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Un châtiment répandu
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Nonbreuses sont les personnes qui se demandent si beaucoup de jeunes
filles sont
encore punies par la fessée à l'âge de dix-huit ans. En ce qui me
concerne, j'ai
dix-neuf ans passés et je vais encore au lycée. Mon père est
mort, et je vis
seule avec ma mère. Elle m'a toujours éduquée assez
sévèrement, employant
souvent les châtiments corporels. Petite fille, j'étais
fessée à la main nue,
puis est venu le temps du martinet. Depuis que j'ai
seize ans, elle me punit le
plus souvent avec une sévère badine de jonc, que
mes fesses redoutent énormément
mais pour les fautes bénignes, il m'arrive
encore de recevoir une simple fessée
manuelle sur mon derrière nu, ou une
fessée de martinet. Bien sûr, je suis
humiliée de devoir me déculotter et
d'être si souvent fouettée à mon âge, mais
j'approuve tout à fait ces
punitions et il ne me viendrait même pas à l'idée de
me
révolter.
La dernière correction que j'ai reçue remonte à avant hier, et j'en
conserve
encore les stigmates sur mon derrière. Il faut dire que la punition
a été
particulièrement sévère. J'avais ce jour-là montré un mouvement
d'impatience et
de bouderie à maman, alors qu'elle me demandait d'aller
immédiatement apprendre
mes leçons ; elle m'avait annoncé qu'elle me punirait
le soir. Mais entre-temps
mes notes de classe sont arrivées à la maison. Et
ces notes étaient très au
dessous de la moyenne de 14 exigée par ma mère.
Maman a donc décidé de me donner
une double correction, c'est-à-dire le
martinet suivi de la badine, et j'ai dû
reconnaître que je le méritais. A
huit heures du soir je me suis retrouvée dans sa chambre.
Il y avait sur son lit le martinet et la fine badine de bambou que mes
fesses connaissent déjà si
bien. Après m'avoir sermonnée pendant cinq
minutes, elle m'a ordonné de me
déshabiller. J'ai obéi ; à mesure que je me
dévêtissais, je pliais soigneusement
mes habits et je les posais sur le lit,
car maman l'exige. J'ai fini par
dégrafer mon soutien gorge, et j'ai baissé
ma petite culotte à mi- cuisse.
Ensuite elle m'a ordonné de me pencher en
avant, afin de bien présenter mes fesses. Puis la
correction a
commencé.
J'ai dû recevoir une bonne vingtaine de coups de martinet. Comme j'ai
crié,
maman m'a obligée à me mettre à genoux et à m'excuser. Puis j'ai dû me
remettre
en position pour recevoir douze rigoureux coups de badine sur mon
derrière déjà
bien meurtri par les lanières du martinet. En cours de
fouettée, la douleur a
été si forte que j'ai eu le malheur de me protéger les
fesses avec les mains. A
nouveau maman m'a fait agenouiller, elle m'a giflé
le visage à trois reprises.
Quand la punition a été terminée, que j'ai été
autorisée à frotter mes fesses,
j'étais en larmes et je jurais à maman comme
une petite fille que je ne le
ferais plus. Elle m'a accordé le baiser de la
paix, et elle m'a autorisée à
aller me coucher. Mais comme à chaque fois que
je suis punie, j'ai été privée de
dîner. A l'heure où je vous parle, il
suffirait que je me déculotte pour
apercevoir les marques violettes de la
badine et du martinet sur mon derrière.
Je peux vous assurer qu'après une
correction pareille, je fais des efforts pour
ne pas en mériter une autre de
sitôt. Hélas, je sais bien que cela arrivera
inévitablement.
Je voudrais dire à Nicole et à toutes les jeunes filles qui sont dans son
cas
qu'à notre époque la fessée est encore un châtiment très répandu, même si
on en
parle moins qu'avant. Il n'y a aucune honte à la recevoir sur ses
fesses
dénudées ; après tout c'est une punition comme une autre. Beaucoup de
mes amies
sont encore giflées par leurs parents, et certaines sont encore
fessées comme
moi.
Bien sûr, ce qui est gênant c'est lorsque la correction a lieu devant des
tiers.
C'est une façon de punir qu'il faut à mon avis éviter à tout prix.
J'en ai parlé
plusieurs fois à maman et elle est de mon avis. Par contre,
comme la mère de
Nicole, elle n'hésite pas à raconter à tout le monde la
façon dont elle
m'éduque. L'autre jour elle a raconté en détail à une de mes
cousines le
déroulement d'une de mes corrections. J'étais affreusement gênée,
d'autant plus
que maman lui a montré le martinet qui la veille au soir avait
cinglé mon cul
nu. Ma cousine me posait des questions sur la façon dont je
devais présenter les
fesses, sur la manière dont je réagissais sous les
coups, et j'étais bien
obligée de lui répondre en détail, car maman n'aurait
pas hésité, en cas de
mauvaise volonté, à me faire trousser ma robe et
baisser ma petite culotte pour
lui montrer les traces de la correction de la
veille.
Auteur:Inconnu