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L’année scolaire continua avec la seule différence de taille pour mes élèves, j’avais bien compris la leçon et leurs fesses s’en ressentir.
Je n’eus plus à faire avec la directrice et mes relations discrètes mais ardentes avec Mary continuèrent.
Ce que je vais vous raconter maintenant eu lieu pendant la semaine de Pâques, où nous étions en vacances et le collège était vide, je restais seule avec Mary et ses parents ainsi qu’un de leur cousin âgé de 20ans. Je ne pouvais malheureusement pas retourner dans ma famille, car elle se trouvait à Limoges et il fallait 3 jours de voyage depuis le collège.
Ce soir là, revenant d’une fête de charité à la ville toute proche, fatiguée, je prévins la cuisinière que je rentrais directement dans ma chambre, je me mis en chemise de nuit, mais ayant qu’en même un petit creux, je descendis à la cuisine et passant devant la lingerie, j’entendis des bruits bizarres J’ouvris la porte et je vis un drap bouger dans tous les sens, et deux têtes apparurent, celles de Mary et d’Andrews son cousin. Bien que n’ayant aucune expérience avec les hommes je me doutais bien de ce qu’ils faisaient, j’étais furieuse car Mary me trompait et en plus avait profité de mon absence pour le faire. Je claquais la porte et montais dans ma chambre où je me jetais sur mon lit en pleurant.
Cinq minutes plus tard, on frappa, j’essuyais mes yeux.
- Entrez !
C’était Mary, elle avait remis une jupe et un petit pull.
- Que t’arrive t il Isabelle ?
- Ce qui m’arrive ! tu me dis que tu ne veux pas venir avec moi à la fête de charité, parce que tu es fatiguée, et quand je rentre, je te vois faire…ces horreurs avec…lui.
- Mais… mais… mon amour je...
- Tais toi, tu l’appelles comme cela aussi, tu devrais avoir honte de m’avoir menti et trompé comme cela.
- Je te jure que je ne l’ai pas fait exprès…
- Tu te moque de moi.
- Non, nous jouions et de fil en aiguille...
- Et en plus tu fais rentrer un homme dans le collège, alors que tu sais bien que c’est interdit.
J’étais de mauvaise fois mais je m’estimais bafouée.
- Je te jure que je suis désolée, si je t’ai blessé, je ne le voulais pas.
J’étais furieuse.
- Tu expliqueras cela à la directrice !
- Non pas ça, je t’en prie nooon !
- Je suis obligée de lui dire, car si elle l’apprenait, c’est moi qui aurais le droit à la punition et tu sais qu’elle est impitoyable.
- Oui mais ce n’est pas la punition qui m’embête, c’est qu’elle va me renvoyer et qui sait mes parents aussi peut-être...
- Ecoute je te propose de me punir mais n’en parle pas à la directrice, je t’en prie, je t’aime, je te le jure ! Je réfléchis quelques minutes car je sentais bien qu’elle était sincère, puis essayant de prendre ma voix la plus sévère.
- Allez m’attendre tous les deux devant la salle de punitions !
- Tu veux qu’Andrews assiste à la punition ?
- Obéis !
Je les laissais y aller, enlevais ma chemise de nuit, enfilais une robe très ample descendant juste au-dessous des genoux et je descendis.
Ils m’attendaient, j’allais m’asseoir à la table, j’ouvris le règlement.
- Comme la directrice n’est pas là et que je suis le seul professeur c’est moi qui vais officier ! Vous reconnaissez avoir fait rentrer ce jeune homme dans l’établissement.
- Oui Isabelle !
- Comment ?
- Oui Melle !
- Bien que dit le règlement, vous devez le savoir ?
- Celle qui a fait cela sera punie ...
- Oui
- Devant toute l’école, et recevra 12 coups de cane.
- c’est tout
- Non, elle devra…on pourrait peut être éviter…
- Taisez vous ! ! continuez
- Elle recevra sa punition entièrement nue… mais.
- Cela ne doit pas vous gêner si j’en crois ce que j’ai vu.
- Ce n’est pas pareil.
- Taisez vous ! ! et…..?
- C’est tout... vous ne voulez pas dire que...
Je me levais, la pris sous mon bras, relevais sa jupe et lui assenais 4 claques retentissantes CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC !
- Aie ! aie !
- Alors !
- Quant à l’homme il aura le choix entre être remis à la police ou recevoir 12 coups de cane mais là uniquement en présence de la directrice et de la plus âgée des professeurs.
- Bien, que faisons-nous, Monsieur ?
- Il est évident que je préfère la punition Melle.
- Préparez vous !
Elle enleva sa jupe, son pull et ses sous-vêtements, lui son pantalon son caleçon et sa chemise, il était entièrement nu devant moi. J’étais vraiment troublée car je voyais le sexe d’un homme pour la première fois.
- Je vais commencer par monsieur, comme vous savez préparer, Mary, mettez le sur le cheval.
- Puis je me permettre une remarque ?
- Oui !
- Je pense qu’il serait préférable que vous le punissiez sur le tréteau car il va être difficile de l’installer sur le cheval, vous voyez pourquoi ?
Je rougis
- Oui vous avez raison, faites-le ! Elle l’installa, lui fit prendre la barre en fer, puis vint vers moi et me tendit la cane en me chuchotant pour ne pas qu’il n’entende.
- Je t’aime, soit gentille donne que 6 coups, tu ne le regretteras pas.
Complètement décontenancée, je m’avançais vers Andrews, finalement j’avais peut être été injuste avec elle, en plus je me rendais compte que c’était la première fois que je donnais la cane.
- Etes vous prêt ?
- Oui Melle
SLACK !
Il se raidit, mais pas un mot ne sortit de sa bouche.
SLACK !
Une deuxième ligne rouge marqua ses fesses mais pas un mot.
SLACK !
Cette fois un tressaillement de ses jambes et de son corps répondit à ce coup.
SLACK !
Les jambes se plièrent et je vis ses mâchoires se crisper.
SLACK !
Il serra de toute ses forces la barre en fer. Je pris mon élan pour le dernier coup qui prit les fesses en diagonale, le bout de la cane touchant la cuisse.
SLAAACK !
Ahhhhhh
Je réfléchis puis…
- Cela suffira, après tout vous ne connaissiez peut-être pas le règlement
Il se releva, prit une contenance.
- Merci Melle
- Mettez-vous ici derrière le cheval vous pourrez contempler les fesses de Mary pendant la punition, installez-vous Melle
Elle monta sur le cheval et je lui mis la sangle.
- Es tu…pardon êtes vous prête ?
- Oui Melle
SLACK !
Elle serra les dents voulant faire bonne figure.
SLACK !
Pas un mot elle restait stoïque.
SLACK !
Aiiiiiie
Ses jambes battaient l’air et je voyais la figure d’Andrews devenir rouge, car la vue du sexe de Mary lui faisait de l’effet si j’en jugeais au sien qui était maintenant complètement dressé, mais il ne fallait pas que je me laisse détourner.
SLACK !
Ahhhhhhhhhh
Ma colère tombée, j’avais quelques remords car maintenant je savais qu’elle était sincère mais je devais continuais la punition. Je m’approchais d’elle et lui chuchotais :
- Soit courageuse, ma chérie, je t’aime.
SLACK !
Elle serra les dents et tourna vers moi un visage baigné de larmes mais souriant.
SLACK !
Ses mains devenaient blanches mais elle ne dit rien.
- Comme vous êtes plus coupable que lui, vous recevrez un dernier coup.
SLACK !
AHHHHHH, mer…ci..Melle
Je la fit descendre du cheval, elle dansa sur place se massant les fesses. - Mary, même si j’ai peut être été trop sévère, il me faut une explication.
- En fait, c’est Andrews qui m’a dépucelé et à chaque fois qu’il vient nous faisons l’amour mais je lui ai parlé de toi, et il sait que nous nous nous aimons aussi, mais tu as eu raison de me punir et d’être sévère car j’aurais du te le dire, par contre, Andrews, lui n’y était pour rien.
Il nous regarda en souriant :
- Ce n’est pas grave, nous dirons que cette punition m’a été donnée pour toutes les bêtises que j’ai faites cette année, et puis, croyez-moi, elles en ont vu d’autres.
Nous partîmes d’un grand éclat de rire.
- Isabelle, viens à la lingerie nous mettre de la pommade comme je l’ai fait pour toi l’autre fois.
Andrew tourna la tête.
- Ha bon, Isabelle y a eu le droit aussi ?
Je devint toute rouge et coupant à la question.
- Allons y ! je vous suis ...

Auteur:Albert