J'ai vingt-six ans, je suis une brunette assez sexy. Il y a six mois j'ai rencontré Etienne. Je l'aime, il m'aime, nous nous aimons.

Seulement voilà, mon Étienne a des idées bien arrêtées sur la condition féminine. Oh, il n'est pas difficile, il ne demande que trois choses à une femme, obéir, obéir, obéir. Et en cas de désobéissance, la fessée ! Ce n'est pas de la théorie, je m'en suis vite aperçue en me retrouvant allongée sur ses genoux pour me faire claquer le derrière.

Je me suis habituée à la fessée, à aller au coin, à prendre des claques, ou à faire les courses avec sur les mollets les traces du martinet. j'ai accepté tout ça parce que j'aime Étienne, et aussi parce que finalement les puni-tions m'apportent des sensations étonnantes, mélange de honte et d'excitation. Il faut dire qu'après la punition Étienne me fait l'amour, avec toujours des sensations très fortes. Pour m'aider à accepter ses concep-tions Étienne m'a présentée à ses parents, Maurice et Cécile, eux aussi adeptes de la soumission féminine

Cécile m'apprend ce qu'une femme soumise doit savoir pour servir son mari et maître. Elle m'explique que la fessée régulière est indispensable à l'harmonie conjugale, qu'elle doit à chacune de ses fautes baisser sa culotte, lever ses jupes et venir s'allonger sur les genoux de son mari pour se faire longuement claquer les fesses, puis consigner sa faute pour la grande correction hebdomadaire. Elle est très gentille, je m'entends bien avec elle.

Donc, je savais que Cécile était aussi soumise au régime des punitions corpo-relles. Il y a 15 jours j'ai assisté à une séance. Cécile a comparu devant nous en sous-vêtements, sans chaussures, mains sur la nuque, exhibant ses dessous de bras poilus. A 47 ans, Cécile est une belle femme bien en chair. Quelle humiliation pour elle de se montrer comme ça devant son fils et sa belle-fille. Maurice lui a dit d'approcher, il a pris sa culotte aux hanches et d'un geste sec il l'a des-cendue à mi- cuisses. "Avec la chatte à l'air tu entendras mieux ce que j'ai à te dire!" s'est- il exclamé.

Rouge de honte Cécile a écouté l'énumération de ses fautes de la semaine. J'étais fascinée, je regardais le sexe très poilu de Cécile, je m'imaginais à sa place. Gênée par sa culotte baissée Cécile est allée se mettre en position de fessée, appuyée au dossier d'une chaise, son plantureux derrière blanc offert dans son plus ample développement. Mau-rice a pris une large ceinture très épaisse. Il n'y allait pas de main morte, à chaque coup Cécile sursautait (et moi aussi) ses grosses fesses sont devenues toutes rouges, elle gémissait et criait.

Qu'est-ce qu'elle a pris ! Rien à voir avec les petites fessées d' Etienne! je la plaignais et je l'enviais en même temps. La correction terminée elle est reve-nue devant nous, empêtrée dans sa culotte tombée aux chevilles. En pleurni-chant elle a demandé pardon à genoux et promis de .faire des efforts la semaine prochaine. La voir s'humilier comme ça m'a provoqué des frissons. Au fond de moi, j'espère que je serai bientôt aussi sévèrement traitée qu'elle.

Auteur:Inconnu