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Ann Cummings' college (4)
Chapitre 4
La lingerie
était composée d’une buanderie où Mary et ses 2 aides lavaient le linge et d’une
très grande pièce où on l’étendait et c’est dans celle-ci que Mary avait obtenue
de la directrice de pouvoir y mettre un lit , ce qui lui permettait d’y dormir
au chaud l’hiver, car cette pièce était toujours chauffée pour faire sécher le
linge plus vite et au fil des années elle avait fait de cet endroit sa chambre
avec un grand lit, une armoire une table et même un miroir.
Mary s’allongea et je commençais à lui mettre la pommade sur chacune des
marques, cela la faisait souffrir, mais elle ne disait rien. Puis elle se
leva.
- A ton tour Andrews, vas-y Isabelle, fais comme pour moi.
- Mais...
mais... non fais-le toi !
- N’est pas peur, il ne te mangera pas !
Je
passais ma main sur ses fesses en tremblant. C’étais la première fois que je
touchais les fesses d’un homme.
- Tu as les mains très douces, sais-tu
?
Je rougis, et continuais à masser ces fesses barrées de 6 traits, il avait
l’air d’apprécier. Pendant ce temps Mary avait commencé à me caresser les jambes
et remontait de plus en plus, je sentais ses mains sur l’intérieur de mes
cuisses, j’avais de plus en plus de mal à me concentrer sur les fesses
d’Andrews. Quand sa main arriva à mon sexe, je n’avais pas mis de culotte au
moment où je m’étais changée, Mary poussa un cri.
- Ha ! ! Andrews, devine !
Isabelle ne porte pas de culotte.
Elle se leva, mit ses poings sur ses
hanches.
- Melle Isabelle, je vous croyais à cheval sur le règlement, qu’est
ce que cela veut dire ?
Je ris, mais elle m’arrêta.
- Mais je ne plaisante
pas, que dirait la directrice si elle le savait ?
Je vis à sa tête qu’elle
était sérieuse et je compris en un instant où elle voulait en venir, elle avait
trouvé le moyen de me rendre la monnaie de ma pièce. Et puis finalement ne
méritais-je pas aussi d’être punie pour avoir été aussi intransigeante mais je
ne devais pas le laisser paraître…
- Mais ma chérie, ce n’est rien, nous
sommes seuls…
- Ce n’est pas une raison, qu’en penses-tu Andrews ?
- Je
suis d’accord avec toi, d’ailleurs, il suffit de lire ce règlement dont nous a
parlé Isabelle tout à l’heure et nous saurons ce qu’il faut
faire.
Je sentis que j’étais coincée et que je n’allais pas couper à une
punition, alors je lançais d’une voix que j’aurais voulue plus ferme.
- Vous
avez raison, je n’ai pas respecté le règlement.
- Bien puisque tu le
reconnais, dis-nous quelle doit être ta punition.
- Je... ne me rappelle pas,
je crois que c’est 6 coups de cane ?
- C’est cela, 6 coups de cane, mais
donnés comment ?
- Heu... Heu...sur le cheval !
- Bien mais encore ?
-
... Fesses nues... bien sûr !
- Si tu continues, tu vas avoir un
supplément.
- En..tière... ment... ho... non... nue
Je me cachais le
visage dans les mains.
- Acceptes-tu ?
- ......
- Qui ne dit mot
consent, c’est vrai qu’elle le connaît par cœur ce règlement. Si tu es d’accord,
Andrew, nous n’allons pas retourner dans la salle de punition et la punir
ici.
- Je n’y vois pas d’inconvénients, mais tu n’as pas de cane ici.
- Je
crois qu’il ne faut pas être trop sévère avec elle. Nous n’avons reçu que 6
coups de cane au lieu de 12, donc je te propose une très, très bonne fessée,
qu’en penses-tu, Andrews ?
- Je suis d’accord !
- Je vous remercie tous
les deux.
- Attends la fin pour le faire, allez mets-toi en tenue, si je puis
dire.
- Tu veux... que...
- Comme moi tout à l’heure, allez enlève ta robe
!
Voyant que je ne pouvais pas discuter, je me baissais, prenais ma robe à
deux mains et commençais à la relever doucement, essayant de tourner le dos à
Andrews
- Face à nous s’il te plait !
- Je me retournais et la remontais
découvrant ma toison.
Andrews siffla.
Je laissais retomber la robe et me
prenais la tête dans les mains.
- Ca suffit maintenant, ou tu te mets nue ou
nous allons dans la salle de punition.
Je pris ma robe et la fit passer
par-dessus ma tête, j’étais nue devant un homme, j’avais honte.
- Et en plus
pas de soutien-gorge non plus, bravo ! Andrews, mets-toi sur la chaise et
Isabelle allonge-toi sur ses genoux.
- Tu..tu veux que ça soit lui qui … qui
me…
- Oui c’est lui qui va te fesser, allez en position !
Résignée, je m’allongeais sur ses genoux, posais mes mains par terre,
attendant la première claque.
CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC
! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC !
Il tapait avec méthode sur l’ensemble de
mes fesses qui commençaient à chauffer.
CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC !
CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC !
CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC !
Je recevais une fessée donnée par un homme et la
différence avec celle de la directrice était grande, les mains étaient plus
larges et tapaient beaucoup plus fort, j’avais l’impression de recevoir le
paddle. Je bougeais ou plutôt j’essayais de bouger mais il me tenait fermement,
j’essayais alors de ramener une de mes mains mais Mary se mit devant moi et me
les prit, je pleurais et les larmes coulaient sur mes joues CLAC ! CLAC ! CLAC !
CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC !
CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC !
Maintenant je sanglotais,
mes fesses étaient un véritable brasier et il continuait comme un métronome à
assener de grandes claques qui de temps en temps tombaient sur le haut de mes
cuisses et me faisaient hurler CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC !
CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! je n’en pouvais plus.
- Je vous en supplie, arrêtez, cela fait trop mal, je ne vais pas pouvoir
m’asseoir pendant plusieurs jours, Mary ! je t’en prie...
Je ne sais pas si c’est à cause de ce que je venais de dire mais il
accéléra, je me débattais si fort que Mary lâcha mes mains
CLACLACCLACLACCLACLACCLACLAC CLACLACCLACLACCLACLACCLACLACCLACLACCLACLAC
CLACLACCLACLAC
- Arrêtez !!! Marrrrry !!! je t’en prie !!! ouiiiiiiile !!!
stooooop !!! haaaaaaa !!!
- Arrêtes, Andrews je crois que cela suffit !
Je
restais sur ses genoux les bras ballants, je ne sentais plus mes fesses
tellement elles étaient chaudes et me faisaient mal, elles devaient être bleues
mais je sentais aussi sous mon ventre le sexe d’Andrews dur comme du bois, ce
qui me troubla énormément.
Mary m’aida à me relever, je grelottais comme si
j’avais froid, mais en fait, je brûlais, elle m’allongea sur le lit et très
délicatement commença à me pommader les fesses, et elle mit beaucoup de cette
crème miraculeuse. Je continuais à pleurer doucement.
Pendant ce temps là,
très délicatement, Andrews, me caressait les jambes les cuisses et passait son
doigt sur mon sexe, j’avais honte car je sentais bien que celui-ci était mouillé
comme jamais il ne l’avait été et je comprenais mieux ce que me disais Mary
concernant la fessée et les sensations que cela lui donnait. Je m’apaisais et
une douce chaleur me prenait le ventre.
Maintenant ils me caressaient tous
les deux de la nuque aux orteils.
- Isabelle, ma chérie, je vais t’apprendre
quelque chose, lèves toi !
Je le fis avec difficultés.
Andrews se mis sur
le dos.
- Isabelle, je vais te faire voir comment on doit s’occuper d’un
homme.
- Non, je n’oserais pas !
- Ecoute moi et fais ce que je te dis, tu
prends le sexe avec ta main.
J’avançais celle-ci mais n’y arrivais pas, alors elle la prit et me fit
pendre le sexe puis elle m’expliqua que l’on devait monter et descendre puis me
dit.
- Apres tu pose ta langue sur le gland et tu le suce comme une
glace.
- Non je ne pourrais pas c’est dégouttant !
Elle prit ma tête et la
fit descendre vers le sexe.
- Allez fais le doucement, vas-y, voilà c’est
bien, maintenant lèche de haut en bas et aussi en dessous, oui là, les bourses,
bien tu es une bonne élève, maintenant remonte et prend le gland entièrement
dans ta bouche, c’est très bien, regarde Andrews apprécie.
Effectivement, sa
respiration devenait haletante, et son visage avait rougi.
Mary me fit
allonger, ce que je fis doucement car mes fesses étaient encore brûlantes.
-
Puis elle me fit écarter les cuisses et Andrews commença à me lécher le sexe et
particulièrement mon clitoris, je sentais le désir monter en moi. Mary
s’approcha de mon oreille et me chuchota :
- Mon amour, veux tu qu’Andrews
fasse de toi une vraie femme ?
- Tu... veux... dire... me... dépuceler
?
- Oui, c’est cela.
- Mais cela... doit faire mal ?
- Non, il a été
très doux avec moi.
- Tu me le promets ?
- Oui je te le promets !
-
Alors je veux bien.
- Tu va donc de nouveau t’occuper de son sexe pour qu’il
soit bien dur.
- Oui !
Il se leva et vint vers moi, je pris son sexe et très rapidement il se
redressa. Mary, elle me titillait le clitoris avec son doigt
- Oui Mary c’est
bon je sens que je vais jouir ahhhhh ouuuui je sentais le plaisir arriver.
Je
fermais les yeux, Andrews se mis entre mes cuisses alors que Mary continuais de
me caressais et au moment où elle vit que l’orgasme allait me sumerger, elle fit
signe à Andrews de me pénétrer, ce qu’il fit, je ressentis bien une petite
douleur mais que je mis sur le compte du plaisir. Il resta ainsi sans bouger,
puis il débuta un va et vient très lent, et c’est à ce moment là que je me
rendis compte que je n’étais plus vierge. Il continua ainsi pendant que Mary
caressait et léchait mes seins, puis il accéléra, je hurlais ma jouissance et je
sentis un liquide jaillir au fond de mon ventre. Il se retira de moi, Mary vint
délicatement essuyait mon sexe, j’avais l’impression de flotter. Je m’endormis
presque aussitôt.Le lendemain matin je me réveillais entre Andrews et Mary, nous
étions nus tous les trois, je me mis sur le ventre et avec ma main droite je
m’occupais du sexe d’Andrews et de ma main gauche celui de Mary, petit à petit
son sexe se redressa, je lâchais Mary et commençais à sucer Andrews, je sentis
sa main se poser sur ma tête, il me regardais en souriant puis au bout d’un
moment je m’arrêtais, retournant vers Mary, puis, je lui demandais de se lever
et de s’enfoncer en elle. Petit à petit Mary émergea de son sommeil, je
l’embrassais à pleine bouche et quand son plaisir arriva, elle me serra dans ses
bras en me remerciant. Ensuite ils me refirent l’amour.
Cette soirée qui avait pourtant bien mal commencé car je dois avouer que
cette fessée restera à jamais dans ma mémoire par sa dureté et la honte
ressentie, mais la suite restera aussi comme un des plus merveilleux
moments.
Auteur:Albert