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Gwen creation

une méchante rêvée

Marie Claire

Ma voisine use depuis longtemps de ses charmes pour draguer mon mari et pour ce faire elle n’économise ni ses mini-jupes ni ses poses lascives qu’elle lui propose tantôt assise jamais passive. Il y a quelques nuits j’ai fait un rêve qui la mettait en scène comme au sein d’un film où lui serait attribué le mauvais rôle. J’étais l’inspectrice et elle la coupable que je devais confondre et arrêter. Marie-Claude, puisque tel est son nom refusait de m’avouer son crime et devant son silence je vins à la déculotter et bientôt à la fesser. Son beau gros cul rose rougit sous l’effet de ma main qui n’hésitait pas à poser sa hargne sur son beau fessier glabre et offert. Mon mari entra dans mon rêve comme par effraction et me proposa de nous y mettre à deux. Tandis que je m’emparais d’une brosse à cheveux, il acheva de la déshabiller et dégrafa ses beaux cheveux châtains clairs. La garce, elle y prenait du plaisir. Au fur et à mesure que la fessée prenait de l’ampleur, il y avait dans sa voix plus de jouissance que de cris. Elle ne fut pas longue à nous avouer ses crimes et profitant de ce que mon époux m’embrassait, elle se sauva en courant et s’installa debout nue dans un hors bord qu’elle s’empressa de faire démarrer. Le postérieur bien en évidence et nu de Marie-Claude portait encore les marques rouges déposées par ma main qui avait su rester toutefois très peu lourde. Elle fuyait nue, et nous on ne voyait que son cul imperceptiblement stigmatisé. Très vite la police la prit en chasse et une course poursuite s’entama. Nous la regardions fuir tandis que nous faisions gentiment l’amour. La poursuite se termina comme dans tout bon policier quand un rocher vint barrer sa fuite. Marie-Claude ne put contenir un cri d’horreur et ses forts jolies fesses se soudèrent sous l’effet de l’effroi comme dans une ultime grimace de la peau avant que son hors-bord n’aille embrasser les récifs et que l’ensemble n’explose dans un brouhaha à peine descriptible. L’explosion du hors-bord de Marie-Claude coïncida avec mon réveil. La nuit cependant battait encore son plein et quand je me rendormais ce fut pour retrouver Marie-Claude une fois encore presque nue, mais cette fois non plus seule. Engoncée dans mon rêve, je m’étais approchée d’une fenêtre éclairée par la lueur du jour et qui s’était ouverte en réponse au vent. Par l’ouverture de cette dernière je pus découvrir Marie-Claude portant la main sur le cul nu de Natacha, l’ex de mon époux que je n’avais plus vue depuis au moins deux ans. Je me sentais à peu de chose près comme Julie L’Escaut résolvant une énigme un rien salace. Une histoire remplie de fesses féminines sans pour autant qu’il soit question d’une histoire réellement de cul. Natacha laissait parler la blondeur de ses longs cheveux plutôt que sa voix qui n’avait qu’un mot : " Encore ", et la richesse calme de son corps possédait l’avantage de connaître les formes généreuses de la féminité sans en avoir les débordements. Elle fessa à son tour Marie-Claude qui en redemandait. Quand je rentrai dans la pièce avec l’espoir de les arrêter pour je ne sais quel méfait que mon rêve ne disait pas, me voyant, elles s’enfuirent. Natacha était nue avec des chaussettes à carreau de collégienne et un collier lui ornant le cou ; Marie-Claude avait principalement les fesses à l’air du fait de ses bas résilles blancs qui contrastaient avec la coupe courte et étroite de sa jaquette noire. La voiture dans laquelle elles avaient lié leur destin dans la fuite appréhenda un virage avec trop de hâte. Marie-Claude eut un cri et Natacha le geste qui souligna le cri, mais toutes deux exprimaient la même peur de se voir disparaître avec la voiture dans le ravin qui se rapprochait. Finalement elle ne purent éviter de chuter dans le gouffre énorme et je me réveillais cette fois pour saluer le matin. Inutile de vous dire que depuis ce rêve le regard que je porte à ma voisine et à son postérieur est tout différent. Et quoiqu’on dise de ma jalousie, je me dis que Marie-Claude n’aurait pas déméritée de recevoir une belle fessée.

Auteur:une femme Française

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