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Rêve de fessée
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Je rêve de fessée depuis plus longtemps que je ne peux m'en
souvenir,
mais ma première expérience d'adulte date
seulement de juillet 1998. Par le
minitel, j'avais enfin
trouvé un homme qui accepte de me fesser en échange
d'une
faveur sexuelle. J'ai rarement rêvé d'être fessé par une
femme. Ce
garçon avait déjà un peu d'expérience, ayant à
plusieurs reprises fessé un
mari devant sa femme pour les
exciter tous les deux. Plein d'attentes mais
aussi assez
inquiet, je suis monté dans sa voiture et nous sommes
partis
dans la forêt voisine. Impatient de savoir enfin ce
qu'est une fessée et bien
qu'il m'ait dit que je n'étais
pas obligé de le faire, je m'y suis aussitôt
déshabillé,
sans hésitation bien que pour la première fois devant
un
homme. Quand j'ai saisi son regard, j'ai réalisé que je me
livrais sans
défense à un inconnu. C'est sans doute la
raison pour laquelle,
inconsciemment, je l'avais fait.
Excitation de l'appréhension. Craignant que nous soyons
vus, il m'a
fait m'avancer un peu plus profondément dans le
taillis, puis m'a dit me
mettre à quatre pattes (une
erreur, car la fesse est moins charnue dans
cette
position). Et pour la première fois dans une activité
sexuelle, je
n'ai eu qu'à rester passif. Pas d'initiative à
prendre ; se laisser faire et
ressentir. Il m'a d'abord
fessé à la main, puis avec un large ceinturon qu'il
avait
apporté sur ma suggestion, puis il alterne. Des coups
espacés,
réguliers, sur une fesse, puis sur l'autre. Je ne
les ai pas comptés. 10-15
sur chaque fesse ? Il m'a aussi
très brièvement masturbé. La trentaine,
grand, bien bâti et
vigoureux, ayant de larges mains, il m'a bien sûr fait
mal
et j'ai ressenti des sensations fortes et nouvelles comme
je
l'espérais, mais il n'est pas allé assez loin. Son
défaut était de ne me
fesser que pour la faveur sexuelle
promise. Il ne le faisait ni par plaisir,
ni par jeu. Tout
en cherchant consciencieusement à remplir mon attente,
il
est resté trop doux, gauche et un peu hésitant. Ceci dit,
je me sentais
bien : ma nudité, le claquement sec des
coups, la douleur croissante sur mes
fesses, bref
l'érotisme. Me demandant de lui faire ce que nous
avions
convenu, il cessa de me fesser alors que je venais à
peine
d'atteindre le stade où chaque nouveau coup fait craindre
le suivant
et où, mes fesses me brûlant de plus en plus, je
me suis senti lui abandonner
mon corps, me retenant de lui
dire de s'arrêter. Mon expiration se faisait
plus bruyante
et je commençais à y trouver un plaisir sexuel.
Les
sensations à la fois craintes et espérées
débutaient
juste.
Toujours nu, je lui ai obéi non seulement sans hésitation,
mais même
avec conviction, ce qui m'a surpris. Lui aussi,
car il me demande si je ne
l'avais encore vraiment jamais
fait :
- non, c'est la première fois
!
Je le lui avais déjà dit par minitel. Sans doute étais-je
désireux de
remplir mon contrat, lui ayant rempli le sien,
mais surtout la fessée m'avait
soumis ; elle avait abaissé
mes inhibitions. Sur les fesses du fessé, le
fesseur
n'imprime pas que ses marques, mais aussi sa volonté.
Mais malgré
les efforts, il n'a pas atteint l'orgasme.
Au retour, il m'a dit que je serai
étonné en voyant la
couleur de mes fesses et quand je les ai regardées, je
les
ai vu effectivement bien rouges. Je suppose qu'il m'a fessé
plus fort
que l'autre type. Il m'a demandé ce que j'avais
ressenti :
- des
sensations fortes et nouvelles.
Le ton de sa question montre qu'il ne
comprend pas quel
plaisir on peut avoir à se faire fesser. Mais ceux
qui,
contrairement à lui, ont du plaisir à fesser, le
comprennent-ils
mieux ? Sûrement pas tous. Mais au moins
sont-ils heureux que d'autres aient
cette lubie !
Gêné, comme à l'aller, il me parle sans me regarder, ce
qui
n'est pas mon cas. Il a essayé de me convaincre de me
laisser aller
avec lui, un autre jour, à un contact sexuel
encore plus avancé, " tu devrais
essayer, tu aimerais ",
mais il faudrait qu'il me fesse beaucoup plus
énergiquement
pour obtenir cela de moi, et encore...
Bien qu'il ne m'ait administré qu'une fessée-vanille (une
jolie
expression), j'ai apprécié cette première expérience
espérée si longtemps ;
elle m'a mis en appétit pour une
vraie fessée.
Les récits, dialogues,
photos et dessins trouvés sur
internet n'ont fait que renforcer mon désir et
conforter la
conclusion de ma première expérience : je dois me
faire
fesser par un homme expérimenté aimant cela. J'aimerais
fesser une
femme et ai suggéré à H, mon amie, de lui faire,
mais elle m'a répondu :
-
I don't want you to spank me, but to rub me !
Je me voyais déjà la mettre sur
mes genoux et abattre sur
ses fesses le dos de sa brosse à cheveux. Elle ne
parle pas
non plus de me fesser.
Fin 99, j'ai trouvé sur internet
l'annonce de S, un
fesseur de la même région. Je l'ai contacté par
e-mail.
Sa réponse à mon premier message (perdu) :
Je te recevrai
volontiers pour une session d'épreuve (ou
est-ce qu'on dit "d'essai" ?).
Malheureusement tu racontes
peu de toi. Est-ce que tu pratiques un sport ? Et
si oui,
lequel ? Aimerais-tu un scénario comme par exemple
père/fils,
professeur/élève etc. ? Ce sont mes questions.
Tes réponses me serviront à
préparer une bonne première
leçon. Quant à moi, j'ai fessé jusqu'à ce jour
une
trentaine de jeunes gens; une demi douzaine me
fréquente
régulièrement. Chez moi il n'y aura pas d'actions
sexuelles
entre le fesseur et le fessé.
J'espère bientôt avoir de vos
nouvelles
Ma réponse au message ci-dessus :
Merci beaucoup de votre réponse.
Elle me laisse penser que
vous êtes bien la personne dont j'ai besoin. Je ne
fais
plus partie des jeunes gens. J'ai 45 ans. Avant de me juger
trop
vieux, laissez moi s.v.p. d'abord une chance. Je suis
plus en forme que
beaucoup d'hommes plus jeunes. J'ai
beaucoup pratiqué le jogging et couru
plusieurs marathons.
Aujourd'hui, je fais surtout du VTT (mountain bike).
L'été,
je fais de la voile. Je mesure 1m80 et ai le physique
typique du
coureur de fonds : longues jambes, mince,
épaules étroites. Dans le marathon,
il y a ce que je
cherche dans la fessée. L'impression de facilité au
début,
puis cela devient de plus en plus dur, mais on continue
malgré la
souffrance et le plaisir vient à l'arrivée
d'avoir tenu jusqu'au bout. La
fessée aussi doit durer
suffisamment pour devenir pénible et laisser
finalement
l'impression d'avoir repoussé ses propres limites. Je n'ai
pas
besoin de scénario. Mais j'attends bien sûr que vous me
donniez des ordres.
Etant hétérosexuel, je suis content
qu'il n'y ait pas chez vous d'acte sexuel
entre le fesseur
et moi. Je suis curieux de savoir combien de fessée
vous
avez déjà données. Quant à moi, comme je vous l'ai dit, je
n'ai
qu'une expérience. Enfin je ne sais pas encore quoi
vous proposer pour les
dates. Mon amie part du 24 décembre
au 7 janvier. Je ne voudrais pas qu'elle
voit les marques
sur mes fesses.
Et je joignais le récit de ma première fessée.
H n'était pas absente
assez longtemps et je ne veux pas
risquer qu'elle voit des marques. Pour le
nouvel an, S me
relance en m'envoyant par e-mail une photo montrant
un
homme de dos, le pantalon baissé, s'apprêtant à s'allonger
sur les
genoux de son maître, vêtu d'un costume sombre, à
l'air sévère et tenant un
instrument en bois (une strappe
?). Sur le dos du T shirt du garçon, une
inscription : " I
wish you a well spanked year ! " En mars, lors de
quelques
jours d'absence de H, je l'ai appelé. Quand il m'a dit que,
selon
la qualité de la peau, les marques restent visibles
entre deux et quatre
jours, je n'ai pas osé prendre le
risque. Il m'a assuré qu'il faisait bien
chauffer la peau !
Il en parle comme l'amateur qui, sous un ton blasé,
essaie
de dissimuler sa passion. Je ne doute pas qu'il sache faire
très
mal sans blesser.
H sera en vacances du 15 au 26 juin 2000 : en profiter
?
Alors j'y repense sérieusement. Je visite internet, y
regarde des photos
et y lis des récits. Je trouve l'adresse
d'un bar à Paris où se pratique la
fessée. Pourquoi pas ?
Après deux jours au moins d'hésitation, je finis par me
décider,
prends rendez-vous avec S par téléphone et lui
envoie le message suivant
:
" Notre rencontre aura lieu chez vous le 15 juin à 18h15.
Comme je vous
l'avais expliqué, je n'ai reçu qu'une seule
fessée et l'avais trouvée trop
douce. Le fesseur s'était
arrêté trop tôt, même si j'avais déjà les fesses
assez
rouges.
Il sera très important pour moi de sentir chez vous ce
qui
lui manquait : la sévérité et le plaisir de fesser.
Le geste doit être
vif, mais la parole toujours calme.
J'imagine cette fessée en deux étapes
progressives :
1. d'abord simplement pantalon baissé et allongé sur
vos
genoux : cette position et l'usage (même bref) de la main
aidera à me
soumettre,
2. puis complètement nu et debout, pour que je sente
ainsi
l'appréhension d'être entièrement livré à vous.
N'hésitez pas à
:
- me caresser un peu les fesses en me disant que je vais
avoir besoin de
courage,
- me montrer les instruments avant de vous en servir,
- me faire
confirmer après une série de coups que cela me
fait du bien (ou que c'est
mérité),
- m'obliger à compter les coups à voix haute et à garder
les
fesses détendues,
- alors que je suis déjà rhabillé, me demander de
rabaisser
à nouveau mon pantalon pour un ou deux
coups
supplémentaires...
Par votre expérience, vous avez sûrement beaucoup
plus
d'idées que moi et je vous fais confiance pour i) utiliser
au mieux
ce temps où mes fesses seront à votre disposition
et ii) trouver mes
limites.
Si cette fessée répond à nos attentes respectives, je
pourrais
revenir vous voir quelques jours plus tard, étant
seul pendant 12 jours
"
Je ne lui ai pas écrit qu'un autre de mes fantasmes est
d'être attaché
debout par les poignets et chevilles, mes
bras et jambes formant un X, ma
nudité totalement exposée
et livrée sans recours possible à ses pulsions. Et
s'il me
proposait d'être fessé par ou devant plusieurs personnes ?
J'ai
envie de goûter du martinet ; des orties aussi (ces
derniers sur les organes
génitaux !). Mais je crois que
dans son annonce il précisait n'utiliser que
la strappe et
la canne anglaise, sur laquelle j'ai lu des avis
divergents.
Les uns disent qu'elle est très douloureuse et,
mal maniée, peut même laisser
des cicatrices, d'autres
qu'elle est très souple et, tout en étant très
efficace (
!), est moins dangereuse que, par exemple, la cravache.
Encore
huit jours à attendre...
Ce sera beaucoup plus dur que la première fois, ce
qui peut
s'exprimer ainsi : les sensations seront bien plus vives
!
Vais-je (re)vivre ce moment où la douleur ayant atteint un
certain
seuil, sa volonté se substituera à la mienne et,
soumis, je partagerai son
plaisir via la douleur ? Oui et
je sais que lui ne s'arrêtera pas juste là ;
il ira bien
plus loin, me contraignant à plus de plaisir. Il n'attend
pas
de moi de supporter la douleur, mais de m'y soumettre.
Tout en étant passablement anxieux, je désire intensément
les
sensations sexuelles de la fessée, mais aussi la gêne
d'exhiber ma nudité et
la passivité. Les récits de femmes
qui se sont fait fesser évoquent tous ces
éléments du
plaisir (mieux que les récits d'hommes). Je suis
plein
d'incertitudes, mais ces pensées m'excitent. La première
fois aussi
j'ai bien sûr ressenti cette anxiété, mais
aussitôt déshabillé, elle a laissé
la place à une curiosité
impatiente.
Si je visitais ce bar à Paris (mais
je suis rarement à
Paris et il faut le combiner avec plusieurs jours sans
H),
je pourrais choisir le type. Le 15, je n'aurai pas le
choix. D'un
autre côté, j'y vais pour la fessée, pas pour
lui.
La suite après le 15
juin... On m'aura alors administré
une vraie fessée et je pourrai enfin en
parler en
connaissance de cause !
Auteur:Inconnu