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Charlotte
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La petite vicieuse sait que nous ne pouvons pas nous passer de la punir.
Sa
revanche, c'est de nous faire lanterner avant de commettre la bêtise qui
nous
permettra de sévir. Quelquefois d'un air faussement ingénu, elle feint
de
s'étonner qu'on lui baisse la culotte pour des broutilles, par ce
comportement, elle nous signifie qu'elle n'est pas dupe du plaisir que nous
prenons à la fesser et que finalement nous sommes devenus les esclaves de
notre passion.
Oui, en fin de compte nous dépendons de son bon vouloir, c'est
elle-même qui décide du moment et du lieu où elle daignera commettre la
bêtise qui pour nous sera le prétexte de la corriger. Que ce soit en privé
où
en public, la petite rouée dirige le jeu ? Un jeu pervers et très
excitant où
elle met en scène l'endroit le plus important de sa petite
personne. Celui
qu'elle sait qu'il nous fascine et nous obsède intensément,
son affriolant
et copieux derrière, qui est l'objet de toutes nos
convoitises ! Sournoisement
elle nous amène à un degré d'avilissement tel,
que nous la poussons à faire
des sottises. Pour pouvoir enfin assouvir notre
désir, celui de lui flanquer
une bonne fessée. Alors avec son petit air
hypocrite qui nous horripile,
tant elle nous lance " je suppose que pour
cette fredaine sans importance,
vous allez me faire pan-pan cucu et que je
devrai baisser ma culotte devant
tout le monde ? "
Alors, elle prend une attitude faussement contrite qui nous mets dans une
situation trouble et équivoque. Son comportement nous indique qu'elle n'est
pas naïve et que si elle condescend à se déculotter afin qu'on lui donne la
fessée en public. C'est qu'elle le veut bien et pour nous faire plaisir car
cette peccadille ne méritait, certes pas, une telle punition. En revanche,
elle attend en retour une récompense ou un cadeau. Elle sait qu'elle peut se
le permettre, car elle connaît l'attrait qu'exerce sa prodigieuse lune sur
nous, et la fébrilité qui nous donnent des fourmis dans les
mains.
Quand on sent que le moment est arrivé et qu'on va pouvoir enfin la
coucher sur nos
genoux, lui relever sa jupette, baisser sa culotte et lui
administrer la
correction tellement désirée. Nous brûlons d'impatience et
d'énervement, notre
agitation devient extrême et finit par se communiquer Ã
la gamine. Celle-ci
sent qu'elle ne peut plus reculer l'échéance et
l'excitation la gagne, la
sanction imminente l'enivre, elle titube sous la
vision qu'elle a d'elle-même
s'imaginant déjà dans la position disciplinaire
que la fessée impose. Elle
sent à l'avance les claques s'abattre sur son
gros joufflu, et un délicieux
trouble
l'envahit.
Auteur:Inconnu