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Ann Cummings'college (1)
Chapitre 1
L’histoire que je vais vous raconter,
c’est une tante âgée de 75 ans qui me l’a racontée ce week-end de passage chez
moi et me voyant lire sur Internet des histoires de fessées, elle me dit, "C’est
de famille, à ce que je vois, cet amour de la fessée, mais toi tu dois aimer la
donner d’après ce que je lis, alors que moi c’était la donner et la recevoir, si
cela t’amuse je vais te raconter comment cela m’est venu".
C’est donc ce
qu’elle vient de m’avouer et que je retranscris très vite de façon à ne rien
oublier.
J’avais 24ans, brune 1m69 un peu moins de 60kgs et ayant réussit mon
professorat d’anglais, je décidais afin de progresser encore dans cette langue
de m’immerger complètement et pour cela, je demandais à des amis britanniques,
s’ils avaient connaissance d’écoles pouvant accepter ma candidature. Suite à
leurs réponses, j’écrivis dans trois établissements et je reçus au mois d’août,
une réponse positive comme professeur de français dans une institution se
trouvant dans le sud de l’Angleterre entre Bournemouth et Southampton, en face
de l’île de Wight. Je prenais le bateau au Havre et débarquais en Angleterre
pour la rentrée, le 15 septembre 1949.
La directrice, une femme d’une quarantaine d’années me reçut et
m’expliqua le fonctionnement de l’école, 6 classes de 15 élèves maximum de 11 à
18ans, des jeunes filles de la haute société. Elle me donna mon emploi du temps
et le règlement intérieur qui régissait la vie des élèves et professeurs, tout
était expliqué, les tenues, les repas, les sorties, les relations avec les
parents et les punitions, ce qui me surprit car celles-ci étaient des châtiments
corporels, fessée, paddle, tawse et cane. La directrice voyant ma tête
m’expliqua qu’il en était ainsi dans les écoles britanniques mais que je m’y
ferais très bien. Moi qui n’avais jamais reçu, ne serait ce qu’une fessée,
j’espérais en effet que je saurais y faire. Ensuite elle m’envoya voir
l’intendante qui me remit mon trousseau, 6 chemisiers trois blancs et trois gris
ainsi que 4 jupes grises descendants à mi-mollets, elle me précisa que je devais
en assurer le lavage. Je remontais dans ma chambre pour m’installer.
Je
profitais de la fin de la journée pour commencer la lecture du règlement
intérieur(plus de 120 pages) qui décrivait les motifs (prés de 100 étaient
répertoriés)et les punitions qui les accompagnaient, pour les petites fautes, la
fessée ou la tawse (6 coups maximums) étaient donnée en classe devant les autres
élèves, les autres punitions dans le bureau de la directrice ou dans la salle
des punitions, fessée et tawse accompagnées du paddle ou de la
cane.
Au bout d’un mois, la directrice me convoqua
- Melle Isabelle je ne
comprends pas, vous n’avez puni encore aucune élève et vous n’en avez envoyé
aucune en salle de punitions, cela n’est pas possible. Je vous demande
d’appliquer le règlement car sinon nous ne pourrons vous conserver dans notre
établissement
- Oui Madame je vais essayer, je vous le promets je vais faire
des efforts
Je sortis du bureau bien décidé à le faire et dés le lendemain je
commençais à donner des fessées et même deux fois six coups de tawse dans la
salle de punitions sur la jupe de mes élèves.
Un mois plus tard à la veille du 11 novembre, les élèves et les
professeurs étant parties dans leurs familles pour ce week-end de 4 jours, les
seules personnes présentent dans l’institution avec moi étaient le gardien, sa
femme, la cuisinière et leur fille Mary, âgée de 23ans, la lingère qui
habitaient le pavillon à l’entrée du parc et la Directrice. Après avoir dîner
toutes les deux, nous allâmes dans le jardin pour une petite promenade, elle me
prit par le bras- Melle Isabelle, cela ne peut pas continuer. J’ai appris que
vous aviez donné plusieurs fessées et 2 fois la tawse sur la jupe de vos élèves,
est-ce exact ?
- Oui Madame vous le voyez je vous ai écoutée
- Ecoutée oui
mais pas très bien comprise car les élèves se moquent de vous et les professeurs
commencent à se plaindre, vous n'appliquez pas le règlement à la lettre, où
pourtant, pratiquement toutes les fautes sont répertoriées ainsi que les
punitions. Vous l’avez lu, n’est ce pas ?
- Oui..enfin presque tout
-
Pourtant je vous avais demandé de le faire. Vous allez retourner dans votre
chambre, le relire et demain à 9h vous viendrez dans votre salle de classe et
nous verrons si vous l’avez bien compris et si je peux vous garder.
Je
remontais dans ma chambre, m’allongeais sur le lit et entrepris la lecture. Je
me réveillais en sursaut, il faisait jour, je regardais ma montre huit heures
vingt, je posais le livre, il ne restait qu’une vingtaine de pages, tant pis….je
me dépêchais de me préparer. Je descendis à la salle de classe, la directrice
était là assise au bureau.
- Melle Isabelle vous êtes en retard
Je
regardais la pendule, 9h05(en fait, la directrice avait avancé la pendule, elle
me l’avoua en fin d’année)
- Je ne comprends pas, ma montre……(je l’avais
laissée dans la chambre)
- Votre montre indique ce qu’elle veut, vous êtes
en retard, voici un très bon travail pratique, si une de vos élèves arrive en
retard que devez vous faire ?
- La punir !
- Que dit le règlement ?
-
Heu…. L’article …
- Vous ne savez pas
- Si, Madame, l’article 6 dit que je
dois lui donner une fessée devant la classe
- Bien et comment devez vous
faire ?
- Je la fais venir, la couche sur mes genoux et la fesse sur sa
jupe.
- Quand je vous disais que vous n’aviez pas compris le règlement ou,
peut-être n’avez vous pas lu les annexes à la fin de celui-ci.
- Euh…euh…(les
pages que je n’avais pas eues le temps de lire, je ne pouvais pas lui avouer)je
croyais…pourtant…
La directrice se leva mis la chaise au milieu de
l’estrade, s’assit dos au bureau puis me prit par le bras et m’allongea sur ses
genoux.
- Je vais vous faire une démonstration, voilà, vous la couchez sur
vos genoux, fesses tournées vers la classe, puis vous relevez sa jupe…….
-
Mais ….mais .. Madame je vais relire les annexes
- Je veux être sur que vous
n’hésiterez pas la prochaine fois
La jupe était remontée entièrement sur mon
dos
- Voilà ensuite vous serrez bien avec la main gauche la taille et avec la
main droite vous baissez la culotte
- Non…non j’ai compris je vous assure
arrêtez, non j’ai honte
je sentis ma culotte descendre le long de mes
cuisses et s’arrêter à mes genoux
- C’est bien car il faut que votre élève
ait honte, ainsi la punie est en position pour recevoir sa fessée, vous
saisissez
- Oui Madame, parfaitement…..
J’essayais de me relever mais en vain
- Puis vous commencez à claquer
une fesse, CLAC! puis l’autre, CLAC! et ainsi de suite CLAC! CLAC! CLAC! CLAC!
CLAC! CLAC! CLAC! CLAC! CLAC! CLAC! CLAC! CLAC! CLAC! CLAC! CLAC! CLAC! CLAC! Et
surtout tenez bien la taille
Je réalisais que j’étais fessée pour la première
fois de ma vie, je bougeais et mes jambes battaient l’air.
- Arrêtez, j’ai
compris, je vous en supplie, je le ferais mais arrêtez, j’ai mal.
Mais la
directrice continuait, voulant me donner une leçon CLAC! CLAC! CLAC! CLAC! CLAC!
CLAC! CLAC! CLAC! CLAC! CLAC! CLAC! CLAC! CLAC! CLAC! CLAC! CLAC! CLAC! CLAC!
CLAC! CLAC! CLAC! CLAC! Voilà ! maintenant vous savez vraiment ce qu’est une
fessée, relevez vous
Je me relevais les joues baignées de larmes, les fesses
brûlantes que je massais sautillant sur place
- Ho Madame ce que j’ai honte,
à mon age
- Ne vous plaignez pas, quand vous fesserez une élève, toute la
classe sera présente, heureusement que ce n’est pas le cas maintenant, vous vous
rendez compte de ce que vous auriez laissé voir avec les gesticulations
indécentes de vos jambes.
Je rougis de honte, imaginant la scène
- Madame,
j’ai trop honte, ne dites plus…..
- Taisez vous ! Ramassez votre culotte
(celle-ci avait glissé à terre pendant la fessée ) et remettez la à mi-cuisses.
Après la fessée, vous coincerez sa jupe comme cela dans la ceinture puis vous la
mettrez face au tableau dans le coin de l’estrade pendant 10 minutes mains sur
la tête. Faites-le !
Je me mis dans la position indiquée, une chance que ma
jupe n’était coincée que derrière ainsi mon sexe était caché.
- Avez vous
senti comment se donne une fessée, j’espère que cette démonstration vous sera
profitable
- Oui Madame, j’ai bien compris
- Vous méritiez bien cette
punition, puisque vous étiez arrivée en retard
- Oui….enfin je ne suis pas
une élève
- C’est possible mais que dit l’article 52
- Euh…euh… oui que
dans des cas très exceptionnels, la directrice peut punir un professeur
-
Bien, rhabillez vous et asseyez vous, j’estime qu’un professeur qui au bout d’un
mois et demi ne connaît pas et n’applique pas le règlement et qui arrive en
retard est un cas exceptionnel, sommes nous d’accord ?
Je m’essayais avec difficulté, mes fesses me chauffaient
- Oui, si
vous le pensez Madame (je ne voulais pas la contrarier, je tenais à rester),
elle attendit 2 minutes regardant un papier sur le bureau
- Venez ici
Je
me mis devant le bureau et inconsciemment je mis mes mains dans mon dos.
-
Mademoiselle Isabelle, vous avez, je crois, puni une élève qui avait oublié de
faire un devoir par 6 coups de tawse, est-ce exact ?
- Oui Madame, mais je ne
suis pas sur d’avoir fait ce qu’il fallait pour la punir
- Comment l’avez
vous punie ?
- Je l’ai mise sur mes genoux et lui ai donné les 6 coups de
tawse sur sa jupe.
- En effet ce n’est pas la punition réglementaire, qu’elle
aurait elle du être ?
J’allais devoir imaginer puisque je n’avais pas lu les
annexes et pleine d’assurance :
- Relever la jupe, baisser la culotte puis
donner 6 coups de tawse sur mes genoux, Madame
- Vous moquez vous de moi
Mademoiselle, je vais commencer à croire que vous n’avez pas lu le
règlement……..
- Mais….mais..Madame….
- Hé! bien je vais de nouveau vous
faire une démonstration
Elle fit le tour de la table se posta à côté de la chaise
- Veuillez
enlever votre culotte et la poser sur la chaise
- Je vous en prie Madame,
non….. Je vais vous avouer, en fait je me suis endormie en lisant le règlement
et je n’ai pas lu les annexes…..
- Je m’en doutais, je ne suis pas
idiote
- Allez obéissezBaissant la tête, je passais mes mains sous ma jupe et
je baissais ma culotte, l’enjambais et la posais sur la chaise.
- Maintenant
vous relevez la jupe de façon à bien dégager les fesses, vous vous penchez sur
le dossier et attrapez les 2 bords de la chaise, vos pieds contre les 2 pieds de
la chaise vous pouvez constater que vos fesses sont tournées vers la classe,
j’espère que vous serez moins indécente que tout à l’heure……Vous avez de la
chance, il n’y a toujours personne.
- Ho Madame, punissez-moi mais ne tenez
pas ces paroles, j’ai trop honte…
- Bien vous allez donc faire connaissance
avec cette belle tawse écossaise
SLACK ! je sentis une énorme brûlure
-
Aaaaaaaaaah ! non Madame, c’est trop horrible
- Taisez vous et soyez aussi
forte que vos élèves
SLACK !
Je serrais les dents mais c’était vraiment
insupportable, je commençais à sangloter
SLACK ! je pleurais à chaudes larmes
maintenant, je comprenais maintenant pourquoi mon élève et la classe avaient
souri après les coups donnés sur la jupe
SLACK ! SLACK ! aaaaaaaaaah je
hurlais
- Nooon ça fait trop mal je vous en supplie, je ne peux plus
supporter
- Taisez vous ! Cela suffit, qu’allez vous faire si une élève a la
même réaction que vous ?
Je serrais la chaise et mes mains commençaient à blanchir
-
Je….je….(la voix mêlée de sanglots) continuerais Madame…je…je.. finirais la
punition
- Donc finissons la
SLACK !
- Aaah hooo Madame c’est vraiment
horrible, comment peuvent elles supporter cela
- Elles le supportent et vous
devrez punir sans faiblir, c’est bien entendu
- Oui Madame
- Essuyez votre
figure et remettez votre culotte….. normalement vous devriez vous tenir dans ce
coin de la classe pendant 10 minutes mais je vous fais grâce de cela
- Merci
Madame
Je remis ma culotte avec difficultés, j’avais l’impression d’avoir un
fer rouge dans ma culotte
- C’était bien la même élève qui était en retard et
n’avait pas fait son devoir
- Oui Madame
- Que devez vous faire après
avoir puni l’élève ?
- Je dois inscrire son nom sur le tableau car c’est sa
deuxième punition de la journée
- Bien allez-y
Je pris une craie
- Que
dois-je écrire Madame,
- D’après vous Mademoiselle, qui a été punie deux fois
aujourd’hui ?
Je réfléchissais une seconde et un horrible doute m’envahit….
-
Vous….vous.. voulez que j’écrive mon nom ?
- N’est ce pas vous qui avez été
punie 2 fois aujourd’hui?
- Mais Madame …mais, je veux bien écrire mon nom,
mais… cela veut dire au terme du règlement qu’à 18 heures je suis censé aller
dans votre bureau pour être punie par vous. Madame je vous en prie, j’ai bien
pris conscience de mes erreurs et je vous promets que maintenant je vais
appliquer le règlement à la lettre, je vous en prie. Voilà j’écris Isabelle au
tableau, mais……
Elle sortit de la classe sans rien dire. Je restais là
prostrée et dubitative pendant une dizaine de minutes quand la porte s’ouvrit,
c’était la directrice
- Mademoiselle, je vois que vous inscrit un nom sur
votre tableau, vous rappellerez à cette personne qu’elle doit être dans mon
bureau à 18 heures.
- Mais Mada….
Elle ferma la porte, Je m’écroulais sur
mon bureau en pleurs.
Au bout d’un moment je me relevais et me dirigeais
vers ma chambre. Je vis que la porte était ouverte, surprise je m’avançais
doucement et découvrais Mary la lingère qui changeait mes draps, un peu surprise
de la voir là, je me tournais pour essuyer mes larmes.
- N’ayez pas honte
Melle, je sais ce que sais, j’y suis passée aussi, je vous ai apporté une
pommade apaisante
Je rougis très gênée
- Merci
- En revenant de faire
la chambre de la directrice, je suis passée devant votre classe et par le
carreau. Je vous ai vu …..les fesses bien rouges
Mes joues s’empourprères et
devinrent sûrement aussi rouges que mes fesses
- Et c’est pour cela que j’ai
apporté cette pommade, elle est très efficace, je m’en sers à chaque fois que
j’y ai droit moi aussi
- Mais je ne comprends pas, vous n’êtes plus une
élève
- Non bien sur mais je l’ai été pendant six ans et je dois avouer que
quand je fais une bêtise, je préfère encore une fessée qu’un retrait sur mon
salaire et…..je ne sais pas si je dois vous le dire mais..j’aime la fessée.
-
Comment ! mais on ne peut pas aimer cela
- C’est compliqué à expliquer…..on
en reparlera, allongez vous je vais vous mettre la pommade
- Mais…mais … vous
n’y pensez pas, donnez je vais le faire
Elle me prit par les épaules
-
Ecoutez, des fesses j’en ai vu beaucoup et puis nous avons le même age, nous
pourrions être sœurs…Je cédais, elle me fit allonger, remonta ma jupe et enleva
ma culotte, puis commença à pommader mes fesses doucement, délicatement
-
Elle ne vous a pas loupé, mais elle fait cela souvent avec les nouveaux
professeurs pour bien leur faire comprendre le règlement.
Elle me raconta également ce qui se passait dans le collège, les
punitions, les relations avec la directrice, les jalousies entre professeurs
pour être bien vue de la directrice, elle me dit que j’avais été dénoncée par
une collègue
La pommade commençait à faire son effet et j’en ressentais les
effets apaisants et je me détendais.
- J’espère ne pas vous choquer Melle, et
si c’est le cas, veuillez me pardonner mon audace, mais comme nous sommes les
deux seules jeunes femmes de notre age(les professeurs et le reste du personnel
avaient plus de trente-cinq ans), je voudrais te……ho pardon, vous proposer
d’être mon amie.
- Mary, je serais très contente que vous soyez..non,
tutoyons nous, que tu sois mon amie car je me sens bien seule ici, mais il
faudra faire attention aux autres qui n’apprécieraient sans doute pas. Tu sais
ta pommade est miraculeuse, cela me fait un bien fou surtout……que ce n’est pas
fini.
- Tu dois y aller à 18 heures, elle t’a puni deux fois, c’est ça.
-
Oui, que va t’il se passer ?
- Cela dépend de la directrice et des motifs(en
fait elle ne voulait pas m’affoler)
Elle se leva pour se laver les mains et
je restais allongée, j’étais bien et je sentis sa main commencer à me caresser
les fesses et les jambes et se rapprocher de mon sexe, je serrais les
jambes.
- Que fais tu ? ce n’est pas bien
- Laisse toi faire et si tu ne
veux vraiment pas, j’arrêterais.
J’étais si bien que j’écartais mes jambes.
Elle promena ma main, sur ma toison, je frémissais puis elle entra un doigt
-
Non pas…
- Chuuut, laisse toi faire, tu aimes, tu es toute
mouillée
J’avais honte de laisser paraître mes sentiments, je n’avais jamais fait
cela ni avec un garçon ni bien sur avec une fille. Mais elle n’alla pas jusqu'à
me faire jouir car me dit elle plus tard qu’elle n’avait pas voulu me choquer.
Nous discutâmes encore un moment puis……
- Isabelle, il est presque 18 heures,
il faut te préparer
- Oui, il va falloir y aller
- Allez courage
Elle
me surprit en m’embrassant sur la bouche et partit en riant. Je descendis et
attendis devant la porte du bureau. Cinq minutes plus tard, la porte de la salle
des punitions s’ouvrit et la directrice apparut.
Auteur:Albert