Bien sûr, sous l'effet des caresses de Karine, je n'ai pas tardé à mouillé…
"Tu es vraiment adorable comme ça, avec ton petit cul bien offert. Je ne peux pas résister pas au plaisir de te fouetter encore un peu"
"Oh, non…"
"Mais si, ma jolie. Je veux que ton petit cul soit bien rouge"
"Pitié, pitié, assez, assez…"
Enfin, Karine s'est arrêtée.
- Ca y est. Je crois que je t'ai bien rendu la monnaie de ta pièce et que, la prochaine fois que Laurent et Raphaël te demanderont de me punir, tu iras plus doucement.
- Oh oui, c'est promis.
- Bon, mais ça m'a fatiguée de te fouetter. Je crois que je vais prendre le temps de souffler un peu et de réfléchir à la suite des réjouissances. Le mieux est que je te laisse attachée pendant ce temps là.
- Oh, non, Maîtresse, détachez moi. Je ne peux pas rester comme ça. Mes bras me font si mal.
- Tu es vraiment bien douillette, ma chérie. Je pensais que Laurent t'avait mieux dressée que ça. Allez, je suis trop bonne, je vais te libérer.
Karine m'a libérée les bras de la chaîne qui les tirait à l'air. Mais, elle m'a laissé les poignets attachés derrière le dos et m'a, en plus, attaché les coudes avec une paire supplémentaire de bracelets de cuir. Puis, profitant de la situation, elle a dégagé mes seins de mon soutien gorges et a commencé à me caresser. La douceur des gants en cuir de Karine sur mes seins était irrésistible. J'ai rapidement commencé à gémir…
Karine a alors brusquement arrêté de ma caresser et a pris un bâillon…
Auteur:inconnu