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La mère de Caroline
chapitre 1
Mon prénom est Anaïs et j'ai 19 ans. J'ai les cheveux chataîns et les yeux verts, je suis assez grande et mince. Mes mensurations sont les suivantes 36-25-35. J'ai présentement un chum mais je suis bisexuelle. Les femmes ayant de très gros seins m'ont toujours attirées. J'ai moi-même une assez grosse poitrine mais j'aime les femmes qui en ont une encore plus grosse. Allons droit au but.
Mon histoires s'est passée il y a de ça 1 mois environ. Elle est très difficile à croire mais je vous donne ma parole qu'elle est véridique. C'était par un bel après-midi de fin de semaine. J'étais chez mon amie Caroline, ont étaient dehors et ont discutaient.C'était la première fois que j'allais chez Caro. Quelques minutes plus tard, Caro et moi avons entendu une porte se fermer. Elle me dit:
- C'est ma mère, tu vas voir, c'est une vraie putain.
Je trouvais qu'elle n'était pas très respectueuse, jamais je n'aurais dit quelque chose de ce genre de ma propre mère. Mais quand je vît sa mère s'approcher, je compris alors ce que Caro voulait dire.
La femme en question était grande, mince, blonde aux cheveux très longs avec (devinez quoi...) de très, mais alors de TRÈS gros seins. Elle portait une jupe très courte moulante avec un petit gilet lui aussi très moulant et très court. Je trouvais que la femme avait l'aire bien jeune pour être la mère de Caro. Je me suis alors souvenue que Caro est née lorsque sa mère avait seulement 15 ans. Comme Caro a aujourd'hui 17 ans, sa mère a aujourd'hui 32 ans à peine. Pour être directe, la mère de mon amie était très belle et très exitante. Le fait qu'elle aille l'apparence d'une putain m'excitait au plus haut point. Caro prît la parole:
-Anaïs je te présente ma mère Johanne, Johanne c'est mon amie Anaïs.
-Bonjour chérie... me dit-elle avant de retourner à l'intérieur. Caro me dit alors:
-Ma mère c'est la pire pute qui existe...T'as vu comment elle s'habille ? En plus elle couche avec tout ce qui bouge, si tu savais comme j'ai honte... Ce que Caro me disait m'excitait encore plus. Quelques minutes plus tard, j'ai dit à Caro qu'il fallait que je rentre pour aller à la salle de bain. À l'instant où je mis les pieds à l'intérieur, j'aperçus Johanne. Elle faisait un peu de ménage. Quand elle m'aperçus, elle me dit:
-Je suis fière de ma fille, je trouve qu'elle fréquente de très jolies copines... Je lui répondis d'un sourire timide. Que je sois jolie n'avait aucune importance pour Caro, notre relation n'avait rien à voir avec le sexe. Puis tout d'un coup, Johanne me dit, contre toutes attentes:
-Tu aimes mes seins n'est-ce pas ? Je ne savais pas quoi répondre...Elle s'approcha vers moi et enleva son petit chandail. Elle ne portait pas de soutien-gorges. Ses seins étaient magnifiques, vraiment énormes et ronds. J'étais excitée comme jamais je ne l'avais été. Ma belle putain me dit:
-Aller, suis moi ! Elle me prit la main et m'amena dans sa chambre, très grande et très spacieuse. Elle me coucha sur le lit et enleva sa jupe. Elle ne portait pas de petite culotte. Elle sortit des menottes de son tiroir et me les enfila. J'étais tellement excitée, je voulais mourir tellement je la désirait.
C'est alors qu'elle approcha ses seins de ma bouche et me dit:
-Tu veux les goûter n'est-ce pas ? Vas-y... Je m'empressai alors d'exécuter ce qu'elle me disait de faire. Je goûtais à ses seins merveilleux, ils étaient la plus belle chose que je n'avais jamais vus. Après avoir goûté à ce doux plaisir, Johanne m'enleva mes vêtement et m'embrassa tout le long de mes cuisses, puis elle commença à lécher tranquillement mes lèvres, pour ensuite lécher mon clitoris. Elle le mordillait doucement...c'était le paradis ! Elle entrait ses doigts agiles dans ma fente pendant qu'elle embrassait le reste de mon sexe en entier. Puis, doucement, elle entra ses doigts dans mon petit trou. Elle entra 4 doigts, c'était douloureux, mais tellement jouissant en même temps. Puis c'est alors qu'elle sortit de son tiroir un vibrateur, très gros et très long qu'elle entra profondément dans ma fente et parfois dans mon petit trou. Elle y allait très fort, je me sentais comme un animal, mais qu'est-ce que c'était bon !!!!
Je voyais ses seins branler pendant qu'elle me faisait jouir comme une bête...C'était tellement beau à regarder, j'aurais voulu qu'elle continue pour toujours. C'est lorsque l'orgasme le plus beau et le plus long de ma vie m'arriva qu'elle cessa toute pratique. Elle me dit:
-Tu es une vrai salope ! La prochaine fois, lorsqu'on aura plus de temps, je vais te dominer encore plus, tu seras mon esclave. Je ne dit rien mais avant de me rhabiller et de sortir de la chambre, je l'embrassa profondément. Caro était dans la cuisine et m'attendait...elle ne dit rien et nous avons continué notre conversation comme si de rien n'était, mais moi je pensais à Johanne... Une suite est peut-être à venir................
Auteur:Anaïs
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