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La discipline conjugale
confession
Dans les récits, ,il y a souvent des lettres sur la fessée donnée aux
femmes.
Je vous envoie mon avis, je crois que je suis bien placée. Je suis
femme et je suis très régulièrement fessée par mon mari, vraiment très
souvent.
Etienne est un fervent adepte de la discipline conjugale. A la moindre
bêtise, à la plus petite faute domestique, je suis punie, toujours par une
fessée complétée de pénitences. tout cela faisant l'objet d'un cérémonial précis
aussi important que la fessée proprement dite qui elle n'est jamais vraiment
trop terrible.
Tout commence quand Etienne m'appelle au salon et me dit qu'il
a un reproche à me faire. Tout de suite, je mets mes mains sur ma tête et je
baisse les yeux, exactement comme une gamine désobéissante. C'est toujours
humiliant de se voir rappeler ses fautes, rôti trop cuit, vaisselle mal rincée,
etc… quelquefois j'essaye de nier, quand je juge le grief injustifié, ou
vraiment extrêmement minime. Mais Etienne a toujours le dernier mot, alors je me
mets à pleurnicher, réflexe typiquement féminin. Ca n'attendrit pas Etienne
"Qu'est-ce que tu mérites ?" demanda-t-il. "Je mérite de recevoir la fessée ;
pardon". Quand ce n'est pas dit assez fort ou avez assez de conviction je répète
quatre ou cinq fois s'il faut.
Ma culpabilité est clairement établie, j'ai moi-même prononcé la
sentence, une nouvelle humiliation m'attend : c'est à moi de tout pré-parer pour
l'exécution du verdict. . Je prépare le martinet, une lanière de cuir, un
torchon mouillé, me demandant avec angoisse lequel de ces instruments il va
choisir pour rougir mes fesses.
Etienne aura aussi des rafraîchissements à
portée de la main, il ne doit manquer de rien. Ensuite je me prépare.
Déchaussée, jupe maintenue relevée, collant et culotte descendus à mi cuisses,
je m'installe dans le salon, appuyé contre le mur, mains sur la tête, fesses
cambrées au maximum et jambes écartés, éclairée par deux spots dirigés sur mes
globes fessiers déployés. Etienne me fait languir un peu, pour bien me faire
sentir que je suis sous sa coupe, dix à vingt minutes d'attente sans
bouger.
Enfin il s'approche, cherche la meilleure position, choisit un
instrument, me demande si je suis prête. "Oui je suis prête." Le premier coup
tombe, me faisant sursauter. Etienne m'applique des coups bien espacés et qui
claquent. A chaque coup je réponds "Merci, pardon" Ce n'est pas terriblement
douloureux, ça chauffe beaucoup les fesses, mais c'est supportable et je
parviens à rester en position, croupe parfaitement présentée.
Quelquefois je prends un coup plus cinglant qui me fait cabrer et me
rappelle à l'ordre quand je bouge, quand je ne déploie pas les fesses assez bien
ou si je ne remercie pas avec assez de conviction.
C'est très humiliant alors
je me mets à pleurer et à implorer, je demande pardon, je promets de faire plus
d'efforts, de moins mériter la fessée. Quand j'en suis là, c'est très spontané,
je dis tout ce qui me passe par la tête, que je suis une vilaine fille, que je
mérite absolument la fessée, etc. Ce n'est que quand Etienne voit que mon
repentir est sincère qu'il arrête la fessée.
Vaincue, complètement matée, je
me retrouve à genoux devant lui à lui embrasser les mains. Pour le remercier de
m'avoir châtiée je dois aussi lui faire une petite gâterie, à genoux et les
mains sur la tête. Après je reste un bon moment en pénitence dans cette
position, baissée, croupe haute, en répétant sans arrêt "pardon
,pardon"
Enfin vient le moment tant attendu, Etienne me relève, il m'embrasse
tendrement et prononce les paroles magiques "C'est fini, je te pardonne." Alors
là je fonds en larmes, je pleure, je pleure. Finalement ça soulage bien, c'est
bon, je suis toute pantelante dans les bras d'Etienne qui caresse mes fesses
rouges et cuisantes, achève de me déshabiller, me met au lit et me fait
tendrement l'amour. Apaisée, calmée, je suis bien.
Voilà comment se passent mes punitions. Je ne sais pas ce que vous en pensez mais moi je ne me plains pas, parce qu'au moins quand il me surveille et quand il me punit Etienne s'occupe de moi, ça veut dire que je suis quelque chose pour lui et ça me rend heureuse.
Auteur:Inconnu