culotte. Il en sort un sexe long et épais... tendu... il le fait passer entre deux barreaux et attire à lui la tête de l'esclave en la saisissant brutalement par les cheveux...

le "gueux" n'a pas besoin qu'on lui donne un ordre, instinctivement, ainsi qu'il l'a appris depuis une semaine, en telle situation il ouvre docilement la bouche dans laquelle le convive enfonce sa queue dure et tendue, bien à fond, sans se soucier de la nécessité pour l'esclave de respirer... et il lime la bouche du "gueux" par de puissants coups de reins... s'enfonçant violemment jusqu'au fond de la gorge, insistant sans pitié, avant de se retirer pour mieux encore s'enfoncer jusqu'à obtenir que l'esclave s'étouffe à demi... L'Homme, (son riche costume mêlant soie et velours souillé de tâches de vin) bien que ivre, bande vraiment très dur et il semble ne jamais devoir en terminer, lorsque brusquement, un épais flot de sperme jaillit et inonde la gorge et la bouche de l'esclave... L'homme se retire alors et regagne sa table en titubant après avoir émis un puissant rôt, aux vapeurs du vin, de sa bouche en direction du gueux ... A y regarder de plus près, les convives ont beaucoup bu de ce merveilleux nectar rouge que plus tard nous appellerons ‘’Beaujolais Village’’... et leurs sens se sont aiguisés tout au long du somptueux repas servi par une nuée de jeunes esclaves nues... Après les potages, riz et salades... les jeunes femmes aux pubis parfaitement lisse et aux pintes de seins colorées d'un rouge vif, ont porté sur de grands plateaux, une pièce de bœuf aux choux, puis une longe de veau à la broche... ensuite, tandis que déjà, on se lève pour venir titiller un peu l'esclave empalé dans sa cage... crachats, insultes, gifles, pincements du nez, étirement des oreilles, griffures sur les joues ne manquent pas...

Une Duchesse s'est même approchée, saisissant le petit sexe recroquevillé de l'esclave, elle l'a pressé durement, lentement... avec insistance... faisant à peine aller et venir sa main sur le tube de chair qui durcissait lentement, douloureusement... et la Duchesse a ainsi branlé l'esclave, mais en serrant très fort, pour s'assurer qu'il n'y ait aucun plaisir possible pour celui qu'elle tourmentait... elle a ainsi poursuivi son va-et-vient durant de longues minutes, mais en prenant bien garde de ne pas provoquer de jouissance... avant que de saisir au passage une aile de poularde à la maréchale qu'une esclave portait vers les tables sur un large plateau d’argent... Profusion, munificence !! Les convives sont éblouis parla richesse du menu concocté par la cuisinière Du Marquis d'Evans. Et ils n'en sont qu'au début de leurs surprises : pâtés à l'espagnol, côtelettes de mouton grillées, abattis de dindon au consommé, poulets à la tartare, cochon de lait à la broche, blanquette de poularde au concombre...

Pour chaque plat, une esclave se place devant une table, agenouillée, le plateau reposant sur sa tête et maintenu en équilibre avec les mains... ainsi chaque convive se sert à discrétion... et lorsqu'une esclave laisse choir de la sauce... elle est immédiatement libérée du plateau pour être châtiée et fouettée au centre de la pièce où cordes et poulies attendent les fautives, tandis qu'une autre la remplace sous le plateau. ainsi sur les tables, et dessous parfois, quelques unes de ces belles femelles au corps parfaitement lisse sont offertes aux caprices des douze convives. Les fellations les plus torrides sous les tables sont nombreuses. Et Le Marquis de Sade profite abondamment de la situation, fourrant allègrement une esclave brune aux cheveux ondulés qu'il a renversée sur une table, le dos plongé dans le jus d'un jarret de veau au consommé... plus loin, une fille a été jetée en travers de la table et l'on s'amuse à introduire entre ses cuisses, des cuisses de poulet avec lesquelles on la masturbe avant de les lui faire déguster. Et sous la table, quelques lèvres douces et langues agiles se chargent de satisfaire les plus fermes exigences de plusieurs Seigneurs et même d'une Baronne folle d'huîtres, qui en glisse régulièrement une dans sa chatte, avant que de la faire aspirer et gober par une jolie esclave rousse capturée par des pirates barbaresques alors qu'elle quittait sa Verte Erin. Menée jusqu'à Alger elle a été violée par tout l'équipage avant d'être livrée sur un marché d'esclaves d'Alger et revendue à un riche roturier faisant commerce de chair fraîche pour une bordel marseillais. Mais là, la beauté de la femelle, ses longs cheveux roux si épais, la pâleur de sa peau mouchetée de tâches de rousseur, la finesse de ses traits... repérée par l'un des nombreux agents fournisseurs Du Marquis elle a été rachetée et amenée au Château puis dressée afin de combler les attentes de la Baronne, amie très chère du Marquis qui savait que La Dame apprécierait un tel cadeau.

Alors que l'on passe aux entremets, une porte s'ouvre et deux esclaves à la peau d'ébène portant une seconde cage entrent dans la pièce. La cage, reliée à une seconde poulie, est fixée à une chaîne. Puis, tandis qu'ils quittent la pièce, ils croisent un homme à la tenue bigarrée, menant en laisse une jeune femme brune, cheveux mi-courts et entièrement nue, les mains liées dans le dos. Elle avance avec une sorte de timidité presque comique compte tenu de l'orgie qui est entrain de se dérouler tout autour d'elle. Celui qui la mène vient se planter face Au Marquis d'Evans et faisant une révérence emplie de respect, il dit d’une voix claire :

- "Mon Seigneur Vasile Nicolas d’Orea Tcheckosski Vous adresse ce cadeau, en guise de reconnaissance pour l'aide généreuse que Vous avez daigné apporter à la révolte de Transylvanie contre le servage... Il tient à remercier Votre Esprit éclairé et moderne par cet humble présent"

Sur ces mots, il tire sur la laisse et contraint la jeune femme à s'avancer... Il lui saisit les cheveux et tire en arrière. Le Marquis contemple le cadeau, se tourne vers ses voisins de table qui tous approuvent par des hochements de tête entendus...

- "Je suis heureux d'accepter ce présent. Elle figurera en bonne place dans mes possessions...je suis heureux que ton Maître se soit souvenu que j'avais apprécié cette femelle lors de notre rencontre dans les Alpes Suisse..."
- "Oui, il savait que vous l'aviez remarquée. Il a envoyé des hommes la capturer. Ils l'ont amenée dans un chalet isolé et ils se sont amusés avec, un peu, mais pas violée, selon les ordres... Elle est seulement pour Vous, en cadeau de mon Maître, Votre Ami"

Le Marquis se lève... contourne la table... Vient tout près de la soumise et lui caresse la croupe,puis remonte lentement le long du dos... jusqu'au cou qu'Il serre un peu plus fort...

- "Ton nom, esclave ?"
- "je... je suis Emeline, Monsieur" dit-elle d’une voix si craintive qu’on l’entendit à peine

Le Marquis empoigne les épais cheveux et les tire en arrière

- "Maître, petite chienne, je suis ton Maître désormais"
-"Par… pardon, Maître... je suis Emeline, Maître"
- "Emeline ?... c’est original !... Tu m'appartiens désormais petite Emeline... corps et âme... tu es mon esclave, ma "gueuse" et ta place est en cage, comme ce chien qui se tient là"…

Dit-Il en désignant la cage de philippe le "gueux". Emeline ose à peine jeter un bref regard vers la cage où gît l'esclave, que deux Aristocrates sont en train de compisser joyeusement...

- "Allez, chienne, avance !" dit Le Marquis en poussant Emeline vers la cage. L'accompagnateur la saisit par le bras et la force à se courber et à se faufiler par l'étroite entrée de la cage, dans laquelle Emeline désormais occupe tout l'espace... La cage se referme et lentement dans un bruit de grincement de chaînes, s'élève ...
- "Bienvenue au Château d'Evans, émeline la "gueuse" " lance Le Marquis d'une voix forte et Tous de reprendre :
- Bienvenue, la gueuse ! ha ! ha! ha ! ha!"... dans des rires vicieux emplis de sadisme

(A suivre)

Le Château de la D/S du Marquis d'Evans

Auteur:Marquis d'Evans

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