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Fessée anglaise
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J'avais 11 ans et cela s'est passé dans les années 71 en Angleterre. Les fessées, je connaissais par celles que mon père me donnait. Mais là , j’étais en Angleterre pendant deux ans dans une famille anglaise. Eux avaient trois garçons, un de mon âge, un de 15 ans et le dernier 17 ans. Je voyais que le père n était pas un tendre, car souvent, quand l'un des enfants commettait une bêtise, une fessée déculottée tombait, le puni était fessé cul nu devant tout le monde. Moi je me disais qu’une chose comme celle-là ne m’arriverait jamais, car ce n était pas mon père. Mais un jour, ce qui devait arriver arriva. Un jour, à court d’argent et devant sortir avec des copains, je sus où il mettaient leurs économies et l’envie me prit de voler. Mais hélas pour moi, le père s’en rendit compte le soir-même. Il interrogea ses enfants puis moi. Au début, je mentis, mais le soir nous étions tous fouillés et là le père s’aperçut de mon mensonge. Il m’a dit d'aller en chambre et que le lendemain, nous partirons voir le directeur de l’association pour m’expliquer. Là , je commençais à craindre le pire. Le lendemain nous partîmes et après une demi-heure de discussion, le directeur m’appela. Voilà mon petit, me dit-il, tu as le choix entre deux solutions : Il est prêt à te garder, mais à une condition : il te reste encore huit mois chez eux, si tu accepte qu’il te punisse de la même façon que ses propre enfants Sinon tu rentres chez toi. J’avais cinq minutes pour réfléchir, mais voulais tellement rester, que je pris la première solution. On me traduisait que pour chaque bêtise, je serai fessé à la façon anglaise. Et que j’allais tout de suite comprendre. Nous rentrions à la maison et le père me fit monter dans la chambre. Là , il pris un martinet qui pendait toujours à l’entrée, il me fit allongé sur le lit, me déculotta et me fila une bonne vingtaine de coups de martinet. Je gigotais, pleurais, mais n’alla pas jusqu’à vingt. La suite étais plus cruelle : il me fit descendre cul nu avec mes fesses cuisantes et me mit au coin. Et demi-heure après je reçus une autre fessée devant tout le monde. Cette fessée ne fut pas la seule et déclencha très certainement mon goût pour la fessée.
Auteur:Inconnu