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LA PUNITION DE SYLVIA 2
LA POUTRE
Je la rattache à un anneau fixé a mi-hauteur du mur. Toujours prisonnière et menottée, elle peut néanmoins s’asseoir sur le plancher, ce qu’elle s’empresse de faire. Je la vois qui fait bouger ses mâchoires pour les décontracter. Le port prolongé de ce gros bâillon n’a pas du être le moindre des supplices endurés pendant son séjour sur les marches.
- As tu aimé ton petit séjour dans l’escalier ? Tu sais que ce n’était là qu’un prélude à l’apprentissage de ta nouvelle condition d’esclave soumise ?
Elle baisse la tête, pas de réponse.
- Je suppose que tout ceci t’a donné soif ?
Surprise par tant de sollicitude, elle relève la tête et murmure :
-oui, maître, j’aimerai un verre d’eau, s’il vous plait maître.
- Un verre d’eau pour une chienne comme toi ? ce n’est pas ce qu’il te faut !
Je remplis d’eau une écuelle pour chien et je lui pose sur le plancher devant elle.
- Voilà, cela ressemble bien plus à ta condition, tu ne crois pas ?
Cette nouvelle humiliation la fait rougir, mais elle a visiblement trop soif. Elle se met sur ses genoux écartés, elle se penche en avant et tente d’avaler le breuvage.
Je vous laisse imaginer tout ce que peut avoir de sensuelle cette femelle agenouillée, enchaînée le cul en l’air en train de laper goulûment comme un animal mort de soif. J’ai bien envie de la prendre maintenant, de lui arracher son string et de l’enculer sans ménagement, mais elle m’a été confiée pour être dressée, donc, au travail.
J’éloigne la gamelle avec le pied.
- Oh, encore, s’il vous plait.
- Tu es décidément incorrigible, tu veux encore le bâillon ?
Elle ne répond pas, mais je vois dans ses yeux qu’elle prend peur à l’évocation de l’instrument.
- Désolé, mais tu connais bien la règle maintenant ! Je lui fixe un bâillon dentaire métallique, bien serré, il lui écarte fortement les mâchoires qui sont maintenant impossible à refermer.
- Puisque de toute évidence, tu aimes avoir la bouche ouverte, tu vas apprécier. Tu vois, ce type de bâillon ne t’empêche pas de crier ou gémir et de plus il est parfaitement adapté à tout type de jeux buccaux, si tu vois ce que je veux dire…
Effrayée, elle se recroqueville près du mur, elle tente par des mouvements de tête de desserrer le bâillon qui lui martyrise les mâchoires, sans aucune chance de succès évidemment.
- Debout, salope ! face à moi !
Elle se met péniblement sur ses talons et se redresse doucement.
Avec des ciseaux, je lui découpe et enlève son soutien-gorge et je fais de même pour son string. Sans un regard, je la détache du mur et je emmène sous la poutre principale. De la poutre pendent deux lourdes chaînes écartées de deux mètres environ. Je lui enlève ses menottes.
- Lève les bras vite !
Je lui enroule les chaînes autour de chaque poignet et verrouille avec des cadenas. Voilà donc notre belle, enchaînée, debout, bras tendus, en train de tester ses nouvelles attaches. Pas plus que pour le bâillon, elle n’a de chance de se libérer.
- Ecarte les cuisses, putain !
Elle obéit, lentement, à peine, presque à regret…
- Tu préfères que j’écarte davantage le bâillon ?
Menace persuasive, puisque que je constate un peu plus d’empressement.
- Voilà qui est mieux. Je lui fixe une barre télescopique
entre les chevilles que j’écarte à
Je me replace face à elle et je lui ôte son bâillon
Comme tout à l’heure elle se décontracte les mâchoires endolories par cet hôte indésirable.
Je m’approche d’elle et je prends son sein gauche dans ma main. Elle a un mouvement de recul, semblant vouloir refuser ce contact.
- bien, voilà encore une faute, lui dis je en prenant son téton entre le pouce et l’index. Je serre et je tourne en même temps mais modérément, voulant simplement lui faire comprendre sa totale dépendance.
- Tu es d’accord avec moi pour dire que cela mérite une punition ? je prend et serre dans ma main l’ensemble du globe tendre et fragile
- Pitié maître
- Désolé, mais tu connais les règles, à toi de les respecter.
Je prends une paire de pinces japonaises en métal reliées par une chaînette…
- Oh noon maître
- La ferme ! tu as peur ? tu as les tétons sensibles ? il fallait y penser avant !
Je prend son téton droit entre mes doigts, le mouille, le fait durcir, comme je le supposais, il est bien gros, je lui pose la première pince et je relâche.
Je la vois se crisper, se mordre les lèvres mais elle se tait. Serait elle courageuse, résistante ? J’espère, ça n’en sera que plus distrayant.
J’agite et tire sur la chaîne pour m’assurer que la pince tient bien, pas de problème, sauf pour la chienne qui laisse échapper un gémissement.
Je m’occupe du deuxième téton que je fais durcir comme le premier et je lui pose la deuxième pince. Elle gémit plus fortement bouche fermée.
Je vérifie que tout tient bien en tirant sur la chaîne vers le bas puis le haut, ce qui a pour effet de la faire grimacer de douleur.
- Alors, si j’en crois la lettre de ton mari tu rêves à de belles grosses queues fourrées bien au fond de ta petite chatte ? lui dis je en jouant avec sa chaîne
- Tu ne réponds pas ? Tu vas voir, j’ai quelque chose pour toi qui vas te satisfaire pleinement.
Je vais jusqu’à l’armoire ou je range mon matériel et je sors une barre de métal, télescopique elle aussi. A une extrémité sont fixés 2 godes noirs, l’un de quinze centimètres et l’autre de douze. Je lui ramène et la pose devant elle. Elle roule des yeux effarés, imaginant ce qui l’attend.
Je met la main sur son minou et je constate qu’il est plutôt sec, ce qui prouve qu’elle ne prend pas de plaisir, elle n’est pas maso, tant mieux.
Je retourne à l’armoire et je prends un pot de crème lubrifiante. J’entreprends de lui badigeonner la chatte et l’anus. Elle se tortille légèrement, ce qui a pour effet de faire bouger la chaîne et les pinces et lui arrache un gémissement.
- Tu vois qu’il faut rester bien sage, n’est ce pas ? bien, voila, tu es bien humide maintenant, tu vas pouvoir apprécier pleinement ce que je te réserve.
Je prend la barre munie du double gode et je lui écarte les lèvres de l’autre main. Je commence à faire pénétrer le plus gros gode dans sa chatte et j’appuie l’autre sur sa petite pastille. Je passe derrière elle, j’ajuste bien le deuxième gode et je commence à pousser. La fille gémit, se débat dans ses chaînes, secoue la tête et se contracte. Rien n’y fait, les godes et les parois correctement lubrifiées facilitent la pénétration dans les intimités les plus secrètes de cette femelle. Je continue à pousser régulièrement jusqu’à ce que les deux leurres soient bien au fond de ses orifices, puis je fixe la barre au milieu de celle emprisonnant ses chevilles. Je repasse par devant et augmente la taille de la barre pour que, quoique cette salope fasse, elle ne puisse évacuer les deux intrus.
Je me recule et je contemple le spectacle. L’effet est saisissant, la pute écartelée, enchaînée, engodée, empalée, emprisonnée par le cul est particulièrement excitante. Je vois ses abdos, son ventre et ses cuisses se contracter, preuve qu’elle essaie d’évacuer les objets envahisseurs, ce qui est tout a fait impossible. Elle tente de se rehausser, d’écarter les cuisses, de sautiller, de lever les pieds l’un après l’autre, tout en grimaçant, en ouvrant grand la bouche. Quel grand moment, je devrai filmer, elle est partagée entre douleur et espoir vain d’améliorer un peu sa condition. Je la regarde et là laisse faire, toute à ses souffrances, elle semble avoir oublié ma présence, elle continue à gigoter et à se tordre de façon de plus en plus obscène.
Je m’approche d’elle.
- Alors, tu es heureuse ? tu rêvais d’une grosse bite et là je t’en offre deux ? je ne suis pas gentil avec toi ? qu’en penses tu ?
Elle me regarde, elle a visiblement peur de la réponse qu’elle pourrait me faire, elle choisit de garder le silence et se recentre sur elle même, sa condition actuelle et ses souffrances.
- Tu ne me répond pas mais peut être que tu ne les sens pas assez, attend je vas arranger çà !
Elle lève la tête inquiète, se demandant quel supplice je vais encore lui faire subir.
- Ne crains rien ma belle ! tu vas voir, tu vas aimer j’en suis sûr cette petite invention de ma part.
J’ai quelques connaissances en informatique et j’ai imaginé un programme intéressant à mes heures perdues.
Tout d’abord, les 2 godes sont munis à leur extrémité d’embouts métalliques faisant office d’électrodes. A l’intérieur du tube métallique passe un câble que je relie maintenant derrière elle à un petit générateur. Je relie les commandes du dit générateur à un micro portable toujours derrière elle, afin qu’elle ignore tout de ce qu’il va lui arriver. Enfin, j’ai conçu un algorithme déclenchant de façon aléatoire le générateur. Ni la durée, ni l’intensité, ni la fréquence de déclenchement des impulsions électriques ne sont prévisibles.
Je lance le programme, je me remets en face d’elle et j’attends.
Soudainement, je vois ses yeux s’écarquiller et sa bouche s’ouvrir toute grande, elle se met à trembler puis à gémir doucement pendant quelques instants et elle se calme. Elle a l’air complètement affolée, ne comprenant rien à ce qui lui arrive, se demandant d’où venait cette douleur. Elle me regarde et je lui souris doucement, satisfait de ma petite plaisanterie. Elle se cabre et pousse un cri puis se relâche, elle vient de prendre une décharge rapide mais puissante.
- Tu les sens mieux maintenant tes grosses bites, poufiasse ?
- Qu’est ce c’est , qu’est ce que vous me faîtes ? dit elle terrorisée, puis elle se met à tressauter dans tous les sens faisant cliqueter ses chaînes, la chaîne de ses seins s’envole et retombe, elle pousse une longue plainte d’animal puis retombe épuisée. Celle la devait être belle me dis je.
Elle souffle, elle est en nage, tête baissée, pendue par les poignets mais retenue par ses barres et les bites fichées dans ses orifices.
J’entend qu’on sonne en bas, pendant que la belle en reprend une et se retend dans un arc de cercle du plus bel effet.
Je vais aller voir, c’est peut être Alicia.
J’arrête le programme électrique.
- Tu as de la chance, voilà un petit répit, mais comme je ne veux pas que tu cries et que tu aimes les belles queues, je te fais un petit cadeau.
Je lui introduis dans la bouche un beau bâillon en forme de pénis, que je fixe derrière la nuque par des lanières de cuir. La voilà avec en bouche un beau leurre de 8cms sur 4.
- Te voilà avec des bites partout ma jolie, j’espère que tu vas apprécier. A tout à l’heure.
Je la laisse à sa triste condition et je descends ouvrir. Enchaînée et bâillonnée comme elle est, il n’y a aucune chance qu’on l’entende du rez de chaussée.
Auteur:jackmilan