Bonnet d'âne ! 2
Deuxième partie
A 30 ans, papa divorcé avec une petite fille de 6 ans, j'ai récemment été convoqué par son institutrice. Je me suis donc rendu à la petite école de mon village. L'institutrice, jeune femme de 22 ans, cheveux acajou, belle stature, petites lunettes rondes, m'acceuilla avec un air plutôt sévère. Elle m'expliqua que ma fille était une petite effrontée, indisciplinée...J'ai tenté de l'excuser, elle était perturbée par le divorce...Elle bondit de sa chaise et me fit des reproches sur l'education laxiste des parents, lui coupant la parole pour me défendre, une magistrale gifle vint m'apprendre la politesse, j'etait sans voix, electrisé sur place. Petit effronté, tu vas t'excuser. Tout rouge et les yeux baissés je bredouillait un je m'excuse madame, une nouvelle gifle vint me secouer, Içi je suis la Maîtresse, pas une dame et c'est moi qui commande. Je m'excuse Maîtresse!. Bon, comme je n'ai pas le droit de corriger ces chers têtes blondes, c'est toi qui sera puni vilain garçon. Elle m'attrapa par les cheveux, m'ordonna de baiser ma culotte, bizarrement je lui obéis, me coucha en travers de ses cuisses, et ses mains fines d'intellectuelles ont commençées a frapper mes petites fesses. Je me débattais, mais elle me tordait le bras dans le dos, et je ne pouvais me dérober à la cuissante correction. Constatant mon impuissance, j'ai capitulé, et pleuré comme un petit garçon. Ses coups se sont fait plus espacés, et bizaremment je commençai a y prendre plaisir, mon sexe devenait dur. Elle me fit relever et constatant mon érection, se moqua de moi c'est quoi ce petit Zizi ridicule, mes élèves du CP doivent en avoir de plus gros, et elle se mit à rire, mon humiliation était totale. Il est vrai que mon sexe en érection ne fait que 9 cm et à peine plus gros qu'un doigt, avec mes 1,68 m pour 59 Kg, je suis loin de ressembler à un Apollon. Mis entièrement nu, elle me tira par le sexe jusqu'a un banc d'ecolier, me remis une feuille et un stylo et de retour à son bureau cria : Dictée. Date, je soussigné..., vilain garçon, minable...souhaite être éduqué et corrigé par Maîtresse Olivia. Je deviendrais son esclave, sa soubrette..., elle aura tous les droits sur moi...J'accepte ma condition : Signature. J'ai du ramener ma copie à son bureau sur les genoux, et rester dans cette position à ses pieds. D'une main elle lisait ma copie et de l'autre me pinçait les seins avec ses magnifiques mes redoutables ongles vernis. Elle posa la feuille avec un air de mépris et violement me tordit un téton, je criait. Lève toi minable, six fautes en quelques lignes, elle sortit de son bureau un Bonnet d'âne et me le plaça sur la tête, qu'elle humiliation. Pose ta petite queue sur le bureau, je vais t'apprendre l'orthographe moi. Un coup sec à l'aide d'une règle carrée vint meurtir mon sexe, je reculait, elle m'attrappa par les testicules et me ramena à son bureau, je supliais Pitié Maîtresse, ça fait très mal. Tais toi chien, 6 fautes = 6 coups, ou tu préfère que je montre cette dictée dans le village? Résigné je répondis Non Maîtresse Olivia, je desire recevoir cette punition méritée. Sans pitié, elle m'appliqua encore 5 coups, plus un pour avoir protesté. Les larmes aux yeux, je ne sentais plus mon sexe. Au tableau pour le corrigé. Plaçé derrière moi, elle tenait à la main une grande régle plate en bois, et pour chaque faute, l'objet venait claquer mes fesses et mes cuisses. Pas de "S", enlève le avec ta langue, je m'exècutai rapidement, léchant la craie sur le tableau noir. La punition pris fin, elle releva la jupe de son tailleur, dévoilant de longues jambes galbées, et fit glisser sa petite culotte. Sous le bureau esclave, et applique toi pour lécher la petite chatte à ta Maîtresse. A quatre pattes, je glissais ma tête entre ses cuisses blanches et m'appliquai, comme si ma vie en dépendait , a lécher l'intimitée de ma patronne, je luis sucais les lévres une après l'autre, enfonçant ma langue au plus profond de son vagin, puis retournais aggaçer son clitoris. C'etait un vrai bonheur son sexe était trempé, un delicat nectar s'offrait à ma bouche. De ses escarpins elle me branlait, plantant par moment ses tallons aiguilles dans mes couilles. On toqua à la porte, et Maria la femme de ménage, demanda si elle devais repasser pour nettoyer. Non allez-y, vous ne me déranger pas. La garce, elle voulait me mettre à l'epreuve, quelle honte si elle me découvrait nu sous le bureau, elle était de mon quartier. Heureusement elle fit le minimum et repartit rapidemment. La situation plus ma langue qui titillait son gros clito, ma maîtresse finit par jouir en beuglant, c'est bien petite chienne, ah, tu suce bien sale pute... De mon côté, heureux d'avoir satisfait ma dominatrice et malgré les coups de talons, j'éjaculai avec force sur ses chaussures et le sol. Elle ma biensûr fait lécher, en me carressant le cul, comme on carresse un bon chien, Hum, elle aime ça ma petite serpière vivante, mon petit esclave. Bon vilain garçon, ton éducation ne fait que commençer, tu vas me recopier 10 fois ce texte, sans faute et proprement, à me remettre Vendredi prochain, chez moi 18H, je garde biensûr ta copie, dès fois que tu oublierais à qui tu appartiens à partir de ce jour. Allez ramasse tes affaires et dégage, j'ai du travail. Je commençais a me rhabiller, elle cria Dehors, va t'habiller dans ta voiture, de toute façons personne ne vera ta petite bite, je courus donc a travers les couloirs, nu et les fesses zébrées, en espèrant ne pas rencontrer la femme de ménage. Arrivé à la maison, j'ai commençé mon devoir, malheureusement je ne me souvient plus de tous les mots ! Maitresse Olivia va devoir me punir sévèrement, je le redoute, mais finalement pas t'en que ça : je vous raconterait. PS : Finalement je n'ai pas fait de remarque à ma fille, qu'elle continue a être effrontée.
Auteur:Alain HALTER
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