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Gwen creation

La dictée!

homme dominé par un couple

Des pas se rapprochaient de moi, anxieux, vu ma situation, Maria arriva, elle me regarda de haut en bas, un petit sourire narquois sur ces lèvres. Euh, Maria, c'est vous qui avez enlevée mes affaires ? Ah, c'est toi qui a posé tes chaussures crôtées dans les armoires fraîchement nettoyées ! Oui, excusez-moi, où sont-elles ? A la cave avec les objets trouvés. Bon, et bien allez me les chercher, Pas question, tout est bouclé et j'ai rendu la clef au directeur, va demander la clef toi même, dit-elle en riant, comme ça à poil dans une école il va sûrement te prendre pour un pervers ou un pédophile. La garce, j'était pris au piége, je l'implorait de bien vouloir m'aider. Elle me proposa simplement de me ramener chez moi, et sans autre solutions j'acceptai. Bon, tu cours jusqu'à ma voiture, et tu te glisse dans le coffre, je ne tiens pas à me faire remarquer. Rapidement je me glissai, nu dans son coffre, laissant entre ouvert celui-ci, mais Maria avant de démarrer l'a complètement fermé, comme il s'agissait d'une berline, j'était enfermé, et légèrement claustro, je n'en menait pas large. Après 2 minutes de route, sa voiture s'immobilisa, une porte métallique se referma, sans doute la porte de son garage, j'attendis enfin ma délivrance, mais les minutes passèrent et Maria ne m'ouvrait toujours pas, je commençais vraiment a être paniqué et la suppliais de bien vouloir me libérer. L'attente à durée une bonne demi-heure, et quand enfin le coffre s'ouvrit, je n'eu le temps que d'entr'apercevoir la main de son mari Victor qui m'arrivait violemment sur la figure. Un pincement m'a réveillé, mais ou est dans quel situation, ça je ne saurai le dire. Ma vue était bouché par un "foulard", mes mains étaient jointes et attachées au dessus de ma tête, et mes pieds ne touchant plus le sol étaient écartés a l'horizontale, comme si je faisait un grand écart. Je ne pouvais pas bougé, et un deuxième pincement très douloureux, vint complètement me sortir de ma léthargie, on était entrain de me frapper, sans doute avec un martinet. Maria, s'il vous plait, je ne vous ai rien fait, détaché moi. Rien fait et mon armoire toute propre, les petits cochons moi je les punis. Les lanières de son martinet, s'abattirent sur ma poitrine, mon dos et mes fesses étaient particulièrement visées, je suppliais en sanglots. Maria s'arrêta et s'approchant de moi me demanda tiens, raconte moi un peu ce que tu faisait chez Olivia à poil , Euh..., c'est une amie, j'ai perdu un pari, et le gage était de monter nu chez elle. Dommage, j'aime pas les petits menteurs et les cachottiers, je vais te la délier moi la langue, tu vas regretter mon petit. Tout en lui jurant que c'était la vérité, les lanières de cuirs vinrent meurtrir, mon sexe mou qui pendait entre mes cuisses ouvertes, c'était intenable et après 3-4 coups, je me résignai à raconter la vérité. Pendant mon récit, elle m'inspecta de tout côté tripotant mon sexe, mon cul, les tétons...et joignant le geste à la parole alors elle t'a chauffée ton petit cul. Vlan, un coup de martinet, Oui, tes petits seins aussi, tu as aimé? Vlan, Oui, Maria j'aimais ça. Inspectant mon cul, elle y glissa un doigt Dis donc il a été visité ce petit trou à bites, non ? Euh, oui avec le talon aiguille de son escarpin. Mais alors t'est qu'une petite pute , sa main broyant mes testicules j'avouait. Oui je ne suis qu'une petite chienne de pute. Bon, bon un "talon aiguille", c'est mince, j'ai mieux pour toi, il te faut quelque chose de plus gros, et puit Victor peut aussi s'amuser un peu non ? . Sans comprendre ce qu'elle voulait dire je répondis Oui. Elle l'appela et celui fit son entrée dans la cave. Chéri, alors elle est pas bandante notre petite femmelette de voisine? Ma foi elle a un joli petit cul, bien serré pour l'instant. Ils me détachèrent, et toujours les yeux bandés je du monté à l'étage. Dans le salon je me retrouvai rapidement immobilisé dos contre la table basse du salon. On m'enleva le foulard ce qui me permis de voir que Maria filmait ma correction, voyant mon embarras, ils rigolèrent, eh, oui un petit souvenir dès fois que tu ne sois pas trop obéissant à l'avenir. Posant sa caméra sur un trépied, elle se dirigea vers son mari et me dit tu as été sage, tu as droit à une petite gourmandise et déboutonnant le pantalon de son mari, elle en extirpa une bite qui me semblait énorme. Voilà ma jolie, une belle sucette pour toi Non, pitié c'est du viol, je ne suis pas PD, Victor s'approcha excité, ta gueule la pute je vais te la fourrer dans la bouche, mes yeux ne pouvait se détacher de cette queue de taille respectable, mais surtout épaisse et noueuse, Victor regarde, c'est pas une fiotte qu'il dit, mais elle bande cette cochonne, enfin si on peut appeler ça une érection. Victor m'attrapa les cheveux et colla sa pine contre mes lèvres, Maria m'empoignant les testicules, j'ouvrit aussitôt la bouche, vite remplie par la grosse pine chaude de mon violeur. Ma bouche était entièrement investie, et me tenant la tête Victor faisait aller et venir sa bite entre mes lèvres, m'indiquant ce que je devais faire de ma langue pour son plus grand plaisir. Pendant ce temps Maria me branlait et l'excitation m'a rapidement fait jouir entre ses doigts. Victor se retira de ma bouche. T'est la reine de la pipe, je te l'a redonnerai à sucer salope plus tard, mais chérie tu m'as pas parler d'un autre joli petit trou à visiter ? Viens par ici, il y a un joli petit œillet tout rose et bien serré, t'a grosse pine va si plaire. Elle me glissa un doigt dans l'anus bon pour son dépucelage on va pas être vache on va lui graisser tout cela. Résigné, je n'osait imaginer cette grosse bite dans mon cul, mais de toute façons j'allai y passer.

Auteur:Alain HALTER

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