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Ann Cumming's College (6)
Chapitre 6
Ma première année scolaire s’étant terminée, je profitais de mes vacances pour visiter l’Angleterre en vélo. A la rentrée suivante, la directrice me proposa de l’aider pour divers travaux administratifs comme les lettres aux parents ou le courrier aux administrations, ce que je m’empressais d’accepter, car ainsi, cela me faisait un peu plus d’argent. Toute l’année 1950-1951, je me rendais le soir vers 17 heures et le week-end pour travailler dans le bureau de la directrice. Le travail était fastidieux, mais il me permettait d’assister aux punitions que la directrice administrait dans son bureau à 18 heures. Elle me permit certaines fois de les donner à sa place. Vers la fin de l’année scolaire, elle me demanda à plusieurs reprises si je me plaisais bien, si j’étais contente, si j’avais l’intention de rester encore plusieurs années au collège et je lui répondais affirmativement sans savoir ce qu’elle préparait. Je le découvris comme tout le monde le jour de la remise des prix quand s’adressant aux parents, élèves et professeur, elle déclara... et pour finir ce discours, Mesdames, Messieurs, je suis au regret de vous annoncer mon départ de la direction de notre cher collège, en effet j’ai reçu une proposition pour diriger le collège Sainte-Mary à Londres (la stupeur régnait dans la salle) et comme je souhaite que nos principes d’éducation perdurent, j’ai proposé au conseil d’administration qui l’a accepté la nomination de Melle Catherine S... comme directrice ! Elle la fit avancer sous les applaudissements de la salle - Avec Catherine qui me seconde depuis plus de 12ans, j’en suis sûre, vos enfants ne trouveront pas de changement dans nos méthodes d’enseignement et de discipline. Du fait de cette nomination, je vous présente Victoria, venez Mademoiselle, qui sera le nouveau professeur d’enseignement ménager (en fait, cette matière regroupait tout ce qu’une jeune fille de bonne famille devait savoir, des domestiques à comment organiser une réception). Elle était dans la salle et monta sur l’estrade, elle devait avoir une quarantaine d’année, un petit peu boulotte et se mit à coté de Catherine. - Concernant le poste de responsable des professeurs, j’ai demandé au conseil d’administration de nommer Mademoiselle Isabelle C... Je sais que cela vous surprendra en raison de sa jeunesse, mais je pense que son énergie, ses compétences et sa bonne humeur en feront une excellente responsable, et je peux vous dire que concernant la discipline vos filles savent mieux que personne qu’elle est rigoureuse, venez Isabelle. Je me levais, rouge comme un coquelicot, j’étais tellement abasourdie par cette annonce, je vins à coté de la directrice pour saluer la salle. Le soir même le collège se vida et nous restâmes plus que quatre, la directrice, Catherine, ma petite Mary et moi. Il fallait finir le rangement des dossiers, et préparer la prochaine rentrée. Nous avons mis une semaine pour le faire. Le dernier soir avant notre départ, la directrice nous a réuni dans son appartement, où je mettais les pieds pour la première fois et elle nous avait fait préparer par la cuisinière un repas pour toutes les trois. Après ce bon dîner qu’elle avait bien arrosé, elle me demanda d’aller chercher Mary à la lingerie, je m’y rendis et lui demandais de monter. Elles nous attendaient avec un verre de liqueur à la main. - Mary, avant de partir et comme je suis directrice jusqu'à minuit ce soir et il n’est que 23h, je voudrais vous remettre de la part du Comité d’administration et de la mienne, un petit cadeau. Elle lui montra une valise. Mary l’ouvrit - Ho Madame Il y avait deux robes, deux jupes, des sous-vêtements, deux paires de chaussures, un maillot de bain, un short, trois chemisiers, une robe de chambre, une chemise de nuit, une trousse de toilette et diverses choses. - C’est trop beau Madame, pourquoi ? - Pour votre excellent travail depuis six ans. Je sais que vous partez avec Isabelle en vacances dans sa famille, il faut que vous fassiez honneur à l’Angleterre. A ce sujet, comme je pars moi-même dans la région de Toulouse chez mes amis, et que je prends le bateau jusqu'à Bordeaux, je vous ai pris deux tickets, nous partagerons la même cabine en nous serrant un petit peu, comme cela vous ne mettrez que deux jours avec le bateau au lieu de quatre avec le bateau pour Le Havre, le train et vous n'aurez pas à payer l’hôtel. Nous la regardions stupéfaites, elle si rigide, si dur et qui nous proposait cela - Merci Madame - Bien, elle regarda sa montre, je suis encore directrice pendant 30 minutes, juste le temps de punir deux dévergondées qui se livrent à des ébats amoureux depuis deux ans sous le toit de cette école. Qu’en pensez vous Mesdemoiselles ? Nous la regardions étonnée. - Vous ne pensiez pas que je ne m’en étais pas rendue compte. - Oui c’est vrai Madame, nous avouons que nous aimons bien nous retrouver et dormir dans le même lit et... nous donner du plaisir. - Bien, faute avouée et à moitié pardonnée. Veuillez vous préparer. - Comment voulez vous que nous nous mettions ? - Vous devez le savoir. Je comprenais qu’elle avait envie de se donner un dernier petit plaisir, nous enlevâmes nos jupes puis nos chemisiers... - Pourquoi vous arrêter, Mesdemoiselles ? Cela me gênait un peu de continuer à me déshabiller, car Catherine ne m ‘avait jamais vu nue, mais j’enlevais mon soutien-gorge et ma culotte, Mary en faisant autant. Nous étions nues les mains dans le dos. - Ne sont-elles pas mignonnes ainsi, regarde autant l’une est blonde que l’autre est brune, d’ailleurs vous ne devriez pas garder une toison aussi fournie, Isabelle. Je rougis. Elle installèrent deux chaises, l’une en face de l’autre. - Catherine occupez vous d’Isabelle que vous n’avez jamais fessé, et moi je vais m’occuper de Mary, cela fait deux ans que je ne me suis pas occupée d’elle. Nous nous allongeâmes et les claques commencèrent à pleuvoir sur nos deux fessiers et installées comme nous l’étions, j’avais les fesses de Mary juste sous mes yeux et je le voyais rougir petit à petit CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! Mes fesses commençaient à me brûler car elles s’en donnaient à cœur joie, on pouvait pensait qu’elles faisaient le concours de la meilleure fesseuse CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! Je bougeais maintenant dans tous les sens et je voyais Mary qui en faisait autant et je voyais quelques larmes perler sur son visage CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! Elles s’arrêtèrent, je sentis la main de Catherine caresser mes fesses, la directrice en faisait de même pour Mary puis je sentis un doigt descendre le long de mes fesses et remonter le long de ma fente puis revenir vers mon sexe - Madame la mienne est trempée - Catherine je t’en prie j’ai honte... - Mary est aussi trempée, j’ai rarement vu cela, jouir à ce point sous la fessée, c’est honteux, levez-vous et mettez-vous à quatre pattes sur le divan. Mes joues étaient aussi rouges que mes fesses être exposée ainsi - Ecartez les jambes, quelle vision Catherine. Nous étions l’une à côté de l’autre. Soudain... SLACK ! - Aiiiiiiiiiiiiiiie Nous avions crié en même temps quand les deux canes s’abattirent sur nos fesses et sans nous laisser le temps de respirer... SLACK ! SLACK ! - Nooooooon... pitié, Nooooon ! Nous attendions le coup suivant, mais c’est leurs mains qui caressèrent nos fesses et descendant, leurs doigts passèrent à travers nos toisons pour atteindre nos vulves poisseuses, Catherine ayant trouvé mon petit bouton le serra doucement entre ses doigts - Arrête..., je t’en prie... noooon continue... Je ne savais plus où j’étais, puis je sentis quelque chose dur à l’entrée de mon sexe, la directrice avait pris ses deux olisbos et Catherine en introduisais un dans mon sexe - Ahhhhhhhhhh - C’est incroyable, ça rentre comme dans du beurre. Je sentais monter en moi une chaleur incroyable Catherine allait de plus en plus vite et je haletais de plus en plus alors que Mary poussait des petits cris - Ouuuuuui Cath..erine... ouuuuui plus... vi... ahhhhhhhhhhh ouuuuui... J’explosais juste avant Mary - AHHHHHHHHHH... OUUUUUUUUUUI. Je retombais inerte sur le divan, je sentis la main de Mary se poser sur la mienne, nous ne bougions plus. Au bout d’un moment, je me retournais, elles avaient disparu, je me levais et regardais mes fesses dans la glace, elles étaient rubicondes et on voyait très nettement les trois sillons, j’étais sure de les garder au moins une semaine, elles n’y étaient pas allées de main morte, mais où étaient elles ? Je m’approchais de la chambre de la directrice, il y avait juste une petite lumière et je les vis sur le lit, nues en position soixante-neuf, j’allais chercher Mary puis nous entrâmes dans la chambre, nous nous approchâmes du lit commençâmes à les caresser ce qui les surpris d’abord, puis elles se laissèrent faire. Je passais ma main sur ses seins pinçant légèrement ses tétons puis je faisais courir sur son ventre puis sur ses cuisses descendant jusqu’aux genoux puis je remontais pour atteindre sa toison, mais là une surprise m’attendait car elle était entièrement épilée, je glissais 2 doigts dans son sexe puis je titillais son clitoris, je sentis ses muscles se raidir, Mary en faisait autant avec la directrice, j’appuyais sur son bouton et je sentais qu’elle allait bientôt jouir, je le prenais entre mes doigts et serrais doucement, elle poussa un grand cri et retomba, je continuais à la caresser doucement, elle passa sa main dans mon dos, ce qui me fis passer des frissons dans tout le corps puis la directrice jouit à son tour. - Merci les filles, vous avez été merveilleuses. Nous étions allongées sur le lit toutes les quatre discutant en nous caressant, la directrice me parlant de mon rôle à venir, la confection des horaires, les bulletins de notes, de l’aide que je devais apporter à Catherine. - Madame... - Appelles-moi Susan et tutoies-moi, il est plus de minuit et je ne suis plus directrice, je ne fais plus partie du collège. - Susan, une directrice ne peux jamais être punie ? - Uniquement dans des cas très graves et afin que cela reste secret, c’est toi qui devras le faire, mais ne rêves pas ... - Susan, juste un exemple, que devrais je faire si un jour je surprends une personne extérieure à l’école sortir au petit matin de sa chambre ? - Si tu estimes que cela pourrait troubler ou choquer une élève qui pourrait la rencontrer en repartant, mais je la sais trop finaude pour se faire prendre, tu devras lui faire remarquer qu’elle transgresse le règlement et comme elle est très respectueuse de la discipline, elle acceptera sûrement d’être punie. Tu demanderas ensuite à l’autre personne si elle préfère être remise à la police ou recevoir la même puni... Elle s’interrompit et me regarda, mes yeux brillaient - Petite vicieuse ! Puis se tournant vers Catherine - J’ai bien peur que cette demoiselle ne nous ait fait trop parler et moi qui lui ai dit je ne faisais plus partie du collège, elle a l’air encore plus finaude que toi. Je ne pense pas me tromper en disant que nous allons aller nous coucher avec les fesses brûlantes, quand le vin est tiré il faut le boire. - Voilà où tu voulais en venir, avec tes questions ! Susan se leva et me dit très théâtralement. - Mademoiselle je préfère la punition à la police - Bien, Susan, allongez vous sur le lit, Mary mets toi de l’autre coté, nous allons la fesser ensemble. Catherine, tenez la au niveau des reins, et nous la fessâmes tapant chacune sur une fesse CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! Je dois avouer que nous y allions de bon cœur toutes les deux et elle gigotait vraiment beaucoup mais pas un mot ne sortit de sa bouche car elle était fière mais ses yeux la trahissaient et elle les essuya à plusieurs reprises CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC !CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! - Arrêtons Isabelle car tu n’auras plus de force pour fesser la nouvelle directrice, car je ne peux pas t’aider, il ne serait pas correct que la lingère de l’école fesse la directrice. - Tu as raison Mary, mais….j’ai mal à la main...- Avec la fessée que je viens de recevoir, je veux bien te croire, tiens fesse la donc avec cela Susan me tendit une brosse à cheveux en bois ronde, assez large et plate Catherine s’allongea sur le lit, et Susan posa ses mains sur ses reins, autant cette dernière avait des petites fesses assez dures, autant Catherine avait un fessier très épanoui. Je débutais la claquée en tapant de haut en bas sur une fesse puis l’autre PAF ! PAF ! PAF ! PAF ! PAF ! PAF ! PAF ! PAF ! PAF ! PAF ! PAF ! PAF ! PAF ! PAF ! PAF ! PAF ! Catherine envoyait ses jambes dans tous les sens, Susan avait beaucoup de mal à la maintenir, elle poussait maintenant des petits cris PAF !aie PAF ! ouille PAF ! hou PAF !aie PAF ! aie PAF ! ouille PAF ! elle bougeait tellement qu’un des coups atterrit sur son sexe PAF !ahhhhhhhh - Madame la directrice tu me déçois beaucoup, ne t’ai je pas appris à rester digne dans toutes les circonstances - Ou...ii Susan... mais je... PAF ! PAF ! PAF ! N’ai... plus... l’habitude PAF ! PAF ! PAF ! PAF ! Je m’arrêtais, elle se releva et dansa sur place en se massant les fesses - Mesdames, veuillez vous mettre à quatre pattes sur le lit. Mary, veux-tu bien aller cherchez les deux deux canes s’il te plait. - Ho isabelle je t’en prie... - Catherine de la dignité je t’ai dit, nous méritons effectivement de recevoir la cane, comme elles l’ont reçue tout à l’heure, je dois dire que cela fait quinze ans que je n’avais pas eu le droit à la fessée et à la cane, c’était du temps où Sue était directrice. Je me mis à coté de Catherine, et Mary derrière Susan et nous avons abattu nos canes en même temps SLACK ! SLACK ! ... Ahhhhhhh SLACK ! SLACK ! ... Ahhhhhhhhhhh SLACK ! SLACK ! ... Ahhhhhhhhhhh aiiiiiiiiiie - Voilà, trois coups comme nous. Susan, merci de rester en place car depuis deux ans et cette horloge que tu avais avancée, nous sommes en compte, n’est ce pas ? - Ho Isabelle... oui tu as raison mais ne soit pas trop dure. Je fis le tour du lit, je prenais mon élan, je ne voulais lui donner qu’un coup mais un bon SLAAACCCK ! AhhhhhhhhhOuuuuuuuuuh - Mer... ci, mais tu as été méchante. Catherine, si elle donne la canne comme cela, tes élèves vont la redouter. - Remettez vous à quatre pattes ! - Non ça suffit - Taisez vous ! Je passais ma main sur les fesses et les cuisses de Catherine et j’arrivais à son sexe imberbe, cela me fit tout drôle, placée derrière elle, je voyais très nettement la barre rose au milieu de cette blancheur, je passais délicatement dessus, puis y entrais mon doigt, elle eut un sursaut, je tournais à l’intérieur de son ventre puis remontais à son bouton. - Qui parlait de chattes baveuses tout à l’heure, à vos âges vous devriez avoir honte. Je pris l’olisbos qui se trouvais sur la table et l’enfonçais doucement mais profondément en elle, elle gémit puis me demanda de se mettre sur le dos, ce qu'elle fit tout en le gardant en elle, je continuais mon mouvement de va et vient et avec l’autre main, je titillais son bouton, je sentais son corps bouger et sa respiration s’accélérer, elle poussait de petits cris alors qu’à côté, Susan prenait son plaisir plus discrètement, quand Mary accéléra elle joui en poussant un énorme cri qui nous surprit toutes puis Catherine se donna à son tour. Je laissais, l’olisbos dans son sexe pendant une minute puis le retirais doucement, elle me prit alors dans ses bras et m’embrassa goulûment. Nous restâmes ainsi, nous endormant immédiatement. Ce fut Mary qui nous réveilla en sursaut - Il est cinq heures et mon père vient nous chercher dans une heure pour nous emmener au bateau. Nous nous sommes toutes levées d’un bond pour aller faire nos valises et une heure plus tard nous étions sur le perron quand son père est arrivé avec la voiture. Nous avons embrassée Catherine et nous sommes parties pour Southampton où nous prenions le bateau. Nous sommes arrivées le lendemain soir vers 17 heures à Bordeaux et je dois avouer que nous n’avions pas beaucoup dormi et que Susan à une technique de langue extraordinaire. Elle a voulu nous dire au revoir dans la cabine, car elle n’aime pas les adieux, elle avait les larmes aux yeux, ce qui nous surprit quand on connaissait sa froideur. Elle m’offrit le plus petit de ses deux olisbos en me disant que je saurais quoi en faire, ce qui fait qu’à la fin nous pleurions toutes les trois. Mon père nous attendait et nous sommes partis pour Arcachon où nous habitions, les vacances commençaient...
Auteur:Albert