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Ann Cummings'college (2)
Chapitre 2
- Venez ici et entrez
C’était une grande salle avec sur le coté un genre de tribune, en fait
trois rangés de bancs étagées sur 3 hauteurs. Au fond, une table avec 3 chaises,
au milieu de la pièce, un cheval d’arçon en cuir qui avait la particularité
d’être plus haut d’un coté que de l’autre et un tréteau recouvert d’un
rembourrage de tissu. Je frissonnais.
- Je vois que vous n’êtes plus en
retard. Ca rentre. Normalement dans votre cas, je devrais vous punir dans mon
bureau, mais comme vous n’avez jamais assisté à une punition dans cette salle où
sont données les plus graves en présence de tous les professeurs et d’une élève
par classe, cela se produit 3 ou 4 fois par an mais nous n’avons pas eu cela
encore cette année. Je vais donc vous expliquer comment cela se passe car si
cela devait arriver, comme c’est le professeur qui prépare l’élève, vous sauriez
comment faire.
- Oui Madame
Elle me regarda avec un sourire narquois
-
Je suppose que vous ne connaissez pas la procédure de préparation pour ces
punitions, vous n’avez pas lu les annexes, mais je vous pardonne, vous deviez
vous occuper de vos fesses. N’est ce pas?
Je rougis, pensant à ce que j’avais
fais avec Mary
- Oui Madame
- La procédure de préparation est la même dans
mon bureau ou ici sauf que la punie est penchée sur mon bureau et que c’est moi
qui punit alors qu’ici, la punition est donnée sur le tréteau pour la fessée, la
tawse et le paddle et sur le cheval pour la cane, par un professeur, une élève
de dernière année ou par moi-même. Comme vous avez déjà été fessée et reçu la
tawse, je vais me servir du paddle et de la cane.
- Hoooo non Madame j’en mourrais
- Cela m’étonnerait, à ce jour aucune
de mes élèves n’est morte. Bien maintenant écoutez bien comment dois être
préparée l’élève et arrêtez de pleurer sinon je double la punition, un
professeur doit rester digne y compris dans ce cas là.
- Oui Madame
- Pour
commencer, enlevez votre jupe
- Mais ! mais ! non vous ne pouvez pas
- Ca
suffit maintenant, ou vous m’obéissez sans un mot ou j’attends la rentrée et je
vous punis devant vos collègues, c’est compris ?
- Oui madame
Je
déboutonnais ma jupe la faisait glisser, l’enjambais ; Elle me la prit, la plia
et la posa sur la table.
- Enlevez votre culotte
- NOOOON pas ça, je vous
en prie
- Bon c’est vous qui l’aurez voulu, rhabillez vous, nous verrons cela
après-demain
- Ho non Madame je vous obéis
- Dépêchez vous, et c’est la
dernière fois que j’accepte vos récriminations.
En sanglots je saisis l’élastique de ma culotte et la fis descendre puis
l’enlevais et lui donnais mettant mes mains devant mon sexe
- Les mains
doivent rester dans le dos
J’obéis, elle s’approcha de moi, pris mon
chemisier et le coinça dans mon soutien-gorge. Elle pouvait voir ma toison, je
n’avais jamais eu aussi honte de ma vie.
- Penchez vous sur le tréteau, et
attrapez la barre en fer, voilà maintenant je ne vais pas être trop sévère et
vous donner trois coups de paddle
Je tournais la tete pour voir ce que
c’était : une planche en bois comme une raquette de ping- pong mais
rectangulaire et plus longue, environ 30cms. Elle se mit à coté de moi
et
VLAM !
- Haaaaaaaaa
Je crus que l’on m’avait arraché la peau des
fesses
VLAM !
- Aiiiiiiiie noooon c’est trop horrible arrêtez je vous en
prie
On frappa à la porte
Horrifiée je vis la directrice ouvrir celle-ci
et la tête de Mary apparaître
- Madame mon père sera là dans 15 minutes pour
vous emmener
- Merci, mais entre donc cela fera le plus grand bien à Melle
Isabelle qui ne sait pas se tenir pendant la punition
Elle se rapprochèrent
de moi
- Ho non Madame pas devant quelqu’un, j’en mourrais de honte
- Vous
tenez vraiment à mourir aujourd’hui, Allez le dernier coup.
VLAM
Haaaaaaaa
!
Je lâchais la barre et me frottais les fesses
- Melle, pour avoir
lâché la barre je devrais vous donner un coup supplémentaire
- Ho non Madame
je vous en supplie
- Bon pour cette fois. Bien maintenant, pour finir 3 coups
de cane sur le cheval, Mary veuillez l’installer
- Oui Madame
- Venez
Melle
Elle me fit monter dessus avec une petite marche en bois, les fesses
étaient plus hautes que ma tête, elle me passa une sangle en cuir autour de la
taille pour que je ne glisse pas, mes jambes étant dans le vide, elle me
murmura
- Serre les dents, soit forte
- Je vois que vous n’avez pas perdu
la main
- Merci Madame
Quand je vis s’approcher la directrice avec cette
cane, je crus m’évanouir, elle allait me déchirer avec cela
- Trois coups,
êtes vous prête
- N…..on Madame
- Tant pis
- SLACH !
Je serrais les dents à m’en faire mal à la mâchoire, je devais avoir les
fesses ouvertes et elles devaient saigner, c’était insupportable
- Mary, je
ne sais pas si c’est votre présence, mais enfin notre petite française se
conduit enfin comme une vraie anglaise. Comme votre père va arriver, vous allez
finir la punition à ma place, encore 2 coups, et sans ménagement, vous savez
toujours manier la cane.
- Oui Madame, merci pour votre confiance
-
Ensuite vous la laisserez sur le cheval 10 minutes en pénitence. J’espère que
vous aurez compris la leçon et que maintenant vous allez vous comportez comme
une professeur digne de notre école et que la prochaine fois que nous viendrons
dans cette salle c’est vous qui manierez la cane
- Oui Madame, je vous
remercie pour la leçon, je vais relire tout le règlement et l’appliquer à la
lettre, je vous le promets.
- J’enregistre. Mary, ce soir, comme elle est
seule, vous pourrez servir son dîner à Melle Isabelle dans sa chambre
- Oui
Madame. Si vous m’y autorisez et si elle le veut bien, m’autoriseriez vous à
dîner avec elle, je pourrais lui expliquer le règlement et les coutumes du
collège, mais je vous promets de rester ensuite à ma place dans mes relations
avec elle.
- Cela ne me dérange pas et je pense que cela lui fera du bien de
discuter avec quelqu’un de son age, et vous pourrez lui faire rentrer dans sa
petite tête têtue de française qu’elle est en Angleterre et que nous n’avons pas
les mêmes méthodes d’éducation que chez elle. Je rentrerais demain soir.
Elle
se dirigea vers la porte et sortie
- Au revoir Madame
- Au revoir
Madame
- Bon je vais te donner les 2 coups
- Soit gentille, ne me les
donne pas
- Je ne peux pas, si elle revient elle le verra
- Serre les
dents, je vais taper moins fort qu’elle
SLACH ! SLACH !
Je n’avais pas
vraiment vu la différence avec la Directrice, mes fesses me brûlaient, je
serrais les dents et les poings, et pourtant j’avais envie de hurler.
- C’est
bien tu as été très courageuse
La directrice revint avec son sac à la
main
- Je n’ai rien entendu, vous lui avez donné Mary
- Oui Madame 2 bons
coups, regardez les traces
- Félicitation Melle Isabelle, vous me surprenez
agréablement
Et elle repartit
- Tu vois, je la connais bien, je peux te
dire que si elle n’avait pas vu les traces tu en aurais pris 3 autres et moi au
moins 6
- Tu peux me détacher
- Non sinon tu vas glisser, elle tient bon,
encore 5 minutes on ne sait jamais
Elle passa sa main sur mes fesses et descendit, ce qui me fit ouvrir les
cuisses
- Ho Isabelle, tu n’as pas honte, imagine tous tes collègues qui
pourraient voir ce que je vois, ta belle toison noire, ton petit œillet ta fente
ouverte toute mouillée
- Tais toi, j’ai honte, allez laisse moi descendre
- Je vais t’aider, voilà
- Ho ce que ça me fait mal
- Si j’étais toi
je ne remettrais ni ma jupe ni ma culotte pour éviter le frottement
- Tu n’y
pense pas si nous rencontrons quelqu’un
- Nous sommes toutes les deux, ma
mère est au pavillon, allez viens. A propos, tu ne m’as pas dit si tu voulais
bien que je dîne avec toi.
- Idiote
Je la suivais, pas rassurée ma jupe
devant moi, nous passâmes à la cuisine prendre de la soupe du pain, du jambon,
du fromage et des fruits et montâmes dans ma chambre.
Pendant que Mary
posait la soupe sur le poêle pour la faire réchauffer, je regardais mes fesses
dans la glace
- Ho mon dieu, mais combien de temps cela va rester
- Ne t
inquiète pas, avec la pommade cela va partir très vite, c’est vrai que tu as
trois très beaux traits bien rouges, allez, allonges toi que je te pommade
-
Ouille…..ça fait mal
- Tu vas te taire sinon je te redonne une fessée
-
Non ! je vais être sage
La pommade bien appliquée, Mary passa ses doigts sur
mes fesses et mes cuisses comme elle l’avait fait tout à l’heure mais avec plus
d’insistance, faisant passer un doigt sur ma fente et mon anus.
- Tourne toi
Isabelle
Je me tournais doucement à cause de mes fesses, et je rougissais de
me trouver ainsi exposée
- Ne soit pas bête, nous sommes entre filles
Elle
enleva mes mains de devant mon sexe, m’écarta les cuisses et commença doucement
à me caresser. J’avais bien sur déjà fait ce genre de chose toute seule mais
là…. je sentais très vite la jouissance venir, puis elle déboutonna mon
chemisier, remonta sur mon ventre.
- Redresse toi
Elle enleva le chemisier et défit mon soutien-gorge. Je mis mes mains sur
mes seins, elle les enleva et me les caressa tirant légèrement sur les tétons,
puis elle les embrassa et les suça je gémissais, c’était bon, je sentais le
plaisir monter en moi, comme jamais. Elle entra un doigt dans ma fente et
titilla mon clitoris, puis elle se mis entre mes jambes et je sentis sa langue
entrer dans mon sexe et très rapidement je jouis.
- Il va falloir apprendre à
te retenir, Isabelle, à prendre ton temps, je pense que j’ai beaucoup de chose à
t’apprendre, ma petite pucelle.
- Ho, tais toi, c’était vraiment trop bon, je
n’en peux plus.
- Maintenant, il va falloir en faire autant pour moi
-
Mais je ne saurais pas
- Je vais te guider, mais avant….. panpan cucul, tu me
donnes une fessée, j’ai dit à la directrice que je garderais mes distances…. Je
ne l’ai vraiment pas fait et puis ce sera un bon entraînement pour toi, tu fais
comme si j’étais une de tes élèves.
- Je me rhabille ?
- Non ce n’est pas
nécessaire
- Bon viens sur mes genoux, je relève la jupe sur le dos, baisse
la culotte aux genoux et…je commence à te fesser CLAC ! CLAC ! CLAC CLAC ! CLAC
! CLAC ! CLAC !
- Arrête une minute, tu tapes n’importe comment, il faut
taper une fesse puis l’autre en haut puis en bas puis au milieu et petit à petit
tu augmentes la cadence de façon à ce que les fesses soient bien rouges
uniformément, as tu compris ?
- Oui j’y vais
Je recommençais à claquer
comme elle me l’avait dit et petit à petit de plus en plus vite et de plus en
plus fort CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC !
CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC !
CLACCLACCLACCLACCLACCLACCLACCLACCLAC !
- Arrête je n’en peux plus
- Tu
m’as bien dit de faire comme si tu étais une élève
- Oui mais…
- Alors
tais toi CLACCLACCLACCLACCLACCLACCLACCLACCLAC !
Je m’arrêtais contemplant mon
œuvre, ses fesses étaient toutes rouges, je coinçais sa jupe dans sa
ceinture.
- Lève toi et mets toi devant l’armoire mains sur la tête
Elle
me regarda avec un petit sourire et pris la position. Au bout de 2
minutes..
- Retourne toi, alors, ai je bien écouté les conseils de mon
professeur
Elle se massait les fesses
- Trop bien, elle me brûlent,
heureusement que je ne suis pas dans ta classe.
Elle enleva tous ses vêtements, elle était nue devant moi, elle mesurait
environ 1m65 pour autant de kilos et avait une assez grosse poitrine en pommes,
elle était assez ronde. Une magnifique paires de fesses bien épanouies et une
toison blonde très peu fournie ce qui contrastait avec la mienne noire et très
fournie. Elle s’allongeât sur le lit et je commençais à la caresser comme elle
l’avait fait pour moi, puis je passais ma main sur son sexe et je me rendis
compte qu'il était complètement poisseux.
- C’est la fessée qui te fait cet
effet ?
- Oui, je mouille beaucoup dès que l’on s’occupe de mes fesses, allez
occupe toi de mon minou
Je me mis entre ses jambes, ouvris ses lèvres et
entra un doigt dans son sexe, elle se caressait les seins.
- Si tu n’y
arrives pas avec ta langue, je ne t’en voudrais pas, je te ferais voir plus
tard
- Merci
- j’ai posé tout à l’heure un objet enveloppé dans du papier
sur ta table, prends le
Je me levais et j’étais surprise car cela ne faisait
plus rien d’être nue devant elle, je pris l’objet enlevais le papier de
découvrais un long morceau d’ivoire d’environ 25cms, surprise je me retournais
vers Mary
- C'est un olibos, (cela ressemble à un sexe d’homme ( je ne lui
dis pas que je n’en avais jamais vu) je l’ai pris chez la directrice, viens je
ne suis plus vierge…(je rougis qu’elle puisse dire cela ainsi), entre le
doucement dans mon sexe, voilà comme cela et maintenant fais des vas et viens,
doucement, doucement, voilà c’est bien continue….maintenant tu accélères
doucement ouiiiiii c’est bien, plus vite….plus…vite…. ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii
Je m’arrêtais, regardant son visage où resplendissait le bonheur. Elle me
pris dans ses bras et m’embrassa
- C’est bien je suis contente de mon
élève
Nous dînâmes ensuite nues, il faisait si bon dans la chambre, tout en
discutant, elle me donna des conseils, me mit en garde contre certains
professeurs. Nous redescendîmes à la cuisine les restes du repas et Mary reporta
l’olibos dans la chambre de la directrice puis nous remontâmes dans la
chambre.
- Cela te dérange que nous dormions ensemble, je n’ai pas envie de
redescendre à la lingerie
- Non pas du tout, on se serrera.
Je pris ma
chemise de nuit
- Que fais tu ?
- On va bien dormir
- Tu n’as pas
besoin de ça, on va se tenir chaud allez viens. Je rentrais dans le lit à coté
d’elle, elle me prit dans ses bras, je pensais à cette journée où pour la
première fois de ma vie j’avais goûté aux châtiments corporels et découverts les
plaisirs saphiques et je m’endormis très vite.
Auteur:Albert