Première fessée
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Je suis un homme de 40 ans, régulièrement corrigé par ma compagne et qui
a donc
une une vie sexuelle épanouie...
Cependant, je pense souvent à la première femme m'ayant fait découvrir
la
fessée...J’étais alors âgé d'une vingtaine d'année et venais de faire
la
conquête d'une femme plus âgée que moi. C'était une très belle femme,
brune aux
yeux bleus, dont j'avais fait la connaissance au travail. Son
élégance et son
charme un peu sévère m'avaient séduit et elle avait
rapidement encouragé mes
avances... Elle s'appelait Michèle.
Le soir de
nos premiers ébats, satisfait et soulagé, je rêvassais persuadé
d'avoir
satisfait ma partenaire. Mais Michèle avait une toute autre opinion de
ma
prestation: comme beaucoup de jeune hommes, j'avais bâclé la chose et pris
un
plaisir rapide et égoïste. Elle me réprimanda franchement et en termes
sans
équivoques: "je baisais comme un lapin".
J'étais très humilié par ses
propos et la suite allait encore augmenter ma
honte.
Elle affirma d'un ton sévère que ma piètre démonstration méritait une
punition.
Michèle était assise au bord du lit, et sans comprendre comment, je
me suis
retrouvé en travers de ses genoux, mes fesses offertes, et l'écoutant
parler de
mon éducation.. .Je n'ai pas réagi, pensant exhausser un fantasme
de ma
partenaire et ainsi compenser sa déception. Je décidai donc de subir
stoïquement
la première fessée de ma vie, mes parents n'ayant jamais eu
recours à cette
punition lorsque j'étais enfant.
Les premières claques résonnèrent dans la chambre, mais sans que je
réalise
vraiment que mon derrière en faisait les frais. Rapidement, de
cuisantes
douleurs me ramenèrent à la réalité : j’étais en train de me faire
corriger comme
un gamin !
Ma maitresse claquait une fesse après l'autre,
en cadence, et j'avais
l'impression, mais en était-ce une, que ses coups
étaient de plus en plus
appuyés...
Aux environs de la dixième claque, mes
fesses devenant très chaudes, j'osai
murmurer : "ça fait mal !" et esquissai
un geste du bras pour parer le
coup suivant. Je le regrettai amèrement :
Michèle saisit mon poignet,
m'immobilisa le bras très adroitement, et
visiblement agacée par ma tentative
doubla la cadence de ses
frappes...
Je me souviens m’être mordu les lèvres pour ne pas crier et je ne pus
empêcher
de grosses larmes de me monter aux yeux. Ma gorge était nouée et de
petits
gémissements s'en échappaient malgré moi au rythme de la main
fouettant mes
fesses en feu. Mes jambes battaient l'air désespérément, ce qui
n’atténuait en
rien la douleur.
J'essayais aussi de contracter mon
derrière et bouger le bassin pour échapper à
la terrible fessée mais d'un
mouvement des cuisses, Michèle me renvoyait
rapidement à mon
châtiment.
Enfin, après une dernière claque magistrale, ma maitresse
s'arrêta. J’étais
prostré sur ses genoux, des larmes coulants sur mes joues
rouges de vexation.
Elle me dit d'une voix calme : "je pense que cela suffira
pour ce
soir". Elle libéra mon poignet et me dit de me
relever...
Je me suis relevé lentement et la tête basse je n'ai pu m’empêcher de
masser mon
derrière dans le vain espoir de calmer la douleur...
Je n'osais
pas croiser son regard et, mon regard dirigé vers le bas, je m’aperçus
d'un
fait qui mit un comble à mon humiliation : nu devant devant ma maitresse
,
j'exhibais la preuve flagrante que ma correction avait eu un
effet
secondaire... Très dur et tres consistant !...
Michèle s'est
relevée lentement, a saisi délicatement mon menton dans sa main,
et m'a forcé
ainsi à la regarder dans les yeux. Mon visage devait être aussi
rouge que mes
fesses mais pas pour les mêmes raisons...
Elle m'a regardé d'un air amusé et
m'a dit avec un sourire ironique : "Je
vois que tu as profité de ta première
leçon... Mon lapin !"
Le peu de dignité qui me restait s'est définitivement
envolé : non seulement une
femme venait de m'administrer une magistrale
correction, mais en plus je n'avais
pu lui dissimuler que j'y avais pris du
plaisir !
Au moment de prendre congé, elle m’infligea l'estocade :
"Pour notre
prochaine sortie, n'oublies pas de porter une ceinture à ton
pantalon... Cela
pourra servir..."
Et effectivement, cela a servi... Mais c'est une autre
histoire...
Auteur:Inconnu