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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans(74)
Chapitre 74 (suite chapitre 73 écrite par Sissy)
imperceptible. La voix enjouée de Rose interrompit ses pensés :
-" Allez Sissy, vient, je te conduis à ta chambre. Tu as droit à quelques faveurs en
la matière. Les esclaves sont en dortoir et toi tu auras une chambre. Tu as de la
chance … enfin pour le logement …"
Dans son cabinet, le Docteur Charles-Antoine rangeait posément ses instruments. Sans
appuyer sur la moindre touche du moindre appareil il prononça :
- "Monsieur le Marquis … ?". Presque aussitôt, il entendit dans la pièce :
- "Oui Charles-Antoine, je vous écoute".
Monsieur le Marquis était de ces Nobles qui vivent avec leur temps, et même le
précède... Très fortuné, propriétaire de multiples entreprises françaises, il avait
largement de quoi équiper ses propriétés. Ici, Les pièces principales du Château
étaient toutes équipées d'un système d'interphonie intelligent à reconnaissance
vocale. Il suffisait de prononcer le nom de la personne à qui on voulait s'adresser,
le système recherchait l'interlocuteur via les puces GPRS des mobiles puis diffusait
l'appel dans la pièce où se trouvait le correspondant. Sacré Marquis, si enraciné dans
le passé prestigieux de ses Ancêtres (bon nombre de la longue lignée des Marquis
d’Evans à combattu pour la Patrie sous différents Rois de France) et si résolument au
fait des nouvelles technologies …
- " Monsieur le Marquis, je viens de libérer votre nouvelle protégée, elle repart à
l'instant avec Rose. Mon examen confirme le dossier reçu, Sissy est en excellente
santé."
- "Bien Charles-Antoine, bien. Il est tard mais passez donc par la bibliothèque, je
viens de recevoir de ce vieux fou d'écossais mon ami le Duc d'Argyll, une caisse du
meilleur wisky d'un pur malt d'Islay de 20 ans d'âge. De vous à moi, ça vaut les
sécrétions de cent putains ! Partageons un verre de ce nectar, vous me ferez votre
compte-rendu."
- "Avec plaisir Monsieur le Marquis, … cent putains dites vous ? Je range mes
instruments et vous rejoint"
…
A l'autre extrémité du Château Rose menait Sissy vers sa chambre. Sur le chemin elles
passeraient par le bureau de Walter, le majordome afin que Sissy reçoive son collier.
Sissy eu une nausée, comme une envie de vomir mais seul un spasme la secouait. Comment
se pouvait-il qu'à peine 15 minutes après la mise en place du diffuseur elle ressente
déjà des effets ? La nausée passa. Rose avait remarqué et avait ralentit, elle lui
pris la main :"Allez Sissy, on y va". Thierry-Sissy ? Sissy-Thierry ? Il-Elle
commençait à douter de tout. Elle serra la main de Rose, deux petites larmes perlèrent
à ses yeux. Peur, angoisse, fierté, émotion ?
Elle rassembla toutes ses pensées pour ne songer qu'à son Aimée. Cathy, Maîtresse,
donnez moi la force. Je vous aime tant.
…
Charles-Antoine frappa à la porte de la bibliothèque.
- "Entrez Charles-Antoine, entrez !"
Le Marquis remplissait deux magnifiques verres en cristal de Baccara. C'était là des
choses qu'on ne confiait pas aux domestiques.
- "Alors bougre de carabin, mon cher Charles, dites moi tout !"
- "Édouard, Cher Marquis, toujours à me taquiner sur mes origines roturières, savez-
vous qu'en 1792 on en a décapité pour moins que cela ?"
- "Et vous sorcier, savez-vous que l'Inquisition vous aurait brûler bien avant ?"
Les deux amis éclatèrent de rire. Ils avaient été au lycée ensemble, le Père du
Marquis, finançant les études de Charles-Antoine le fils aîné de son palefrenier. Les
deux jeunes gens étaient devenus amis dans la vie et complices dans le vice …
- "A votre santé Mon Cher !"
- "A votre santé Monsieur le Marquis ! Je viens d'examiner votre Sissy, aucun souci,
le"bonhomme" est en pleine forme. Grand sportif sans doute, des jambes et des attaches
fines, un cœur d'athlète, beau petit cul, je commence à comprendre votre amie Cathy
... Elle devrait supporter la formation et l'opération avec facilité, enfin je parle
de physiologie … pas de psychisme" Ajouta-t-il en souriant.
- "Et ce nouvel implant, votre fameux micro diffuseur embarqué de dernière génération
?", repris le Marquis "
- "C'est une nouvelle molécule, progestérone et quelques autres principes actifs. On
obtient en un mois ce que les prises habituelles d'hormones provoquent sur une année."
- "Très bien, et concrètement ?"
- "Elle va avoir quelques nausées dans les heures qui viennent et pendant 24 heures
puis d'ici 3 jours elle devrait commencer à sentir des changements au niveau de la
poitrine, tétons qui font mal, qui gonflent. En 15 jours elle aura une poitrine
bonnets "A", en 30 des "B". Si l'opération a lieu dans 15 jours je pourrais diminuer
le dosage du micro diffuseur puisqu'il n'y aura plus sa testostérone en opposition au
traitement."
- "Parfait, mon amie Cathy me fait toute confiance là-dessus et je ne saurai la
décevoir… et pour la chirurgie ?"
- "Cela se présente également très bien, la variante demandée par votre amie Cathy
simplifie le geste technique. Sissy est en parfaite santé, le Docteur Pichet m'assure
que c'est l'affaire de deux ou trois heures et que Sissy marchera le lendemain matin.
Il interviendra sous péridural, pas d'anesthésie générale. Une semaine de
convalescence et vous pourrez reprendre sa "formation".
- "Voilà qui me paraît de bon aloi, Charles-Antoine, je lève mon verre à notre
perverse collaboration !".
…
Au même moment Rose frappait à la porte du bureau de Walter, le majordome.
- "Entrez !"
- "Tu peux rester Rose, je n'en ai que pour un instant."
- "Sissy, viens-ici, agenouille-toi"
Sissy s'exécuta. Walter ouvrit alors un écrin posé là sur son bureau. C'était un
magnifique collier de titane rose teinté dans la masse, portant l'inscription, gravée
en creux, au laser sans doute:" Sissy – putain de Me Cathy". Le dispositif de
fermeture était encore l'illustration de la proximité de Monsieur le Marquis avec tout
ce qui se faisait en matière d’innovation technique : Pas de cadenas mais une
fermeture magnétique inviolable à empreinte biométrique.
Walter passa le collier autour du cou de Sissy. Il s'ajustait parfaitement, rien
n'avait été laissé au hasard par Monsieur le Marquis et la belle Cathy... Le majordome
plaça son pouce sur le dessus du manchon de fermeture, un presque imperceptible
chuintement se fit entendre. Le collier était verrouillé, pour l'instant seul Monsieur
le Marquis et son majordome pouvait en autoriser l'ouverture.
- "Rose, emmène Sissy, tu connais tes consignes, ne traînes pas, il est tard".
Rose entraîna Sissy jusqu’à un long et luxueux nouveau couloir au fond duquel elle
poussa une lourde porte. La pièce était assez vaste, chaude. Sur le flanc droit, face
à l'unique fenêtre, prenait place un grand lit très haut. Sissy remarqua immédiatement
les anneaux placés de part et d'autre de la tête et du pied de lit. Une nausée la
reprit, mais ce qui l'intrigua était au centre de la pièce.
Face à un magnifique fauteuil Voltaire, majestueux et élégant dans son pur style Louis
Philippe trônait une étrange pièce de mobilier tenant du Prie-Dieu, du chevalet et du
carcan.
La douce voix de Rose, a nouveau, la sortit de ses "considérations".
-"Voilà Sissy, c'est chez toi", dit-elle avec une moue enfantine sur son visage mutin.
"Tu as même des draps, c'est bien la première fois que je vois ça pour une stagiaire.
La porte, là-bas, c'est ton cabinet de toilettes. Viens t'agenouiller" dit-elle en
désignant l'étrange mobilier.
Sissy obéit. Une fois à genoux il lui fallut se plier vers l'avant contre une partie
capitonnée et inclinée du meuble pour que son buste se place à l'horizontal et qu'elle
puisse présenter ses poignets aux deux orifices de ce qui s'apparentait à un carcan.
Sissy comprit : une fois en place on était "en levrette", chevilles et poignets
enserrés, cuisses et bras écartés, la tête libre face au beau fauteuil Voltaire.
Le premier coup de badine arracha un cri à Sissy. La brûlure traversa son corps comme
une décharge électrique.
- "Je suis désolée petite sœur Sissy, mais ce sont les ordres."
Un second coup arriva, tout le corps de Sissy se cabra sous la nouvelle brûlure. Rose
obéissait à Marie : Sissy devait pleurer et implorer dès le premier soir. Elle savait
que deux esclaves reproducteurs, de ceux qui sont formés à saillir 4 à 8 fois par jour
se tenaient là dans l'antichambre, près à commencer l'asservissement de Sissy,
l'ouverture de son petit trou de catin et surtout de lui ôter toute forme de
résistance à la dépravation.
"Douze coups" avait dit la cuisinière "et si demain je ne vois pas les marques ce sera
toi ma Belle qui les aura, mais de ma main !"
Elle asséna un troisième coup, avec précision. Une petite goutte de sang perla le long
d'une zébrure sur la fesse droite de Sissy. "Douze" avait dit Marie... Sissy ne
supporterait pas, la badine était pire que tout, elle le savait bien.
Un 4° coup cingla, Rose entendit le premier sanglot de Sissy :"Rose, pas trop vite,
laisses moi juste le temps de respirer...". Rose passa doucement sa main sur les
fesses de Sissy."Respires petite sœur, respires..."
Au 8°coup Sissy, toute honte bue, sanglotait comme une enfant. 4 coups encore, Rose
essayait de viser les zones encore épargnées du petit cul, déjà bien marbré, de la
"nouvelle". Elle avait de la tendresse pour cet "homme-catin" venu se perdre, ou
renaître, chez leur Maître à tous ici, le Bon Marquis …
Avec le 12° coup c'est Rose qui était proche du sanglot. Elle n'avait jamais ressenti
le plaisir que sa Maîtresse Marie trouvait à donner de la douleur. Mais Marie était
une amante extraordinaire, Rose lui mangeait littéralement dans la main. Elle aimait
Marie.
Sissy sanglotait. Rose alla quérir e44MDE et son jumeau e45MDE. Ils présentaient déjà
de belles érections, de vrais étalons. Rose les trouvait beaux. Après les avoir fait
entrer elle alla s’asseoir dans le Voltaire et riva ses yeux presque humides dans ceux
de Sissy. Le premier étalon s’approchait du cul offert de Sissy. Il écarta les fesses
musclées, présenta son phallus, chercha rapidement le bon axe et s'enfonça d'un trait.
Sissy ne pu retenir un cri. Rose lui prit les joues entre ses mains, approcha son
visage du sien et lui dit :
- "Courage Chérie c'est le prix à payer pour devenir catin..."
Déjà Sissy sentait ce qui lui semblait être un énorme sexe se retirer lentement pour
mieux la remplir à nouveau. Elle n'avait pas tord e44MSE attendit de voir le bout
turgescent de son gland affleurer la sortie de l'anus de Sissy pour s'enfoncer à
nouveau, violemment. Sissy poussa un nouveau cri. Rose, assise sur le Voltaire, tenait
son visage entre ses mains :
- "Chérie," répètes après moi … "Je suis la putain de Sir Édouard, Monsieur le Marquis
d'Evans"
Devant le système de vidéo interne, tandis que le Marquis, et que sa chère et
officielle esclaveLaetitiaMDE s'employait à relaxer par une exquise fellation, le
Marquis attendait...
Le souffle épuisé suite aux multiples pénétrations violentes, virilement puissantes
dans son fondement, la catin de sissy, l’ex-parachutiste se fit entendre d’une voix
rauque dans la pièce :
- " Je suis la putain de Sir Édouard, Monsieur le Marquis d'Evans..."
(… à suivre)
Le Château de la D/S du Marquis d'Evans
Auteur:Marquis d'Evans
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