Nathalie
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Je t'envois ici le témoignage de ma première fessée. J'ai adoré ce moment
et
aimerais le partager avec d'autres adeptes de la fessée.
Salutations,
Nathalie
J'ai rencontré "Monsieur" le fesseur, après avoir échangé
plusieurs
mails afin de cerner le personnage. Un après-midi, j'ai séché mes
cours afin
d'aller le rejoindre dans la région de Genève. J'étais assez
nerveuse car la
situation était nouvelle pour moi et je me trouvais un peu
stupide d'aller chez
un homme pour recevoir une fessée. L'excitation était
presque insupportable
lorsque j'arrivai devant sa porte j'ai hésité à sonner.
Je l'ai frappée.
Un homme dans la cinquantaine, cheveux gris, assez grand et
plutôt sympathique
m'a ouvert. Il était tres charmant et poli afin de me
mettre a l'aise. On a
parlé d'un peu tout, de lui , de moi. A ce moment, il
me demande si j'ai pris
congé pour l'après-midi. Je lui ai répondu que
j'avais séché les cours. Il
trouva la une occasion pour me punir. Il me dit
séchement de me lever et
commenca a me sermonner. Je me sentais comme une
petite fille prise en faute par
son père. Il me demanda qu'elle était la
meilleure façon de me punir. Je
répondis timidement " une fessée ... ".
Le "jeu" avait commencé. Il m'emmena dans son bureau. Il pris une
des
chaises et s'assis dessus. Il tapota sur son genou droit pour me faire
signe d'y
prendre place. Comme je ne réagissais pas immédiatement il éleva la
voix.
- Viens ici tout de suite, sinon...
Ce dernier mot avait été
prononcé avec une telle sévérité que j'eus peur et me
résigna a me mettre en
position. Je me retrouvai alors sur les genoux d'un
presque parfait inconnu,
sachant très bien ce qui allai m'arriver. Il remonta ma
jupe et descendis ma
culotte d'un coup sec. J'eu a peine le temps de réaliser
que j'étais à moitié
nu devant lui que le premier coup cingla ma fesse droite.
Puis un second sur
le gauche. En saluant Monsieur, j'avais remarquée qu'il avait
des mains très
fines. Il était en train de me prouver le contraire. Lourdement
sa main
s'acharnait méthodiquement sur mes fesses. Elles commençaient a être
très
chaudes. J'essayais alors d'éviter les coups mais sans succès. Je sentais
les
larmes monter lors qu'il arrêta. Je pensais que c'étais fini et que
ca
n'avais pas été si terrible que ca.
- Va au coin, me dis Monsieur sur
un ton sec qui me fis sursauté.
- Et enlève ta jupe !!!
Tous mes complexes avaient disparus et je m'exécutais. Après un moment,
Monsieur
s'approcha de moi et me dis
- Tu as été une vilaine fille de
sécher tes cours et tu dois être sévèrement
punie pour cela.
A ce moment
je vis le battoir a tapis posé sur le canapé. Nous avions déjà parlé
de cet
outil, favori de sa mère et de ma grand-mère. Je dus allée me coucher
sur
l'accoudoir du fauteuil. Et attendre le premier coup.
- Tu vas
recevoir 20 coups pour chaque année de ta vie que tu as passée sans
vraie
discipline. Et tu vas compter chaque coup.
Vingt coups, je me disais que je
pourrais le supporter. C'étais sans compter
sur Monsieur.
Le premier coup me coupa presque le souffle, il était donné avec
élan
et une force qui me paraissait inhumaine. Les larmes coulaient déjà sur
mes
joues.
- Tu dois compter les coups, me rappela séchement
Monsieur.
-...un...
Le deuxième était de force égale.
- aie....
deux.
Le troisième me paru encore plus fort.
- ouch...trois. Je le
suppliai d'arrêter, c'était insupportable.
Mais il continua impitoyablement
jusqu'à vingt. J'eu l'impression que les coups
devenaient de plus en plus
fort. Je ne sais meme plus si j'ai vraiment compté
tous les coups car je
pleurais comme une gamine. Je dus retourner au coin pendant
un long moment.
Mes fesses me brulaient horriblement. Monsieur s'était installé
a son bureau
et me regardait ( à genoux avec les mains sur la tete ). Puis
il
m'appela.
- Est-ce que tu vas encore séché les cours ?
- ...
non...
- Non qui ?
- Non, Monsieur, je ne le ferais plus jamais. Je vous
le promets.
- Bien. Car si tu le fais tu seras punie de la meme
façon.
En rentrant chez moi, je me contortionnais dans le train car mes fesses
étaient
encore très douloureuses. J'avais l'impression que tout le monde
savait et me
regardait sadiquement.
Depuis ce jour, je vois Monsieur
toutes les semaines. Chaque mardi, je dois lui
présenter les séries
d'exercices que je dois faire pour certains cours. En
particulier, celles de
physique ou je ne suis pas très douée. En fonction de mes
résultats il décide
de la punition. Chaque semaine je suis punie avec un autre
instrument. J'ai
déjà eu droit au martinet , à la brosse à cheveux, à la
cravache, à la
strappe,...
Le pire fut la cane anglaise. Il me l'avait montrée un jour et dit
qu'il
attendrait une occasion spéciale pour m'y faire goutter. Cette occasion
arriva
lorsqu'un jour je ne rendis pas la série et ne put donc pas la lui
présentée la
semaine suivante. Il me réprimanda sévèrement et me promit 6
coups de canne, un
pour chaque exercice non fait. Je les recus penchée sur le
bureau. Après cela,
je compris vraiment pourquoi les anglais étaient des
gentlemen si ils y avaient
eu droit durant leur
enfance.
Auteur:Inconnu