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Cérémonies secrètes
Je vous fais part d'une expérience qui a marqué mon enfance.
Elle m'a rendu voyeur, masturbateur effréné et fIagellant (du moins dans
mes fantasmes
érotiques).
Dans les années 1950, orphelins ma soeur et moi, nous fûmes élevés par un
oncle
par alliance, que nous connaissions à peine, d'une soixantaine
d'années,
d'allure très sévère. Il avait des a priori hypocrites tels que
"Les
jeunes filles ont besoin d'être sévèrement dirigées pour qu'elles
apprennent les
vertus de l'humilité". Quand il nous prit en main, Odette, ma
soeur, avait
dix- huit ans. C'était une jeune fille pas très jolie, possédant
des formes
plantureuses, à la limite de l'embonpoint. En particulier, elle
avait honte de
son derrière et de ses cuisses, qu'elle trouvait beaucoup trop
épanouis. De
caractère peureux, timide et docile, elle se soumit dès le
premier jour en
sanglotant aux exigences disciplinaires de notre tuteur
libidineux. Homme
cultivé, il nous donnerait quatre heures d'enseignement par
jour. La moindre
faute dans le travail serait passible de châtiment corporel.
J'avais douze ans.
Je n'intéressais pas mon oncle, qui ne me châtia qu'avec de grandes
calottes.
Mais pour ma soeur, c'était différent : utilisation très fréquente
de la fessée
et à cul nu . Quand il manifesta ses exigences, Odette accepta,
se résigna à
l'inévitable et en soupirant apprit par coeur une grande feuille
où le tuteur
avait rédigé ses "lois du fouet" avec tout un rituel
extrêmement
humiliant à respecter lors de chaque correction. La salle
d'études fut le lieu
de mes premiers émois sexuels car je pus y contempler à
loisir les grosses
fesses de ma soeur dans toutes les postures d'offrande
possibles. On ne peut
imaginer cérémonial plus pervers. Par exemple, ma soeur
était condamnée pour une
faute d'orthographe à vingt coups de martinet. Pâle,
elle se levait,
reconnaissait la justesse de la sentence, demandait
humblement pardon et se
"préparait", c'est-à-dire qu'elle baissait sa culotte
jusqu'aux genoux
et troussait ses jupes. Alors jaillissait sous mon nez une
plantureuse paire de
fesses blanches, pendant qu'Odette commençait à
pleurnicher, morte de honte.
Tenant jupe troussée, elle devait aller décrocher le martinet pendu au
mur.
Démarche gênée par sa culotte aux genoux, elle y allait en se dandinant,
faisant
ballotter ses lourdes masses postérieures. Puis, elle revenait,
tendait
l'instrument à son "bourreau", dans une grande révérence,
disant
qu'elle allait offrir ses fesses au maximum. Elle maintenait ses jupes
crispées
dans ses doigts, ployait les cuisses, cambrait les reins et
déployait une énorme
"mappemonde" fendue, sanglotant qu'elle était prête et
adjurant le
tuteur de bien vouloir lui administrer une cinglante fessée pour
qu'elle s'en
souvienne. Sadiquement, l'oncle prolongeait son attente, se
repaissant (comme
moi !) du large panorama fendu, immensément exhibé. Il
promenait les lanières sur
les rotondités grasses, frissonnantes. Le fessier
disait-il était insuffisamment
exposé. Il cognait la cambrure du manche du
martinet. Odette, dans un effort
musculaire intense, augmentait encore
l'arrondi de ses hémisphères condamnées.
Et les coups de claquer, lents, secs. Odette devait compter à haute voix,
avec
une phrase particulièrement mortifiante, récitée à chaque coup: "Hou !
Neuf
sur mes grosses fesses! Pardon pour ma faute d'orthographe !… Ho ! Dix
sur mes
grosses fesses ! Pardon pour ma faute d'orthographe !..." A chaque
coup du
martinet elle avait une torsion des reins. Les fesses mafflues se
heurtaient et
tressaillaient. Mais Odette devait ensuite reprendre la posture
initiale, croupe
dardée au maximum, avant que ne tombe le coup suivant. Après
le fouet, il
fallait encore remercier, demander encore pardon remettre le
martinet en place
et aller au piquet dix minutes, jupe toujours retroussée,
exposant une imposante
" lune " gonflée toute rouge et zébrée en tout sens.
Je remarquais
nettement pendant ces fréquentes mortifications une bosse
révélatrice dans le
pantalon de mon tuteur... comme dans le mien. Et je
demandais à aller au
"petit coin" où j'éjaculais béatement au souvenir de
l'émouvante
fessée "pédagogique" .
Odette était ainsi fustigée au grand dam de ses
fesses de jument
environ trois ou quatre fois par jour, plus l'inévitable, l
'implacable et
traditionnelle fouettée du soir. Nous avions des lits jumeaux et
une fois de
plus j'étais à la fête. En chemise de nuit, anxieuse, Odette,
largement
troussée examinait ses si volumineuses rondeurs intimes dans l'armoire
à
glace : " Oh qu'elles sont rouges! Monsieur a dû drôlement m'épousseter
la
"lune" aujourd'hui. Quelle sotte! Mériter quatre fessées en une
seule
journée de cours! " Et elle m'étalait complaisamment son
"astre
"ultra-rebondi devant les yeux alors que je me masturbais furtivement
sous
les draps. "La chair n'est pas blessée là ? Sous le globe droit ... Et
dans
la raie ? "
Le tuteur entrait, les yeux baissés, Odette s'agenouillait sur
le lit,
exprimait longuement sa contrition pour les fautes de la journée. Puis,
hop,
elle troussait encore plus haut sa chemise, exposant à nouveau
ses
formidables rotondités fessières promises à la correction. Tête sur
l'oreiller,
globes culiers cambrés au maximum, pleurnichant, elle subissait
une vingtaine de
coups de férule de cuir. Puis le tuteur étalait à pleine
paume un onguent
rafraîchissant sur les grosses boules de chair meurtries,
pendant qu'Odette
demandait pardon de son piètre travail de la journée et
promettait de mériter
moins de fessées le lendemain, promesse qu'elle ne
tenait pas toujours, car
notre tuteur était vraiment d'une sévérité
pointilleuse avec Odette et lui
donnait la fessée pour des fautes parfois
insignifiantes.
Enfin il nousembrassait tous deux et allait se coucher... et probablement
se faire jouir.
Cela dura quatre ans, où je me gavai d'une mappemonde
féminine de plus en plus
grosse, de plus en plus obscène et
émouvante.
Odette se maria à vingt - deux ans. Elle n'en a jamais voulu à son
sacré tuteur.
Elle trouve au contraire qu'il l'a parfaitement éduquée. Elle
sourit en
rougissant un peu gênée, quand je lui rappelle ses quotidiennes
exhibitions de
fesses et elle me dit: " Tu connais vraiment ma lune par coeur
" Elle
ne croit pas si bien dire. J'ai gardé au coeur le grisant souvenir
d'une
mappemonde ouverte sous le fouet et depuis je me console dans les
amours
flagellants dont les modèles ont de très grosses
fesses.
Je me demandais si André, son mari, utilisait les mêmes méthodes
disciplinaires
que notre tuteur. Dernièrement, je n'ai pu m'empêcher de poser
la question à ma
sœur. Je vis Odette rougir profondément. C'était déjà une
réponse ! … Elle prit le
parti d'en sourire, me tira la langue et répondit :
" Eh bien oui, na ! … André
est un mari très aimant mais très sévère, et il
me donne la fessée à la moindre
faute domestique. De toute façon, tu l'aurais
su un jour ou l'autre". Amusé,
André, qui préparait un cocktail, s'adressa à
Odette : "chérie, puisque tu
viens de confier notre arrangement conjugal à
ton frère, pourquoi ne pas
recevoir devant lui la correction qui te pend aux
fesses pour avoir négligé de
nettoyer la poussière au-dessus des
portes?"
Odette rougit encore plus fort et finit par dire : "bah! D'accord,
chéri.
Après tout Paul a vu mes mappemondes se tortiller sous les fessées des
centaines
de fois! Allons, je…je me prépare." D'un pas décidé, elle est allée
ouvrir
un tiroir de la commode, a pris un classique martinet de bazard, l'a
posé sur la
table des apéritifs. Puis elle a baissé sa culotte, s'est
retroussée d'un coup
jusqu'au milieu du dos et m'a expédié presque dans la
figure ses grosses fesses
de femme faite, de trente cinq ans . Quelle paire!
La croupe d'Odette a perdu
l'aspect de joues poupines de l'adolescence mais a
encore gagné en galbe et en
volume ! Elle pourrait poser pour une statue de
la Venus Callipyge!
André, très amoureux, a caressé le splendides épanouissement des
chairs
fessières de sa femme, l'a exhorté à déployer davantage ses globes, ce
qu'elle a
fait immédiatement. Et le martinet a incendié les magnifiques
fesses d'Odette
qui comptait les coups d'une voix oppressée et reprenait le
déploiement
postérieur absolu après chaque visite de la gerbe de cuir. Enfin,
après vingt
coups elle se frotta les fesses, remercia son mari comme elle le
faisait avec
son tuteur, demanda pardon, rangea le martinet et alla se mettre
au piquet, cul
rougeoyant, mains sur la tête, pour dix minutes. Elle savait
que je reluquais
ses belles fesses en pleine maturité . Elle tourna la tête
en souriant, me
gratifia d'un large déploiement de pleine lune, me tirant à
nouveau la langue et
me dit : "Voilà qui te rajeunit d'une douzaine d'années,
non ?"
Je suis sûr que maintenant que le pas est franchi et la glace
rompue,
j'assisterai à nouveau à nombre de fessées de ma sœur, et je m'en
réjouis déjà !
Auteur:Inconnu