Fabienne, la masochiste
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J'ai connu Fabienne alors qu'elle avait 21 ans bien sonnés. Elle vivait
seule
avec son beau père, il l'élevait à la dure et elle lui servait de
bonniche.
Je fus attiré par elle parce qu'elle était grande et très bien en
chair, comme
j'aime .Lors d'un premier flirt poussé, je constatai que ses
belles grosses
fesses, sorties à moitié de la culotte, étaient pleines de
bleus. J'ai voulu en
parler avec son beau père, mais elle refusa net,
prétextant que son éducation
lui convenait parfaitement, qu'une fille doit
être très sévèrement tenue, punie
à la moindre faute et que si son père la
fouettait, c'était pour son bien et
qu'elle le méritait. Elle ajouta même que
si cela me choquait, je n'avais qu'à
m'en aller.
Après six mois de fréquentation, son beau père me proposa de venir vivre
à leur
domicile et à partir de cette période, elle eut deux hommes à servir.
Son père
lui imposait beaucoup de règles :
elle devait prendre sa douche
porte ouverte, le maquillage lui était interdit et
lorsqu'elle avait ses
règles, son père exigeait qu'elle laisse ses serviettes
hygiéniques usagées à
côté de la cuvette des W.C pour qu'il les voit (il avait
probablement peur
qu'elle tombe enceinte ). Je remarquais dans la cuisine un
martinet usé
d'avoir beaucoup servi. Elle devait faire tout dans la maison, y
compris les
lourds travaux, pénibles ou sales.
Elle portait seules les lourdescourses au retour du supermarché, devait
monter des bidons
étages et devait faire la vaisselle à la main. Elle faisait
aussi la lessive à
la cave, à la main, avec une brosse et du savon de
Marseille, à genoux sur le
béton dans une atmosphère fraîche et humide, entre
les rats et les araignées
dont elle avait horreur. Si elle n'allait pas assez
vite, son père la faisait
cambrer sur le lavoir, mains derrière la nuque,
jupe relevée sur les reins, elle
ne portait pas de culotte pendant ses tâches
domestiques et présentait son
plantureux derrière nu à la punition. Il lui
claquait les fesses au battoir à
linge. Elle lavait aussi tous les sols avec
une brosse à chiendent, à genoux.
Son père venait inspecter de temps en temps, la courroie à la main. Dès
qu'elle
le voyait, elle relevait vite sa robe et déployait bien les fesses
pour se les
faire stimuler de quelques coups sévèrement appliqués. Si elle
n'allait pas
assez vite ou ne présentait pas ses globes assez largement, il
prenait le
martinet. Je le vis même une fois se saisir d'un morceau de câble
électrique
pour la frapper presqu'au sang. Les traces bleuissaient et
boursouflaient. Elle
était généralement le plus sévèrement fouettée dans la
cave afin de ne pas
ameuter les voisins. Elle décapait les parquets des deux
étages et les
escaliers, puis les frottait pour les lustrer. S'ils ne
brillaient pas assez,
elle devait se mettre toute nue, cul présenté en
levrette sur le lit de sa
chambre pour recevoir sa correction avec un fouet
très cinglant.
Un jour, en travaillant, Fabienne avait cassé une bretelle de son
soutien-gorge.
Ses seins sont extrêmement volumineux ; pour la punir, son
père lui fouetta les
seins à la badine, à genoux, mains dans le dos, épaules
tirées en arrière. Ses
nichons dansaient au rythme des coups. Ensuite, elle
dut se les saisir par
dessous et présenter ses larges aréoles aux pointes
saillantes pour qu'il
punisse les bouts.
Un soir, elle me dit qu'elle allait dans le garage pour fumer une
cigarette en
cachette. Son père arriva dans le garage et nous surprit. Pris
de colère contre
sa fille, il saisit une courroie d'alternateur sur une
étagère, lui ordonna de
se mettre à poil et cingla Fabienne qui s'écroula et
se tortilla sur le sol pour
essayer d' esquiver les coups qui lui hachaient
les fesses et les cuisses. Il
jeta ensuite la courroie sur son dos et
s'éloigna. Lorsque je m'approchais de
Fabienne, je remarquai un filet de
cyprine qui s'écoulait de son entrejambe, (
elle était en chemise de nuit,
sans culotte ). Alors je l'ai emmenée au lit et
lui ai dit de s'empaler sur
ma queue raide tout en regardant dans la glace son
gros cul marqué de rouge,
de bleu... Tandis qu'elle orgasmait, je l'entendis
remercier son père de
l'avoir si bien tannée, pour la punir de son vice, ce qui
me procura à mon
tour un violent orgasme.
Le dimanche, il lui arrive presqu'à chaque fois d'être fessée en famille.
Bien
entendu, c'est elle qui sert à table, et la plus petite faute de service
est
sanctionnée. Elle doit porter la courroie courte à son père, se
retrousser,
baisser sa culotte et venir s'allonger fesses hautes sur ses
genoux. Le
grand-père est très friand de voir sa petite fille se faire
fesser, mais aussi
ses cousins de 19 et de 25 ans qui rient et se moquent
d'elle et incitent le
père à continuer à la fesser . Les remarques
humiliantes fusent quand, couchée
en travers des cuisses de son père, elle
offre à tous les regards son gros cul
et sa vulve poilue.
Une autre fois, elle fut corrigée devant moi ainsi que devant son ex
petit
copain pour lui avoir parlé avec insolence. Fabienne fut priée de
baisser son
slip et de trousser sa jupe, puis son père prit un tabouret haut
au bar et elle
dut se cambrer dessus, ses pieds ne touchant plus le sol, elle
fut longuement
châtiée au martinet. Ses jambes battaient l'air en vain.
Ensuite elle dut
demander pardon à genoux.
Elle est régulièrement mise au
piquet dans le couloir de la porte d'entrée, les
fesses à l'air. Un jour, le
facteur est entré et s'est bien rincé l'œil à
lorgner les grosses fesses
rouge vif de Fabienne. Il a même fait des remarques
sur les bienfaits de ces
punitions. Un autre jour, son père a fait entrer un
couple de jeunes qui
faisaient du porte à porte, ils n'en croyaient pas leurs
yeux, devant le
formidable spectacle de cette jeune femme plantureuse, nez au
mur mains sur
la tête, exhibant une grosse paire de fesses fouettée de frais.
Une autre fois, elle répondit impoliment aux voisins. Son père la traîna
à la
cave, la fit mettre toute nue, lui ordonna de se plier en deux mains aux
genoux
et de bien présenter les fesses; puis, se saisissant d'un nerf de
boeuf, il lui
mit une danse à tout casser. Sa grosse lune en garda les
marques pendant une
semaine! Aujourd'hui, nous sommes mariés. elle est fessée
par moi, par mon frère, par son
beau père et même, pour l'humilier davantage
par des gens que nous avons
recrutés ailleurs.
Bref, elle est devenue, avec son accord total, une véritable esclave
domestique.
Elle dit que c'est bon pour son éducation, qu'elle aspire à
devenir parfaite,
qu'il faut encore augmenter le nombre et la sévérité de ses
séances de fessées.
Auteur:Inconnu