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Chute d'un macho
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Erika, belle créature aux cheveux roux et à la poitrine généreuse
avait un fantasme bien caché au fond d'elle, elle aurait toujours voulu
dominer un homme, l'humilier et le punir simplement parce qu'il est un
homme.
Elle avait horreur des machos et était persuadée que la femme
est de loin supérieure à l'homme. Son mari, justement adorait jouer les
gros bras et rouler des mécaniques surtout quand une minette passait à sa
portée et il n'hésitait pas à lui rappeler à la moindre occasion qu'il
était le mâle et de ce fait le patron.
Bien sûr il disait ça pour la
taquiner mais ces propos sexistes avaient le don d'énerver la belle
Erika.
Un jour en flânant dans une galerie bien connue de la
capitale, son attention fut attirée par une boutique spécialisée en
matériel fétichiste, ce qu'elle vit en vitrine la décida à entrer. Une
charmante vendeuse vêtue de cuir l'accueillit et lui demanda si elle
pouvait l'aider, Erika se jeta à l'eau et lui expliqua ses fantasmes et
aussi ce qu'elle rêvait de faire à son mari. Après une conversation qui
dura un certain temps, elle décida de suivre les conseils de la vendeuse
et acheta les accessoires nécessaires à l'application de son plan. Une
tenue en cuir, des plugs, un martinet, une cravache et un gode ceinture,
la facture fut lourde mais la fin justifie les moyens et elle estimait que
ça en valait la peine.
Erika rentra à la maison et s'empressa
d'essayer sa nouvelle tenue, une mini jupe et un bustier qui laissait
largement entrevoir ses seins, une paire de bas noir et des chaussures à
très hauts talons vinrent compléter sa tenue de dominatrice. Son nouveau
look l'excitait terriblement et son sexe s'humidifiait caque fois qu'elle
pensait au sort qu'elle réservait à son mari.
Vers dix sept heures,
Alain rentra à la maison, Erika se tenait dans le couloir, les jambes
légèrement écartées, une cravache à la main et le regard sévère. Il resta
un moment la bouche ouverte sans pouvoir prononcer un mot puis éclata de
rire en lui disant que le carnaval était passé, il s'avança vers elle mais
fut tenu à distance par la cravache pointée vers lui. Elle l'obligea à
reculer et à entrer dans le living, il ne riait plus et se demandait ce
que sa diablesse de femme avait encore inventé, son tempérament volcanique
l'avait déjà souvent impressionné mais cette fois il y perdait son latin.
"Baisses ton pantalon et ton slip et mets toi à genoux" hurla t elle,
Alain joua le jeu et s'exécuta, Erika se planta devant lui et lui mit le
bout de la cravache sous le menton, "à partir de maintenant, tu devras me
respecter et me vénérer, tu n'es plus qu'une larve toute juste bonne à
lécher mes bottes, j'exige une obéissance aveugle à tous mes ordres, tu
m'appelleras maîtresse et tu demanderas la permission avant de parler".
Le sexe d'Alain était dressé vers le ciel, cette situation
l'excitait beaucoup malgré sa position humiliante. Erika regarda le
phallus bien raide et lui donna deux coups de cravache, "tu te permets de
bander devant moi, comment oses tu arborer ce vermisseau sans ma
permission", l'homme cria sous les coups mais le pénis ne débanda pas pour
autant. "Lèves toi et déshabilles toi" hurla t elle, en deux temps trois
mouvements l'homme fut nu comme un ver. "Penches toi en avant", Alain
obéissait à tous ses ordres trop content de mettre un peu de piment à sa
vie sexuelle, il ne savait pas ce qui l'attendait. Erika lui lia les mains
au lourd fauteuil du salon, elle jubilait intérieurement et son sexe
s'était transformé en fontaine mouillant largement son entrejambes. Elle
avait préparé une feuille de papier sur laquelle elle avait inscrit
quelques reproches qu'elle avait à lui faire. " Je vais te lire les chefs
d'accusation, le verdict sera prononcé tout de suite et la sentence sera
exécutée immédiatement" lui dit-elle.
"Pour avoir oser me critiquer
devant mes amies : cinq coups de martinet". Le martinet s'abattit
lourdement sur les fesses d'Alain qui poussa un cri de douleur, il se mit
à protester mais fut menacé du double de la peine s'il ne se taisait pas.
Les cinq coups tombèrent et le petit cul de l'homme ne tarda pas à
rougir.
"Pour avoir oser m'humilier avec des propos sexistes : cinq
coups de cravache", le premier atteignit les fesses en émettant un bruit
sec, il essaya d'éviter les autres coups en tortillant du cul mais Erika
était adroite et il n'arriva pas à éviter les autres.
" Pour avoir
oublier mon anniversaire et encore bien d'autres choses importantes : cinq
coups de canne anglaise". Il ne savait pas à quoi ressemblait une canne
anglaise mais quand le premier coup l'atteignit il poussa un long
hurlement et il implora la pitié de sa tortionnaire, rien n'y fit, elle
était trop déterminée et les cinq coups tombèrent. Le postérieur de son
mâle était maintenant bien marqué de striures rouges violacées et la vue
de ce cul martyrisé excita encore plus la dominatrice
débutante.
Elle avait envie de jouir, son sexe trempé semblait
palpiter, irrésistiblement sa main descendit jusqu'à son clitoris déjà
bien gonflé mais elle se ravisa aussitôt, c'était à lui de la faire jouir
et comme elle le décidera. Erika détacha les mains de l'homme et les
rattacha aussi tôt dans le dos, le soumis bandait toujours et avait l'air
d'apprécier ce qui lui arrivait, elle le poussa vers la table de la salle
à manger et l'obligea à se positionner les jambes écartées et le torse sur
la table. Elle lubrifia ses doigts et lui en enfonça un dans l'anus, puis
ce fut deux doigts qui s'enfoncèrent dans ce petit trou encore inexploré,
quand le troisième doigt entra, l'homme se mit à crier ne supportant plus
cette dilatation inconnue pour lui. Les doigts d'Erika entrèrent et
sortirent doucement et Alain commença à trouver ça assez agréable, c'est à
ce moment là que Erika remplaça ses doigts par un plug anal de dimension
moyenne. Alain poussa un cri et tenta d'expulser cet objet étrange qu'il
ne connaissait pas. Erika n'en pouvait plus et devait absolument jouir,
elle empoigna son mari par les cheveux et l'entraîna dans le salon, elle
retroussa sa jupe, s'installa dans un fauteuil les jambes bien écartées et
obligea l'homme à lécher son sexe dégoulinant de syprine. La langue
adroite commença son travail et le clitoris ne tarda pas à durcir, la
jouissance tant attendue arriva très vire et fut d'une telle intensité que
Erika perdit un peu le contrôle du jeu. Retrouvant peu à peu ses esprits,
elle retrouva Alain devant elle toujours à genoux et attendant son bon
vouloir, le sexe toujours au garde à vous. Elle le fusilla du regard et le
traita de "chien galeux" de "ver de terre" et de "larve puante", il
répondit oui maîtresse je suis votre esclave, faites de moi ce que vous
voudrez". Elle repoussa l'homme, l'obligeant à se coucher sur le sol et
elle mit son pied sur son sexe. Elle se sentait bien, elle avait son homme
à ses pieds, elle pouvait l'écraser de sa supériorité, l'humilier et
disposer de son corps comme elle l'entendait tout en continuant à l'aimer.
Elle venait d'ouvrir un nouveau chapitre de sa vie sexuelle et cela lui
plaisait énormément.
Alain dut reprendre sa position les jambes
écartées et le torse sur la table, elle retira le plug anal, se fixa le
gode ceinture et le présenta entre les fesses de son mari, le gode
s'enfonça lentement dans les entrailles de l'homme en lui arrachent un cri
de douleur. Erika l'agrippa par les hanches et amorça un mouvement de va
et vient de plus en plus rapide. C'était la première fois que Alain se
faisait sodomiser ce genre de "sport" ne l'avait jamais attiré. Pourtant
au bout d'un certain temps il commença à gémir, la douleur s'estompait et
faisait place à une sensation bizarre et pas désagréable du tout. Erika
continuait de plus belle et sentit venir un deuxième orgasme. Ils jouirent
presque en même temps et les deux corps s'immobilisèrent. L'émotion à ce
moment était grande, les deux amants venaient de vivre une nouvelle
expérience enrichissante pour leur couple et ils n'en furent que plus
unis.
Auteur:Inconnu