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Sabat
A toi que j’attends…
Depuis 20 minutes, Saba était à quatre pattes, collier au cou, laisse
attachée à la poignée de… A la poignée de quoi au fait ? Un épais masque
semblant en cuir, lui masquait la vue.
En pensée, elle se voyait, fesses en l’air, genoux écartés, sexe glabre
offert, reins cambrés tandis que sa lourde poitrine semblait aimantée par la
moquette. Une chienne. Une chienne à qui le martinet posé sur ses reins,
rappelais qu’elle ne devait pas changer de posture. Son maître en avait
décidé ainsi.
Deux heures auparavant, il l’avait fait installer, couchée à l’arrière du
véhicule, nue comme un bébé à la naissance. C’était la surprise, il était
juste prévu qu’ils aillent au cinéma, et puis, tout à coup l’ordre, bref,
sec :
- « Saba, à poil ! »
Surprise, elle tressaillit, mais se tut. Déjà, la voiture, stoppait au bord
de la route.
- « Allez à poil vite ! J’ai une surprise pour toi », s’exclama
Eric, avec un demi-sourire ».
Saba s’exécuta rapidement. L’impatience, l’excitation, la rendait fébrile.
- « Tu t’installeras à l’arrière, et tu prendras ton collier et to
masque dans le sac »
- « Dois-je les mettre, maître », demanda-t-elle ?
- « Ne joue pas les chiennes idiotes, ça ne te va pas ma puce », lui
lança-t-il, en brandissant un martinet sorti d’on ne sait où.
Plus d’une heure de route allongée, à même le sol, sans même un stick, c’
était dur, surtout dans les virages. Heureusement, une fois arrivée, devant
un hangar pourri, elle avait eu droit à une pause, assise sur le siège du
passager avant.
Le bonheur, un gros stick, et la main de son maître qui l’avait fouillée
longuement, la laissant pantelante de jouissance, trempée comme une vraie
chienne en chaleur.
Dans la nuit, humide, son maître, l’avait sortie du véhicule. A quatre
pattes, yeux bandés, elle avait été traînée par son maître, jusqu’à un local
au sol moquetté. Peut être un bureau.
Puis elle avait été abandonnée par son maître, sans mot dire, offerte. Son
cœur, s’était serré quand elle avait entendu son maître s’éloigner.
Une porte claqua, la sortant de sa torpeur. Les pas de plusieurs personnes
résonnèrent dans le bâtiment. Combien étaient-ils ? Qui étaient-ils ?
Soudain, elle reconnut une voix, celle de son maître :
- « La chienne est là. Avec des capotes, faites-en ce que vous
voulez.
- Putain, les nichons, glissa une voix
- C’est la Reine des Chiennes ! Alors baisez-là bien, elle le mérite
! Repris la voix de son maître. »
Déjà une main s’emparait d’un de ses seins
- « Tu parles, avec de gros nibards comme ça !! Et ces tétons,
regardez ! Ils bandent ! , Lança une voix chaude et grave.»
Elle sentit qu’on la détachait du radiateur. Un coup sec sur la laisse, la
redressa, à genoux. Instinctivement, elle ouvrit la bouche et tira la
langue.
Déjà, Saba entendait le zip des fermetures éclair se baissant. Combien
étaient-ils ? Trois, cinq, dix ? Noirs, jaunes, arabes, blonds ? Des petites
ou des grosses queues ? Oui, oui ! Elle en voulait des énormes.
Déjà une lui caressait les lèvres… Elle n’était pas raide, encore molle,
légèrement odorante. A tâtons, elle décalotta délicatement ce sexe qui s’
offrait à sa gourmandise. Délicatement, elle lapait le gland frémissant,
caressait les couilles, lourdes, annonciatrices d’heures de plaisir. Puis
elle commença à lécher la hampe qui s’érigeait lentement… Elle ronronnait
intérieurement, en imaginant ce sexe qui bandait sous l’effet sa bouche, et
tous ces autres qui devaient durcir en la voyant, agenouillée, soumise,
suçant… Eh! Oui, maintenant elle suçait cette bite raide.
Derrière un peu d’agitation… On semblait se disputer l’honneur de la
prendre. Deux mains s’étaient emparées de son cul et le pétrissait, d’autres
lui malaxaient les nichons, tiraient sur les bouts, les trituraient
durement.
Tout à coups les choses se précipitèrent ; du gel remplissait maintenant l’
antre de ses reins. Un homme se glissa sous elle. Il positionna son sexe
juste en dessous du sien. Et ce fut l’assaut, une double attaque faite par
deux sexes lourds, gonflés, raides… Elle était défoncée, remplie comme une
chienne en chaleur. Trois queues pour elle toute seule, et combien d’
autres encore.
Une explosion dans sa bouche et déjà un autre sexe se présentait à ses
lèvres, encore plus gros, plus appétissant.
Avec ardeur, deux queues la taraudaient et entre deux spasmes, elle pensa à
son maître, se demandant oui il était, s’il avait bien vérifié pour les
capotes.
Eric regardait le magnifique spectacle, de trois hommes possédant sa
chienne. Une bite de noir dans sa bouche, une de maghrébin dans sa chatte,
et celle d’un grand blond dans l’anneau… Et il y avait autant de sexes
encore en réserve pour la défoncer jusqu’au bout de la nuit.
Saba semblait heureuse, folle de plaisir, dans ses reins un sexe débandait
après lui avoir mis d’énormes coups de boutoir et instantanément un autre
le remplaçait.
Depuis combien d’heures maintenant était -elle possédée, défoncée, humiliée,
par tous ces hommes ? Après quatre ou cinq coups, tous avaient rendu les
armes sauf un. Elle était à quatre pattes, cul dilaté par un sexe énorme
qui l’avait déjà fait hurler de plaisir à plusieurs reprises au cours de la
nuit. Elle ahanait profondément, feulant comme une vraie chienne sous la
violence de la pénétration. Derrière elle, un cri, un sexe secoué par des
spasmes dans ses reins, et pour elle la jouissance. Une jouissance telle qu’
après elle plongea, épuisée rompue, à bout, dans le monde des rêves.
A peine avait-elle sentit, les bras qui la portaient, la route pour
rentrer. Dans son lit seulement elle reprit connaissance. Contre sa joue le
torse de son homme… à la télé, une vidéo, elle avec six hommes empressés
autour d’elle. Elle ne sentait plus ses reins et son sexe tant ils avaient
été fouillés. Sur, l’écran un gros plan montrait son sexe doublement
possédé.
- « Hum! Gémit-elle, en repensant à ce délicieux moment, j’ai été
bien maître ?
- Tu as été exceptionnelle, géniale et je t’aime comme ça, dit-il
en lui caressant les reins. Plus de quatre heures de sexe en vidéo. Tu as
été parfaite. Tu as besoin de repos, car je t’ai prévu une belle surprise
en reconnaissance de ce que tu as fais : demain, tu t’offriras une forêt de
touffes… »
Un sourire épanoui, des grognements, et déjà elle plongeait, lèvres en avant
vers le sexe de son maître pour le remercier…
FIN
Auteur:Erik