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Les grands chênes 3
chapitre 3
Alice me prit par la main pour m'emmener avec elle. Je me sentais encore plus nue, avec elle tout habillée, marchant dans un interminable corridor. Alice s'arrêta devant une des portes, l'ouvrit avec une petite clef et me fit entrer dans la pièce ou j'allais devoir passer les nuits de mon séjour ici.
Un lit pour une personne était dans un angle du mur. Au bout de la chambre se trouvait une armoire à côté de la fenêtre. Alice ouvrit une porte en face du lit qui donnait sur une salle d'eau avec une douche, un bidet et des toilettes.
- Va prendre une douche, je crois que tu en as besoin.
J'allais sous la douche et fis couler l'eau sur ma peau. Après l'épreuve que j'avais subie tout à l'heure cela me fis le plus grand bien. Lorsque j'eus fini de me doucher, Alice me sécha gentiment, avec beaucoup de douceur. Ensuite elle me poudra tout le corps avec de tendre mouvements très caressants, puis m'amena jusqu'à mon lit ou je m'étendis soudain très détendue.
- Tu es vraiment très belle et j'ai grande envie de t'embrasser, tu veux bien murmura-t-elle en approchant doucement ses lèvres des miennes.
Sans attendre ma réponse elle posa ses lèvres entrouvertes. Aussitôt sa petite langue prit l'offensive en investissant ma bouche sans que je ne fis rien pour m'y opposer. C'était vraiment délicieux. Je n'aurais jamais cru que ce contact avec une autre femme fut si plaisant.
Après cet interminable baiser elle se leva et parti pour me rapporter un plateau repas. Lorsque j'eus fini elle prit mes mesures tout en frôlant les parties de mon corps les plus sensibles. Après cet exercice pendant lequel elle prit de nombreuses notes nous reprîmes une séance de baiser. Elle s'arrêta soudain et regardant l'heure. Elle me confia qu'elle devait partir de suite car elle avait prit un peu de retard dans son service.
Le lendemain matin Alice me réveilla vers huit heures en m'apportant le petit déjeuner sur un plateau. Je finissais de déjeuner et Alice remplissait mon armoire de vêtements, que je ne connaissais pas, lorsque Madame Edwige fit son entrée dans la chambre.
- Bonjour Annie, j'espère que tu as passé une bonne nuit. Mais, dites moi Alice, il me semble que vous avez passé plus de temps que prévue avec Mlle Annie hier soir, approchez vous je vous prie.
Je vis Alice rougir instantanément à ces mots.
- Mais Madame Edwige...
- Suffît, ici immédiatement.
Madame Edwige s'assied sur une chaise qui se trouvait devant mon lit.
- Vous connaissez le tarif pour ce retard, une bonne fessée que vous allez recevoir immédiatement.
Elle lui prit les mains et l'attira vers elle la faisant basculer en travers de ces genoux. Elle souleva la jupe, la laissant retomber sur le dos, dévoilant le superbe postérieur d'Alice entièrement dépourvu du moindre sous vêtement. Madame Edwige prit la dimension du joufflu en y passant doucement sa main. Des petits grains de chair de poule apparurent aussitôt. Les muscles du fessier se détendaient progressivement sous la caresse. C'est le moment que choisi Madame Edwige pour envoyer une avalanche de claques sonores. C'était une vrai pétarade. Les jambes d'Alice se mirent à pédaler aussi vite que les claques tombaient sur son cul, dévoilants les trésors de son fendu complètement dénué de tout poil. La fente était ainsi parfaitement dévoilée et je la voyait s'entrouvrir au rythme des ruades dont le tempo était donné par l'infatigable main de Madame Edwige. Elle s'arrêta Lorsque les fesses d'Alice furent uniformément rouges. Elle remit Alice debout et la pria d'aller continuer son travail ailleurs.
- Ma chère Annie, après ce petit intermède qui aura contribué j'espère à vous donner le ton de cet établissement je vais vous en expliquer les règles. Pour cela levez-vous et venez vous mettre à genoux devant moi en écartant largement les cuisses l'une de l'autre puis mettez les mains derrière la tête.
Je me mis dans la position demandée, dévoilant les parties les plus secrètes de mon anatomie, et mettant mes petits seins en parfaite exposition.
- Tout d'abord vous ne devez jamais, refusez d'exécuter un ordre quel qu'il soit, ensuite ne jamais contredire l'un de vos interlocuteurs, que ce soit un homme ou une femme, enfin respecter parfaitement votre emploi du temps. Aucun retard ne sera admis pour quelle que raison que ce soit. Tout manquement à ces règles entraînera automatiquement une sanction dont la plus légère est celle qu'Alice à subit tout à l'heure sous vos yeux. Les fautes les plus graves sont sanctionnées par des châtiments qui ont lieu d'ordinaire dans la salle qui a servit à vôtre examen médical hier. Cette salle est parfaitement équipée pour briser les natures les plus rebelles. Il ne tient qu'à vous d' assister en spectatrice plutôt qu'en actrice aux scènes qui peuvent s'y dérouler. Six autres jeunes filles de vôtre âge font également une cure du régime de cet établissement pour deux mois, c'est la durée minimale qui a été fixée à votre séjour ici.
Madame Edwige se leva pour aller jusqu'à l'armoire de lingerie. Elle l'ouvrit et en ramena quelques vêtements qu'elle posa sur le lit à côté de sa chaise. Elle me fit venir près d'elle debout entre ses jambes. Elle m'agrafa d'abord une jupe plissée rose puis me passa un chemisier blanc sans manche. Elle me mit enfin une petite culotte de coton blanche. Curieusement tous ces vêtements étaient munis de multiples boutons pression cachés par les plis des tissus.
- Ceci est la tenue que tu devras porter durant la durée de ton séjour ici de huit heures à vingt et une heure. Le reste du temps tu sera dans une chemise de nuit qui se trouve dans cette armoire et rien d'autre. Maintenant le temps des présentations à tes compagnes de séjour ici est venu. Suis moi, nous allons maintenant à la salle d'éducation.
Auteur:Torride