Histoire des années 60
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Je m’appelle Laura et mon frère Joseph, je vous raconte notre histoire
qui se passe dans les années 60. Mon père et ma mère étaient autoritaires et
souvent, nous recevions la fessée quand nous faisions des bétîses. Car mon frère
et moi faisions les 400 coups.
Ma mère avait était élevée d’une manière
autoritaire et elle appliquait ce qu’elle avait reçu.
1/ L’ENFANCE
Donc, comme je vous le disais, avec mon frère, je faisait les pires
conneries, qui nous faisaient mériter la fessée.
Une fois mon frère et moi
avions pris de l’argent dans la caisse du magasin et notre mère qui s’en est
aperçue nous a donné notre première fessée. Mon frère qui était plus jeune a eu
la fessée après moi. Quand ma mère nous appela, elle dit "vous n’avez pas été
sages et vous méritez tous les deux la fessée".
Je dus baisser ma jupe pour
recevoir la fessée, elle me prit sur ces genoux et baissa ma culotte, cela me
fit peur et je protestais, mai elle me tenait fermement.
Une première claque
sonore retentit, puis une autre, clac ! clac ! clac ! faisait la fessée. Je
commençais à pleurer mais cette première fessée s’arrêta rapidement au bout
d’une dizaine de claques.
La fessée de mon frère fut pareille, et je le
voyait protester, mais il dût subir le même châtiment.
Une autre fois, j’eu
la honte de ma vie, car ma mère nous avait appelé, mais nous n’avons pas répondu
ni l’un, ni l’autre.
Je jouais avec mon frère dans la rue, et ma mère est
venue me chercher, ce jour là, je portais une jupe, elle me la souleva, me mis
le derrière à nu et elle m’appliqua une vingtaine de claques. J ’avais honte car
je fus déculottée devant mes copines.
Mon frère qui portait un pantalon pris
sa déculotté à la maison, il avait échappé au spectacle humiliant.
Mais, il
reçut une bonne fessée comme ma mère savait les donner.
2/ L’ADOLESCENCE
Vers l’âge de 12 ans ma mère décida de nous donner le martinet, car nous
étions plus murs.
La première fois que je reçu le martinet ce fut dans le
magasin, il y avait des clients.
Elle prit le martinet et dit "je vais
t’apprendre à être une bonne fille !" Sans ménagement, elle baissa mon pantalon
et ma culotte, je criais "non pas cela maman", mais elle me courba sous son bras
gauche et me donna le martinet en criant "tiens, et tiens , et tiens" Ce jour là
je venait de découvrir le martinet et mon frère ne tarda pas à y goûter lui
aussi.
Souvent les enfants du quartier recevaient le martinet. J’en ai vu
quelques uns dans la rue se prendre une véritable dérouillée par leur mère qui
arrivait avec le martinet à la main.
3/ ADULTES
Une fois mes 20 ans passés, ma mère arrêta de nous punir, et offrit à mon
futur mari un martinet pour me corriger dès que je dépasserait les limites de la
tolérance.
Il faut bien l’avouer, je les dépassent souvent, car j’aime cela.
De temps en temps, je reçois la fessée à la main ou avec le martinet, j’ai une
préférence pour celle au martinet, car cela me rappelle mon adolescence.
Mais
il ne l’emploie pas sur les enfants, car c’est moi qui leur donne la fessée,
mais seulement à la main.
Comme je vous le dis, mon mari me fesse souvent 2 à
3 fois par semaine, mais pas devant les enfants.
Cela se passe dans la
chambre. Mon mari me dit "tu n’a pas été sage, tu vas recevoir la fessée".
Il
me fait m’allonger sur ces genoux, et relève ma jupe, puis me mais le derrière à
nu et clac ! clac ! clac !
J’ai le derrière en feu, mais il n’arrête pas
pour autant. Souvent, il m’en donne une vingtaine quand je suis
insupportable.
Moins quand on fait cela en guise d’apéritif avant un rapport
sexuel.
Auteur:Inconnu