La fessée de Guénaël
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C’était pendant les vacances, je devais avoir 4 ans et ma sœur 9 ans. Ce
jour là avec ma sœur on était allé dans le bureau de mon père, et on s’amusait à
découper les expertises de mon père, on ne pensait pas recevoir une punition
sévère car d’habitude on recevait quelques gifles et c’est tout.
Quand mon
père a découvert le carnage il est rentré dans une rage folle, on ne savait pas
encore quelle punition on allait recevoir, mais cette punition allait être forte
et méritée.
Il décida de nous donné à chacun une bonne fessée, comme le
faisait son père en son temps, ma mère lui demanda de ne pas y aller trop
fort.
Ce fut d’abord à ma sœur de recevoir la punition, cela se passait dans
la chambre à coucher, je devais y assister pour voir ce que j’allais prendre et
pour m’en souvenir.
Mon père dit a ma sœur de venir s’allonger sur ces genoux, il lui souleva
sa jupe, et dit qu’une fessée cela se donne déculotté, il fit glisser la culotte
de ma sœur le long de ces jambes puis commença la fessée.
Une première claque
s’abattit sur les fesses de ma sœur, puis une autre sur l’autre fesse et ainsi
de suite. Les claques étaient si fortes que ma sœur ne tarda pas à avoir le cul
d’une belle couleur rouge, ma sœur essayait de se débattre mais mon père la
tenait fortement, elle pleurait et suppliait mon père d’arrêter mais mon père
continuait.
Ma sœur reçu une bonne vingtaine de claques avant que mon père arrête la
punition.
Puis il me dit de venir se coucher sur ces genoux, il fit descendre
mon pantalon, puis fit glisser ma culotte, je me retrouvais alors cul nu, comme
ma sœur auparavant, la première claque s’abattit sur mes fesses nues, puis une
seconde, rapidement, j’avais les fesses en feu, je commençait à crier, je ne
pensais pas qu’une fessée pouvait faire si mal.
Je me débattait dans tout les
sens mais mon père me tenait fermement, et disait cela ne sert à rien de gigoter
ta punition n’est pas finit.
Clac ! Clac ! Clac ! Clac ! mes fesses étaient sévèrement
corrigés.
J’avais l’impression que la fessée n’en finissait pas, mais au bout
d’une vingtaines de claques. Notre père dit que cela nous servira de
leçon.
Après nous sommes allés dans notre chambre sans pouvoir nous asseoir
jusqu’à la fin de la journée.
Ce fut ma première et dernière fessée depuis
j’ai une attirance pour la fessée.
Auteur:Inconnu